P.D.V Marinette
Planté face à la porte du bureau d'Adrien, je suis immobile depuis déjà quelques minutes hésitant à toqué. J'ai bien réfléchi et je ne veux pas être en froid avec lui à cause d'une simple boisson. Alors, je me suis raisonné et j'ai marché en m'imaginant plusieurs scénarios dans ma tête avant de me retrouvé à lui, seulement je ne savais pas que j'aurais tant de mal à toqué, car avant d'entrée il faut que je toque et qu'il m'autorise à rentrée, je ne peux pas rentré comme une idiote et m'excusé comme une folle face lui. Il me prendrait pour une hystérique, et c'est la dernière chose que je voudrais ! C'est donc pour ça que j'angoisse à l'idée de me retrouvé face à lui, et de devoir m'excusé.
Il faut que j'ai l'air décontracté, et surtout que je sois naturel, Adrien sait quand je ne le suis pas et me demande les raisons de mon stress, mais si seulement il savait. À tous les coups, il me jetterait dehors à coup de pied dans le popotin !
Je secoue brusquement la tête pour chasser toutes ses mauvaises idées qui naissent dans ma tête sans permission. J'inspire profondément, pour me donné du courage et soupire fortement puis toque. Les minutes semblent durée des éternités, avant que sa voix ne retentisse et m'autorise à rentrée.
Je rentre et le retrouve assis sur son bureau un verre d'alcool dans la main. Son regard vient se planté dans le mien et me fait rougir. Je m'avance vers lui toujours dans un silence de plomb et m'arrête face à lui. Je commence à bafouiller des mots incompréhensibles, gênée et stressée.
-Je... tu vois pour tout à l'heure... je.... je m'excuse... c'est vrai, je ne voulais pas t'obligé à boire quelque chose que tu ne voulais pas.... mais c'était très important... désolé... Je finis en soupirant fatigué de me ridiculisé.
Moi qui voulait être 100 % naturel, c'est raté ! En plus je suis aussi rouge qu'une tomate, tellement j'ai honte de moi. Mon corps bouillonne de honte, et je voudrais me planqué dans le trou le plus profond du monde à cet instant. Le regard perçant d'Adrien me brûle la peau, comme un rayon de soleil sur ma peau, c'est brûlant et interpellant. Mais je garde la tête et le regard baissé, si jamais, je croise par accident son regard vert et profond, je risquerais de faire une crise cardiaque sur le champ. Et je ne veux pas mourir, pas devant lui.
-T'inquiète pas, j'ai bien réfléchis et c'est à moi de m'excuser et non à toi. S'excuse-t-il en déposant son verre sur son bureau pour s'approché de moi et prendre mes mains dans les siennes.
Je t'en prie Adrien... n'approche pas plus, sinon je vais explosé. Mon corps a terriblement chauds et tous mes sens sont en alertes, à cause de sa proximité avec moi.
-Adrien, je ... Je soupire.
Il relève mon menton à l'aide de son doigt et me coupe en déposant ses lèvres sur les miennes. Je passe automatiquement mes bras autour de son coup et m'accroche à lui. Je réponds à son baiser avec amour et entrain, je l'aime tellement, que cette douceur m'avait manqué, la douceur de ses lèvres et de ses gestes. Il passe ses bras autour de moi et me colle à lui, et insère sa langue dans ma bouche. Nos langues, enchaînent un bal endiablé entre elles. Je profite un maximum de ce moment si tendre et doux, qui est si rare, pour m'accroché un peu plus à lui tout en l'embrassant tendrement.
Nous nous séparons, essoufflé. Je le prends dans mes bras, encore gênée de croisé son regard.
-Je t'aime... Me chuchote-il à l'oreille.
Je le serre un peu plus contre moi, heureuse de l'entendre dire ces trois petits mots qui font battre fort mon petit cœur.
-Je t'aime aussi... Je lui chuchote en retour à l'oreille.
Il me presse un peu plus contre lui puis se recule, tout en me gardant dans ces bras. Je rencontre son regard que j'avais tant redouté, au final tout se passe bien, mon angoisse s'évapore quand son regard rassurant et profond rencontre le mien. Puis mon autre raison me revient subitement à l'esprit, je me détache de lui et dit:
-Il faut que je te parle d'un truc... mais assis-toi. Je lui demande calmement.
Je sais qu'il va m'en vouloir, mais je ne veux plus de mensonge entre nous, alors je me lance. Je m'assois face à lui et commence un long monologue.
-Alors tout d'abord si tu ne veux plus me parlé après mes aveux je comprends toute affait, mais avant de me coupé laisse-moi finir jusqu'au bout. Je lui demande gentiment.
Il me regard et hoche la tête sans rien dire, on dirait que lui aussi doit me confié quelque chose, mais quoi ? Je n'en ai aucune idée, et cela m'intrigue, mais moi d'abord.
-Alors... si je suis revenue ce n'est pas par hasard. C'est Clowns qui m'a permis de te revoir contre des documents, haute défense que je devais lui remettre se soir. J'explique gênée.
Plus je lui expliquais toute l'histoire, plus je me trouvais pitoyable et sale, j'avais l'impressions e le trahir et de lui avoir toujours mentis. Ce n'est que quand j'arrive à la partie de l'identité de Clowns que ma voix s'arrête et me quitte. Je regarde Adrien, et lui aussi me regarde, mais les mots ne veulent pas sortir, mon corps se refuse à lui avoué ma vrai relation avec Clowns alias Aidan.
-Je... je connais Clowns plus intimement que je ne le pensais. Je lui avoue timidement en baissant le regard.
Je le sens se crispé sous mes mots, mais je continue.
-Je connaissais Clowns, c'était même mon meilleur ami à New York, son vrai nom est Aidan, c'est le fils de la meilleure amie de ma mère, celle qui m'a hébergé pendant cinq ans. Je lui dois beaucoup. Mais là n'est pas le sujet. Son fils, Aidan, était mon meilleur ami, jusqu'au jour où il m'a avoué éprouvé plus que de l'amitié à mon égard. Je ne pouvais pas lui mentir, car mon coeur appartenait déjà à un garçon. Alors je lui ai gentiment expliqué que je ne ressentais que de l'amitié à son égard, à partir de se jour là, il est partit et je ne l'ai plus jamais revue, jusqu'à maintenant. J'explique.
J'ai l'impression d'avoir raconté une partie de ma vie passé, c'est le cas en même temps, mais une drôle de sensation envahit mon corps. Peut-être de la tristesse et du regret ?
-Je suis désolé... S'excuse Adrien en prenant mes mains dans les siennes. Je suis désolé d'avoir brisé votre amitié.
Ses yeux pétillent et brillent comme si il allait pleuré. J'ai un pincement au cœur quand une larme coule de son œil, je le prends dans mes bras et le serre fort en le rassurant qu'il n'y est pour rien si Aidan et moi ne sommes plus amis, c'est la vie, c'est comme ça.
-Adrien... ne pleure pas. Tu n'y es pour rien si mon coeur ta choisit. Tout va bien, je t'ai toi et c'est le plus important, ne pleure plus, je t'en prie. Je le supplie, la voix tremblante.
-Je... je suis désolé de tout le mal que j'ai pus te faire ma princesse... Sanglote en s'excusant Adrien en plongeant sa tête dans mon cou.
-Je suis désolé de t'avoir menti chaton... Je m'excuse à mon tour.
Je me recule et pose délicatement ma main sur sa joue et essuie du revers de mon pouce une larme. Je plonge dans son délicieux regard émeraude qui me redonne confiance et foi en une seule seconde. Je lui souris tendrement puis de mon autre main, je tends mon petit doigt et dit:
-Plus aucun secret ni mensonge entre nous deux ?
Il lève son petit doigt et l'enlace avec le mien en disant:
-Plus aucun.
Il me sourit, et je crois rêver, car son sourire sincère m'avait manqué. C'est de se Adrien dont je suis tombé amoureuse autrefois, et c'est du même dont je resterais amoureuse, à vie.
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Bonsoir, j'espère que ce chapitre vous aura plu !
Je publie le tome 1 se soir ! ENFIN ! XD ! Bref, bonne lecture à tout ceux qui iront lire !
N'hésitez pas à me laisser vos avis en commentaire !
❌ Chapitre non corrigé ❌
Bonne soirée et, bisous à vous 💖💚
VOUS LISEZ
Ne me quitte plus
Paranormal⚠️ Actuellement en pleine réécriture, certains détails ne s'accordent pas, vous êtes prévenus ! ____________________ Cela fait sept ans que Marinette est partie à New York. Et sept ans qu'elle et Adrien ne se sont plus revus. Le temps, quant à lui...