Votre altesse Morretti •saga MORRETTI• ¤TOME 1¤

Chapitre 18 :

Même si j'aurais préféré patiner avec Anastasia...

~♡~

-Anastasia ? Demandais je en sortant.

-Oui ?

-Il faut que je rentre à Turin, le père de Amélia à appris pour sa liaison et d'après ma mère il est très énervé.

-Euh... Mais... Je comprend.

-D...Désolé. J'aurai aimé pour faire du patin à glace avec toi mais...

-Ne t'inquiète pas, ce n'est que partie remise ?

-Bien sûr.

Un magnifique sourire illumine son visage, nous rentrons dans le chalet, je demande à Noah d'appeler l'hélicoptère et un chauffeur pour qu'il récupère ma voiture.

Nous rembalons nos valises, en 20 minutes tout est près. Nous montons dans l'hélicoptère.

-Es tu déjà monter dans un hélicoptère ?

-Oui une ou deux fois.

-Alors tu sais qu'il faut s'attacher.

Elle me regarde surprise.

-Vous faites une...

-S'il te plaît tutoie moi. Je n'aime pas quand tu me vouvoie.

Elle est encore plus surprise que toute à l'heure. A vrai dire moi aussi. Je n'ai pas réfléchis à ce que j'ai dis.

-Euh... Je disais que tu fais un fixaite sur le port de la ceinture ?

Oui. Oui j'en fais un principe. Ça te sauver une vie...

-C'est normal. Si elles sont là ce n'est pas fait pour l'air.

Elle me sourit légèrement avant de regarder le paysage blanc disparaître au fur et à mesure que nous remontons vers le nord.

Quand nous arrivons ma mère est là. Je la salue avant de lui présenté Anastasia.

Au loin je vois une cheveulure blonde arrivé accompagné de Lorie.

-Eros !! Dit elle en essayant de paraître joyeuse.

Elle remarque Anastasia et la fixe. Cette dernière baisse les yeux, les joues légèrement rougit.

-Tu... Commence Amélia

Je lève l'index pour lui indiquer de ce taire ce qu'elle fait.

-Lorie, pouvez vous donner une chambre à Anastasia s'il vous plaît.

-Bien sûr majesté, dans l'aile des invité j'imagine ?

Je secoue la tête de droite à gauche.

-Non, dans l'aile des résidents, je veux aussi qu'elle soit à mon étage.

Amélia et Lorie me regardent surprises alors que ma mère étire un sourire heureux.

-Bien votre altesse.

Elle indique à Anastasia de la suivre.

Nous entrons ensuite dans le château, Lombelli suit le trajet de la jeune française et de Lorie.

Quand il me voit son expression passe de la suprise à une froideure glacial.

-Votre majesté, veuillez m'excuser du comportement de ma fille, je ne sais pas ce qu'il...

Comme toute à l'heure je le fais taire.

-Allons discuter de tout ça dans mon bureau.

Ils me suivent, mon père nous rejoinds rapidement.

-Je veux parler à Amélia avant tout.

Je ne leurs laisse pas le temps de réagir et fait entrée ma fiancée dans mon bureau.

-Écoute Eros, je suis terriblement désolé, cela ne se reproduira plus je...

Elle ne termine pas sa phrase. Quand je m'assois à mon bureau je lui fait signe de prendre place sur l'une des chaises en face.

-J'ai demandé à Noah de vous suivre, c'est comme ça que hier j'ai appris pour votre relation cacher. Je dois vous avouer que j'étais extrêmement énervé contre. Mais la jeune femme que vous as vu toute à l'heure m'a posé une question que je vais vous posé maintenant. Et je veux la vérité, si j'apprends que vous m'avez menti je ne serais pas aussi doux. Elle acquiesce doucement en hochant la tête. Cette relation à telle commencer avant que le mariage ne soit planifier ou après ?

Elle lâche un soupire de soulagement, que pensait elle que l'allais lui demandé ? 

-Hector et moi nous nous sommes rencontrés au lycée, c'est seulement un an et demi après notre fin de lycée qu'on s'est mis ensemble. Six mois avant que je ne te rencontre.

Je vois Anastasia avait raison.

-J'ai essayé de faire impasse sur mais sentiment mais la vérité c'est que je n'y arrive pas. Je... l'aime trop pour ça.

Je souris légèrement. Je me lève et ébouriffe ses cheveux doucement.

-Je vais géré ton père. Ne t'inquiète pas.

Je sors de la pièce, son père ainsi que mes parents sont devant la porte.

-Aimez vous votre fille ?

Le mafieux me regarde avec un air d'incompréhension.

-Bien sûr.

-Alors pourquoi ne pas vouloir son bonheur ?

-Elle sera heureuse ici, elle sera en sécurité, elle ne manquera de rien elle...

-Lui avez vous demandé ce qu'elle voulait pour être heureuse ?

-Bien sûr que non, ce n'est pas à elle de décidé.

Pourquoi je ne suis pas plus surpris par ce type de réponse ?

-En tout cas ce n'est pas ça qui va la rendre heureuse, sa relation date de six moins avant que l'on ne se rencontre, donc un an avant nos fiançailles. Je ne peu...veux pas qu'elle se marie avec moi si elle est amoureuse d'un autre, c'est à ses côtés qu'elle devra monter sur l'hôtel.

-V...Votre majesté...

-Je ne prendrai aucune sanction envers Amélia mais si vous je viens à apprendre que vous l'avait réprimander de quelque manière que ce soit je vous jure que la legge dell'Omerta* sera de moins en moins appliquer.

Sa machoire se contracte. Il est énervé. Amélia sort du bureau.

-Tout est réglé. Amélia si tu as besoins de rester ici tu le peux.

Elle me sourit légèrement, elle semble plus paisible.

Son père quitte le couloir énervé, le téléphone d'Amélia sonne.

-Désolée je dois répondre.

Je la regarde un sourire en coin. Quand l'a t elle récupérer ?

-Je lui est redonné. M'informe ma mère.

-Nous sommes fière de toi mon fils. Tu as vraiment bien gérer. Me dit mon père en me tapotant affecteusement l'épaule.

Ma mère acqueise doucement en souriant.

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La legge dell'Omerta c'est la loi du silence en Italie. C'est le faite que personne de donne d'information, ne témoigne contre la mafia. Ce qui rend l'investigation des polices très difficile.