⚠️ Actuellement en pleine réécriture, certains détails ne s'accordent pas, vous êtes prévenus !
____________________
Cela fait sept ans que Marinette est partie à New York. Et sept ans qu'elle et Adrien ne se sont plus revus. Le temps, quant à lui...
À présent allongée sur mon lit l'air pensive, la tête rejetée en arrière avec l'envie de savoir, je reste fermement dans le noir. Adrien était si proche de moi. Tellement. Et cet homme, qui m'a mis en garde face à lui. Je n'arrive pas à me faire à l'idée qu'Adrien puisse me faire du mal.
Je m'endors avec toutes ces questions en tête.
P.D.V Adrien
J'étais à seulement quelques centimètres de son visage. J'avais envie de l'embrasser mais non. Elle a été effrayée et à repris ses émotions.
M'empêchant de goûter à ses fines lèvres, sucrées et délicieuses. J'aimerais qu'elle redevienne ma petite amie. Mienne. Mais je sais qu'actuellement c'est impossible. Mais pourquoi ai-je tenu tête à Clowns ? Si je ne l'aurais pas fait, jamais d'accident ne serait arrivé, mais si je ne l'avais pas fait qu'est-ce qu'il aurait fait ? Certainement, la même chose. Il avait dû prévoir ça a l'avance.
Mes yeux se ferment peu à peu et je finis par m'endormir, exténué.
P.D.V Marinette
Je me réveille calmement grâce à la lueur du soleil qui se reflète sur mon visage encore endormi. Tous mes souvenirs reviennent brusquement, Adrien, Clowns, mon accident. Tout, sauf mes souvenirs d'avant.
Je me lève et part me préparer. Je me douche, me sèche et m'habille.
Tenue de Marinette:
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Une fois prête-je me dirige vers la porte de ma chambre puis sortie. Un long couloir s'offre à moi horizontalement. Je ne sais pas où aller, je suis perdus. J'avance dans le sens qui me semble être le bon mais non, je me retrouve face à une autre porte. Je ne sais pas quoi faire ? Je l'ouvre ou pas ?
Je décide finalement après plusieurs minutes de tracas d'ouvrir la porte. Je l'ouvre et tombe dans une pièce totalement dans le noir. Je m'avance sans savoir où je suis et brusquement je heurte quelque chose. Je pose mes mains dessus et découvre que c'est une bordure de lit. Je continue d'inspecter avec mes mains et touche un torse. Je me fige. D'un seul coup je suis tiré en avant et projeter dans les bras du jeune inconnu. Je reconnais bizarrement son parfum, Adrien. Ses bras se resserrent autour de moi, m'emprissonant. Étrangement sa ne me dérange pas, je viens même à apprécier. Dans le confort de ses bras je me sens mieux. Comme si mon problème de mémoire n'était plus qu'un second plan. Que seulement lui et ses bras autour de mon corps.
-Humm... grogne Adrien quand sa main vient toucher mon ventre.
J'arrive à apercevoir un sourire sur son visage encore endormi. À l'aide de sa main il caresse mon ventre tout doucement. Ça me fait tellement de bien. Mes muscles se détendent, s'apaise. J'adore cette sensation. Être dans ses bras me libère, m'apaise tellement que je ne me crois plus sur terre.