Chapitre 21 :

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Est ce que je l'ouvre ou pas ?

~♡~

-Eros ! S'exclame ma mère en entrant dans ma chambre.

-Oui mère ?

-Tu es amoureux.

Je m'attendais à tous sauf à ça. Je m'étouffe avec ma salive.

-Oh s'il te plaît ne fais pas cette tête. Je vois bien que tu tiens à cette jeune fille.

-Mère, ça fait au grand maximun deux semaines que je la connais.

-Et alors ? Ton père m'a embrasser le deuxième soir.

Je soupire. Combien de fois ma telle raconté leurs rencontres ?

-Mère je ne suis pas...

-Arrête de te voilé la face mon fils. Cette fille est cadeau, elle est tous l'opposé de ce que tu détestais chez Amélia. Même si je pense que avec le recule on peut se demander si elle ne faisait pas ça pour que tu la déteste et que tu annules tous.

Je ne dit rien et m'avance vers ma penderie. Je prend un manteau chaud et ma paire de patins.

-Que fais tu ?

-J'ai dis ce matin à Anastasia que je lui apprendrai à faire du patin mais comme tu m'as appelé on a pas du le temps.

-Oh ! Je vois. Je vais lui prêter des vêtements.

Ma mère sort enfin de ma chambre. Je m'approche du dossier. Est ce que je dois l'ouvrir ?

Je n'ai pas forcément envie de l'ouvrir. Est ce que je préférais la connaître par moi même ?

Après un long débats avec moi même je décide enfin de ne pas le toucher.

Je sors de ma chambre. Ma jeune invitée sors de la sienne un grand sourire au lèvre.

-C'est vrai que tu m'emmènes patiner ? Demande t elle avec une voix d'enfants qui me fait sourire.

Je hoche la tête de haut en bas.

-C'est super. J'ai crus qu'on aurait du annuler.

-Et pourquoi ça ?

-Parce que tu devais rentré...

-Je t'ai dis que je t'apprendrai alors je le ferais.

Elle arbore un sourire franche que j'aime voir sur elle. Ma mère arrive avec un manteau et une paire de patin.

Nous descendons dans le jardin. Alessandro Lombelli discute avec mon père je préfère ne pas m'attarder mais je remarque comme même qu'il la fixe.

Je passe ma main au tour de sa hanche et exerce une légère pression afin de la faire avancer un peu plus vite. Mon corps est parcouru d'un long frisson.

Nous arrivons à la piscine du palais. Cette dernière est complètement gelé.

-C'est complément gelé...

-Oui, comme ici il ne fait pas aussi froid que dans la montagne j'ai demandé qu'on gèle la piscine.

Elle me regarde surprise.

-Petit j'aimais faire du patin pendant mon temps libre. Du coup on me gelait la piscine plus que de mesure pour ne pas que je risque de tomber. Mes parents avaient demandé qu'il installe les mêmes appareils que dans les patinoires publique.

Elle me sourit.

-On peux patiner ?

-Bien sur.

Je m'agenouille à ses pieds, je prend son patin droit et le présente à son pied.

Elle enlève sa chaussure et enfille le pied à l'intérieur. Je sers le mieux possible pour ne pas qu'elle se fasse mal

Je réitère l'opération pour son pied gauche avant d'enfiler les miens.

Je me place sur la glace et lui tend la main. Je la vois hésité quelque secondes mais fini par la prendre.

A peine est elle sur la glace qu'elle glisse en perdant l'équilibre.

Je la prend au hanche et la ramène vers moi.

Ses mains sur mon torse elle pousse un soupire de soulagement.

-Fait attention, avant de glisser soit stable sur tes patins.

Elle lève son regard vers moi. Ses yeux marron exprime une fueur que je n'ai encore vu dans ses yeux.

-Bien commençons l'apprentissage.

Elle me sourit. Je me décale de son corps, nos sommes à bout de bras main dans la main.

-Le patin c'est comme le roller. Tu pousses avec ton pied vers le côté.

Je lâche sa main et commence à glisser.

A peine nos mains se sont quitter elle s'est écroulé au sol.

Je souris et m'approche d'elle.

-Voilà ce qui se passe quand on gigote dans tout les sens.

Ses pieds étendu au sol me font trébucher et je tombe sur elle. Elle s'est allonger sur la glace pour ne pas qu'elle se cogne avec ma tête. Mes mains me retienne de complètement l'écraser.

Nos visages sont à quelque centimètres. Sans y avoir pensé je m'approche et mes lèvres rencontre les siennes.

Ce contact se transforme rapidement en baiser. A ma plus grande surprise je suis heureux qu'elle y répond.

Ses yeux clos ses mains passent dans mes cheveux.

J'y mets fini quand nous n'avons plus de souffle.

Ses yeux s'ouvrent et me regarde. Elle rougit alors que je souris. Je nous relève mais nos regard ne se quitte pas.

-Toi aussi tu es tombé. Dit elle avec un sourire espiègle

~○~

Je vous le poste aussi tôt car tout à l'heure je n'aurai pas le temps.
J'espère que ma fiction vous plaît.

Votre altesse Morretti •saga MORRETTI• ¤TOME 1¤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant