In Fact, She's Not Afraid!
P.O.V. of Hope :
Il me tirait vivement par le bras, mais bien heureusement par mon bras valide, tandis que je tentai de m'y soustraire, doucement. Mais sa prise était telle une poigne d'acier. Je voulais vraiment réussir à me défaire de manière descente et non brutalement, n'ayant aucune envie de l'énerver ou quelque chose dans ce style de réactions, de type fureur en fait. Même si il se comportait de manière étrange avec moi, par rapport aux autres qu'il traitait comme des moins que rien. Eh bien malgré cela je me sentais toujours intimidée par lui. Un peu comme si j'étais complètement à sa merci. Et je crois bien que cela devait sincèrement l'arranger car il semblait aimer le pouvoir qu'il exerçait sur les autres. Mais c'était tout autant valable pour sa bande de quatre amis. Tous plus terrifiant les uns que les autres, mais pas à cause de leurs visages qui me ferait penser à... lui...Mais plutôt par leurs expressions faciales. Elles étaient toutes si froides... si glaçiales... Comme si ils étaient tous les cinq complètement dénués d'émotions et de sentiments humains. D'ailleurs, je trouvais que c'était de même pour leur posture ouvertement intimidante, même si je devais bien reconnaître que l'un d'entre eux me paraissait moins... mauvais, si l'on pouvait dire. Et c'est au blond que je pense en disant cela. Enfin, après ça n'est que de façade, intérieurement il est peut être comme les autres. Voir peut être pire...- S'il te plaît Harry... lâche-moi, le suppliai-je.
Il me jeta à peine un regard tandis qu'il continuait de me tirer derrière lui, en direction de la sortie, afin de nous rendre sur le parking. Si je voyais juste. Afin de ne pas penser à ce qu'il se passait à l'instant, je décidai de concentrer mes pensées sur autre chose... Comme... Oh! Je sais, comme le fait que la jeune et aimable infirmière semblait avoir peur du jeune homme qui me traînait en direction de ce fichu parking! Je n'en étais pas sûr au début, elle était fébrile lorsqu'elle me soignait et ne cessait de vérifier que personne n'attendait. Elle ne m'avait pas paru très rassurée. Et j'avais eu confirmation qu'elle avait peur quand Harry était revenu dans la pièce après qu'elle eut été le chercher. Et j'avais compris que c'était Harry qui la terrorisait.
Elle lui avait tout juste fait remarquer et donc avait tenté de lui faire comprendre qu'il n'était pas autorisé à m'emmener avec lui comme ça, parce que l'envie l'en prenait. Cela n'avait pas plu à Harry qui s'était dangereusement rapproché de l'infirmière jusqu' à n'être qu'à seulement quelques petits centimètres d'elle. Harry était déjà intimidant par sa grande taille - il est plus grand que l'infirmière - mais c'était pire lorsqu'il prenait - toujours en fait - une attitude ouvertement intimidante et suintant le danger. Mais le pire pour la pauvre jeune femme, ce fut lorsque d'une voix rauque et d'une intonation qui retournait plus du grognement , il lui avait dit tel un prédateur :
"Mêlez vous de vos affaires et ne tentez même pas de m'empêchais de la ramener chez elle, ou vous le regretterez", avait-il sifflé.
J'avais aussitôt vu le regard terrorisé de Mrs. Julian et j'avais par là, pu comprendre qu'Harry Styles était beaucoup plus dangereux que ce que je pensais il y a encore une heure. C'est d'ailleurs pourquoi, je n'étais plus aussi rassurée d'être à ses côtés et qu'il veuille me reconduire chez moi. Parce que si il me reconduisait chez moi, cela voudrait dire que par la suite, il saurait où j'habite, et je n'avais pas envie d'être constamment dans la frayeur de le voir débarquer chez moi à n'importe quels moments.
Tout à coup, il me lâcha le temps d'ouvrir la portière d'une Range Rover noire qui devait être sa voiture à lui, juste après avoir sortit ses clés de sa poche. Saisissant l'occasion malgré ma jambe toujours plus ou moins douloureuse, je fuyais. Je partis en courant, dans le seul but de le fuir lui. De fuir ce garçon, Harry Styles, mon sauveur, mais pourtant le garçon qui m'effrayait le plus en dehors de mon agresseur.
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My Dark Angel
Romansa« - Merci... Tu m'a sauvé la v... Il me coupa, sans aucune gêne, alors qu'aucun sentiment ne faisaient briller ses pupilles, mais plutôt l'indifférence totale. Mais je voyais bien qu'une petite émotion faisait tout de même briller ses yeux. Mais pas...