Chapitre 16 : 3/3 a vos yeux je suis jules

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« Dors petit homme, je ne te laisserai pas tomber. »

«  je sais mon grand »

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- Jules bouge toi !

Je me redresse et comprends que je me trouve à l'infirmerie. Devant moi tristan.

- Bouge toi on doit repartir ! Tu sais le roi, le banquet. Si tu te lève pas maintenant je pars dans Toi. Le doc t'a soigné et tu as tes habits de cérémonies à côté. Je te laisse 10 min je vais au écuries.

Je m'assois sur le bord du lit remarque sur le lit d'à côté des habits de cérémonies identiques au précédents. Je les enfiles et nous la cape autour de mon cou. J'enfile les bottes. Il y'a des gants et la cape possède une capuche. J'enfile les gants, très fins, orion passe dessous sans problème. Je sors, mes pas sont hésitants. Faut-il vraiment aller à ce banquet. N'est-ce pas une mauvaise idée. Et puis on vient de passer plus de 120 heure dans des cachots sous ses ordres et maintenant il espère qu'on va faire mumuse. Tant pis. Je remonte la capuche sur ma tête. Une mèche de cheveux passe devant mes yeux. On m'a refait une couleur pendant mon sommeil. J'arrive dans les écuries Soliane est seller. Et pas d'une selle habituelle, une selle orné de fils d'or une poignée plus haute, un dossier, pas des étriers mais des barres en métal. Pas de harnais avec l'anneau habituel mais des sangles accrochées au dossier. Une selle d'apparat sans doute.

« Ça va mon grand ? »
« Oui mais cette selle est vachement plus lourde, en plus elle entrave mes mouvements. »

On sors dans la cours ou Tristan est déjà sur sa dragonne mais aussi verte que Soliane. Ou saul pour le roi. Maitre anila est présente aussi.

- Jolan vient la. Ou Jules plutôt.

Je m'approche de maitre anila laissant Soliane à côté de l'immense dragonne.

- Tout les dragonniers meme si ils ne le sont pas a la naissance, font parti de l'aristocratie. Pas de la noblesse quand même mais cela fait des dragonniers plus que des plébéiens. Donc tu dois porte une épée. Signe d'importance. Comme tu n'en a pas une à toi je t'ai pris celle dont tu te sers à l'entraînement. Bon j'ai quand même demandé à un forgeron de lui refaire une beauté et j'ai remis des bandes de cuir neuves. Le fourreau doit par contre est porté sur le côté naturellement. Et vu que tu es droitier tu dois le porte à gauche.

Maitre anila m'aide à installé le fourreau sur ma hanche. Je n'aime pas du tout le poids de cette lame. Elle me donne un sentiment d'importance, une reconnaissance pour le roi.

Elle s'adresse a Tristan.

- Tu en a une ?

- Oui j'ai ma propre épée.

- Alors allez-y. Je ne vous retarde pas plus. Vos dragons connaissent le chemins. Salkia leur a montré.

Je monte sur cette nouvelle selle. M'attache et pose mes mains sur la poignée.

«  En plus d'être lourde cette selle n'est absolument pas ni Confortable ni pratique ! Je n'ai aucune liberté de mouvement. »

« Ça c'est sur, je m'en doutais quand ils me l'ont mise. Je savais qu'elle je te plairait pas. En plus elle est trop grande »

Les deux dragons décollent. Là dans le ciel je me rends compte en volant à côté d'un autre dragon de la majesté de Soliane. Malgré la selle qui l'encombre vu qu'elle est trop grande pour lui, son vol est plus souple plus rapide et plus léger.
Je gigote sur ma selle. En plus des défauts qu'elle a, je ne sens pas Soliane, ses mouvements, les contractions de ses muscles. On est moins en symbiose.

Cavalier d'argent - Tome 1 : Liehle - Terminé + en chantier ( réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant