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Nous sortons de la voiture et je sens ces lèvres s'emparer des miennes. Il me prends ensuite la main et nous nous dirigeons vers le restaurant où une petite table est dresser sur la plage, j'enlève mes talons. Puis nous nous installons. Il fait bon ce soir, j'entends le bruit des vagues, et sa me rend encore plus heureuse...

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- Sa te plais? me dit-il.

- Oui, c'est super, merci Tarik.

Il me souris. Nous mangeons tranquillement face à la mer. Je suis pieds nu dans le sable et le sentir entre les doigts de pieds, m'apaise. Tarik me caresse la main, nous parlons de tout durant le dîner, de nos projet futur, de leurs prochain album, le dîner est délicieux, je l'ai laisser choisir et il a très bon goût.  Le dîner terminer, nous décidons de ne pas rentrer tout de suite, mais je profiter un peu de la plage. La nuit est tomber, et les étoiles son bien visible. Aux Tarterêts on ne vois pas souvent les étoiles, mais j'adore ça.

- Je suis là mais la cité me manque, me dit-il.

- Ah oui?

- Oui, mais quand je suis à la cité, j'ai besoin de partir, rajoute-t-il.

Je lui souris.

- Oui, je pense un peu pareil, lui dis-je. La cité me manque, le autres me manque. Mais je suis bien avec toi ici.

Il serre ma main.

- Putain tu m'a tellement manquer, me dit-il.

Je me place devant lui, et le prends dans mes bras.

- Je t'aime Tarik et je te le dit pas simplement par ce que nous sommes sur la plage, dis-je en riant.

- Je te crois t'inquiète.

Nous y sommes rester une bonne heure avant de rentrée à la maison. Je décide de délaisser ma robe, pour mettre un short et un débardeur, je pars retrouver Tarik qui se trouvent dans le jardin près de la piscine, je m'installe à côté de lui. Je le regarde fumé, et je le trouve toujours aussi sexy.

- Dans deux jours nous partons d'ici, me dit-il.

- Oui, dis-je, on va retrouver la famille, dis-je en souriant.

- Oui, elle me manque. Tu a eu des nouvelles de tes parents?

Je baisse les yeux...

- Non, mais maintenant je sais qui est ma famille, je sais sur qui compter.

- Je suis désoler, me dit-il.

- Oui, je n'ai pas eu de nouvelle d'eux depuis que je l'ai ai appeler quand j'était en prison, alors...

- Oui, je ne pensais pas que sa se passerais comme ça, me dit-il.

- Moi non plus Tarik, mais maintenant je sais que ma famille c'est Lise, Nabil, les gars du zoo et toi, lui dis-je.

Je me lève et lui fait face. Je lui souris faiblement.

- Je vais aller me coucher, ne tarde pas trop, lui dis-je en partant vers l'entrée du salon.

- Maya attend!

Je me retourne, Tarik se tiens debout.

- Epouse moi?

Je reste le regarder, il sort une bague de sa poche et me la tant.

- Je ne voulais pas faire ça comme ça, mais c'est le bon moment non? me demande-t-il. Epouse moi? répète-t-il.

Je coure presque vers lui et saute dans ces bras.

- Oui, Tarik, Oui je veux t'épouser.

Mes jambes de chaque côté de ces hanches, mes mains autour de son cou, il a enfouis sa tête dans mon cou et je l'entends me respirer.

- Je t'aime, dit-il.

- Moi aussi Tarik, je t'aime.

Après plusieurs minutes dans cette position, je me remet sur mes pieds, Tarik me prend la main et m'enfile la bague. Elle est toute simple, elle est noir, avec un petit diamant.

- Elle est magnifique, lui dis-je.

J'ai les larmes au yeux.

- Regarde moi, me dit-il.

Je relève la tête.

- Tu mérite cette bague, tu mérite d'être heureuse, me dit-il.

- Oh Tarik, dis-je en retournant dans ces bras.

La sensation de cette bague sur mon doigt me donne un effet bizarre. Je suis couper dans ma contemplation, par Tarik. Je me retrouve sur son épaule et il m'emmène dans la maison, je rie ceux qui me vaut une tape sur les fesses, je rie encore plus.

- On a d'autre chose a faire maintenant, dit-il en me posant sur le lit.

Il retire son t-shirt et je regarde son torse, mes yeux ne le quitte pas.

- Je t'aime Hbiba.

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Je sais que vous attendiez ça!

Parle à mon coeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant