Parle à mon coeur

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Avec Nabil et Kader nous rentrons à la cité, je ne parle pas de tout le chemin. Après plusieurs jours, j'ai enfin le droit d'aller la voir en prison. Je suis là une heure plus tôt, rien a changer ici, après avoir passer tout les contrôle, je suis installer dans une petite pièce, des souvenir me revienne en mémoire, j'ai toujours détester que mes frères viennent ici. Je chasse c'est souvenir de ma mémoire quand la porte s'ouvre.

Maya entre...

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Un léger sourire aux lèvres, a peine la porte refermer, je la prends dans mes bras.

- Hibiba, dis-je.

- Salut, entendais-je de sa voix.

Nos lèvres reste en contact pendant un petit moments. Quand je m'écarte d'elle, je la regarde de la tête aux pieds, elle porte un jeans et un sweat.

- Je t'ai ramener des vêtements, mais ils sont avec les garde, lui dis-je.

- Merci, me dit-elle.

- C'est quoi cette histoire? lui demandais-je, tu touche pas a ça.

- C'est pas a moi Tarik, je te le promet.

- Je sais, mais c'est a qui? a part ta cousine personnes n'a pu avoir accès a ton appart.

- Non, personnes, dit-elle les larmes au yeux.

Elle essuie son visage avec sa manche.

- Comment ça se passe? lui demandais-je.

- Ca va, vraiment, je pense que j'aurai pu tomber sur pire, mais je veut pas rester là.

- Dans deux mois tu sort, d'accord, lui dis-je.

- Oui, tu me manque, me dit-elle.

- Toi aussi, quand tu sortira on partira quelques temps tout les deux d'accord.

- Oui. Comment ça se passe dehors?

- Nader et Lise s'occupe du site, ne t'inquiète pas, d'accord. Tout se passe bien.

- Et toi ça va? me demande-t-elle.

Je prends quelques second avant de répondre.

- Oui ça va, mais je me sentirai mieux quand tu sortira d'ici. Je me sens seule la nuit, lui dis-je.

- Deux mois? me demande-t-elle.

- Oui, dis-je, deux mois.

- Sinon tu a eu des nouvelle de mes parents?

- Non, désoler, mais je vais les appeler, d'accord. Ils faut qu'ils viennent te voir.

- Non, me dit-elle, non faut pas, j'ai pas envie qu'ils me voie ici, je veut que personnes vienne, où très peu, mais pas mes parents.

- D'accord, mais je leurs dirais d'appeler, ou tu les appellera.

- Oui, me dit-elle. Comment vont Lise et Nabil? leurs voyage c'est bien passer?

- Tu veux vraiment parler d'eux?

- Non, me dit-elle, mais j'ai besoin d'avoir des nouvelles du monde extérieur.

- Oui, désoler.

Je ne lâche toujours pas la main, sa peau me manque, elle souris, mais c'est loin d'être son vrai sourire, il n'y a pas cette lueurs que j'aime temps dans ces yeux.

- Sinon l'album? me demande-t-elle.

- Il avance doucement, lui dis-je.

- Très bien, me dit-elle en me souriant.

- Je viendrais souvent te voir, me dit-il.

- Deux mois sa devrait passer vite? Non? me demande-t-elle.

- Oui.

- Si je me rappelle bien, tu a bientôt des concerts non?

- Hbiba, s'il te plais ne parlons pas de ça, lui dis-je.

Elle souffle.

- Oui... désoler, me dit-elle.

Je me lève et la prends dans mes bras. Son parfum me manque, la douceur de sa peau également. J'approche mon visage du siens et pose mes lèvres sur les siennes, mais malheureusement la porte s'ouvre. J'ai du mal a me détacher d'elle. Mais le garde nous rappelle a l'ordre. Elle se sépare de moi, c'est elle qui brise le contact entre nos mains.

- Je t'aime, me dit-elle.

Je lui souris, je reste regarder la porte qui se referme d'un seul coup, je me retrouve seule dans cette horrible pièce, où se tenait quelques temps plus tôt, la femme de ma vie. Je souffle et quitte la prison.

Maya n'a pas sa place ici, elle devrait être au près de moi, a sourire, a rire, mais non elle reste croupir en prison pour deux mois. Sa me bouffe qu'elle soit là, notre appartement est vide sans elle, mon lit est vide sans elle, sans son rire. J'ai besoin de Maya dans ma vie...