Chapitre 48 : Numéro 2.

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[ J'avais plus de portable, je déménageais, j'avais un festival, je travaille a temps plein et je dois préparer mon année en Irlande alors j'ai pas tellement pu publier, en plus j'ai eu du mal avec la fin du chapitre. Mais je suis de retour. ]




- LIV. Debout.

J'ouvre lentement les yeux. Quelle heure il est...? Edward a l'air déjà prêt. Il est dans la sobriété aujourd'hui, tshirt blanc et slim noir. Quoi de plus simple ? Moi aussi je vais mettre des habits au hasard et je serai prêt en cinq minutes. J'ai tellement la flemme de me lever...

Je reste dans mon lit avec mon petit Eddie lion. Cinq ou dix minutes plus tard Edward revient...

- Liv ! S'il te plaît ! C'est mon plus gros coefficient, je dois arriver à l'heure.

Ok... Je descends à la salle de bain pour enfiler le sweat-shirt blanc d'Aloïs et me brosser les dents en vitesse. Je me sens un peu coupable de ne pas avoir rendu son pull à Aloïs... mais je l'aime bien. Il me tient chaud, il me couvre, et puis j'aime bien les vêtements plus grands. Depuis que je n'ai plus ceux de Scar ça me manque...

Je me dépêche de descendre et de mettre mes chaussures. Edward est déjà dehors. Ce qu'il est stressé ce matin... Ce n'est pas le moment de me mettre la pression, je retourne au boulot lundi, j'ai déjà beaucoup de travail à rattraper je me mets suffisamment la pression tout seul.

Il fait chaud dans ma voiture...

- Merci de m'amener, on n'est pas du tout en retard finalement.

Je lève les yeux au ciel, j'aurais eu le temps de me faire un petit café... Il faut que j'arrête de me réveiller de mauvaise humeur. Je pense que quand je retournerai travailler je retrouverai une certaine routine et ça ira mieux. Je n'aime pas me sentir perdu, ces dernières semaines m'ont beaucoup affecté...

Il a relu ses cours pendant le trajet, c'est vrai que ça fait un peu loin, mais ça roule bien ce matin. Il n'arrête pas de tripoter ses bagues, il dit que ce sont des porte-bonheur. Ce qu'il peut être superstitieux !
Passer devant ce campus fait remonter de mauvais souvenirs... j'espère que je ne vais pas croiser ses potes. Je ne veux plus jamais entendre parler d'une soirée étudiante.

- Tu peux te garer là à droite, m'indique-t-il.
- D'accord.

Je manœuvre et me gare. Je sens que je vais rentrer, me recoucher une petite heure et continuer de rattraper mon boulot. Je vais peut être m'occuper de la serre aussi...

- Merci ! C'est les derniers exams, on sort boire un verre avec des potes ce soir, ne ferme pas la porte à clefs à Honesty.
- Ok.

"Boire un verre", est ce bien judicieux ? Il a un sérieux problème d'alcool. Ils vont encore se bourrer la gueule pour fêter la fin de l'année... Je ne fais pas de commentaire, c'est sa vie après tout. Je le regarde sortir de la voiture. Je mets la climatisation à fond, j'ai chaud...

Il me fait des signes à travers la vitre, je ne comprends rien. Je la baisse pour pouvoir entendre.

- Quoi ? dis-je fronçant les sourcils.
- Viens voir ton rétroviseur, je crois qu'il va tomber...
- HEIN ?!

Oh non ! Je n'ai pas besoin de faire des réparations maintenant... Je ne peux pas aller travailler sans ma voiture, je n'ai vraiment pas le temps de l'envoyer au garage... En plus je suis en congés depuis plus d'un mois, j'aimerais mettre de l'argent de côté...

Honesty. (Larry / L.S)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant