Parle à mon coeur

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Je l'aime...

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Quand j'ouvre les yeux le lendemain, j'ai le sourire aux lèvres en découvrant Maya endormi, elle est dos a moi, son dos nu, je me remémore alors le moment que nous avons passer hier soir. Je suis nu moi aussi, hier soir épuiser nous nous sommes endormi directement. Je caresse son dos, sa peau est douce, elle bouge et se retourne, un magnifique sourire s'affiche sur son visage. Elle plaque la couette contre sa poitrine.

- Tu n'a pas besoin de te cacher hbiba.

- Hbiba? me demande-t-elle.

Je souris, c'est vrai qu'elle ne comprend pas l'arabe.

- Sa veut dire ma "chérie".

- Je suis ta chérie? me demande-t-elle.

- Oui, bien sûre.

Je m'approche d'elle et l'embrasse.

Point de vue Maya

 - Magnifique, nous dit la mère de Sasha.

- C'est vrai? demande sa fille.

- Oui, tu est très belle, Maya vous avez fait du bon boulot.

- Merci beaucoup Madame, lui dis-je.

- Appelle moi Amia, me dit-elle en souriant.

- D'accord, Amia.

Le mariage est ce week-end, et j'ai enfin terminer la robe.

- Et toi tu a trouver ta robe? me demande Sasha.

- Non, je comptais y aller cet après-midi.

- Oh c'est vrai? Je serais bien venue avec toi mais j'ai pas mal de chose de a faire pour Samedi.

- Ne t'inquiète pas, dis-je.

Sasha après qu'elle se soit changer, elle me prends dans cet bras et elles partent de mon appartement. Après avoir manger en vitesse, je prends mon sac et quitte mon appartement. Une grosse après-midi m'attends, je doit me trouver une robe pour samedi et ce n'ai pas gagner.  En bas de mon bâtiment je croise les garçons.

- Où est-ce que tu va? me demande Tarik.

- Faire du shopping, dis-je en souriant, je doit trouver une robe pour le mariage de Sasha.

- Tu veux que je t'accompagne? me demande-t-il.

- Fait comme tu veux, dis-je.

-Bon, les gars a plus! Leurs dit Tarik.

Je souris timidement et nous partons vers ma voiture.

- On va où là? me demande-il.

- Bah à ma voiture, dis-je.

- Hors de question que tu conduise!

- Mais...

- Pas de mais Hbiba, on prend ma voiture.

- Très bien, dis-je.

Nous marchons jusqu'à sa voiture, je monte côté passager, et sans rien comprendre il dépose ces lèvres sur les miennes. Puis il démarre. Il prend la direction de Paris. Après une bonne trentaine de minute de route, on arrive enfin. Il se gare puis nous sortons de la voiture.

- Tu sais tu n'était pas obliger de venir avec moi, si tu avait autre chose a faire.

- Non rien, et sa me fait plaisir d'être là avec toi.