Chapitre 75

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 lendemain, Angelica ne s'était pas faite prier pour bénéficier de sa journée sans parents et prit le large dans la matinée. Après le départ de sa fille, Bette retourna s'allonger aux côtés de Tina qui dormait encore. Elle était allongée sur le ventre, les rayons du soleil caressait son visage et sa jambe, repliée sur le côté, faisait remonter son t-shirt, laissant apparaître ses fesses. Bette ne pouvait que l'admirer, elle qui avait toujours aimé leur fermeté et les comparer à "deux pommes". Elle embrassa sa main, posée sur le coussin et caressa du bout des doigts son bras. Tina poussa un léger soupir et dans c'est en souriant qu'elle ouvrit les yeux.

"-J'ai toujours aimé te regarder dormir..."

Tina enfouit son visage sous les draps en riant.

"-Arrêtes, je suis affreuse et toute bouffie!"

Bette s'approcha d'elle et lui sauta dessus l'assenant de baiser dans le cou et l'empêchant de se défendre.

"-T'es magnifique, t'es magnifique, t'es magnifique!

-Mon corps, mes choix Mademoiselle Porter! Lâchez-moi sinon je me verrais dans l'obligation de porter plainte!"

Bette se redressa sur les genoux et dégrafa sa chemise de pyjama. Elle leva un sourcil et lui demanda:

"-Porter plainte? Voyez-vous ça... Et pour quel motif?"

Elle fit virevolter son haut à travers la pièce, se retrouvant torse nu et la retourna d'un tour de main pour l'avoir face à elle. Tina lorgnait sur sa poitrine délicieuse et attrapa ses mains, la ramenant sur son corps.

"-Attentat à la pudeur!

-Aouch... Je vais devoir être sévèrement punie alors?"

Tina glissa une main entre les jambes de son ex, la caressant par dessus sa lingerie. Bette sentait la chaleur de l'excitation se dessiner dans son bas ventre et appuya son sexe contre la main baladeuse qui lui procurait cette sensation.

"-J'en ai bien peur oui! Surtout que vous êtes une multirécidiviste... Ne savez-vous donc pas vous retenir?

-Malheureusement non... Et je préfère vous prévenir je recommencerai dès que j'en aurai l'occasion.

-Mademoiselle Porter je crois qu'il va falloir que je vous punisse.

-Oh oui... Punissez-moi fort. Très fort."

Dix ansOù les histoires vivent. Découvrez maintenant