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« Non volevi quando potevi, non potrai quando vorrai🤷🏽‍♀️🙄 »

Je ne vous mens pas que je suis absolument stressée à l'idée de revoir mon père. Enfin mon géniteur.

Je sais pas pourquoi mais il y a une petite voix en moi qui me dit qu'il me reconnaîtra. Après tout, je suis sa fille et c'est mon père mais mon ego refuse de l'écouter. À vrai dire j'ai envie qu'il me reconnaisse et j'ai envie de lui dire ses 4 vérités en face mais je vais essayer de me canaliser au plus fort.

Bref, Zaïr arrête la voiture dans un immeuble hyper pas loin du mien et on sort de la voiture. Je suis restée devant le porte de la voiture car je ne voulais pas y aller. Je me disais que je pourrais faire demi-tour et aller chez moi mais non. Je reste figée là.

Zaïr: ça va Deva?

Moi: oui t'inquiètes.

Karim nous rejoins.

Karim: t'es toujours sûre de ton idée?

Moi: *souffle* oui certaine.

Enfin bref, on est rentrés dans un bâtiment assez sale mais plus propre que le mien et on s'est arrêtés devant une porte. Ça doit être là.
Karim toque et un grand monsieur, avec la peau mate et les mêmes identiques yeux que moi ouvre la porte. Ça doit être pap...Hakim.

Hakim: Karim?! Wouldi!!!!
[mon fils!!!]

Ils se prennent dans les bras et on rentres chez eux.

Karim: alors? Ça dit quoi depuis?

Hakim me fixait longuement.

Hakim: *toujours en me fixant* tu crois je t'ai pardonné sale hmar?! Tu m'a laissé ici seul à cause de tes conneries.

Karim: we mais oklm j'suis là maintenant.

Hakim: comment ça se fait t'es là d'ailleurs?

Zaïr: c'est grâce à Marie-Jeanne. C'est une bonne avocate.

Hakim: alors comme ça tu t'appelles Marie-Jeanne?

Moi: oui monsieur.

Hakim: mmh bizarre. Tu me sembles familière.

Moi: pourtant c'est la première fois de ma vie que je vous vois.

Hakim s'approche et tire avec lui Karim. Il le met à côté de moi.

Hakim: mmhh. Deva...

Moi: comment?!

Hakim: non rien tu ressembles juste à ma fille morte c'est tout.

Pardon? Vous avez lu ce que j'ai entendu j'espère! Moi morte?! Alors là ça va pas le faire du tout! Zaïr et Karim me regardaient car ils savaient j'allais craquer.

Moi: pardon? Moi morte? Et puis quoi encore! Arrêtons d'utiliser cette excuse bidon de Marie-Jeanne! Je m'appelles Deva Chiari et malheureusement je suis ta fille.

Cendrillon à Paname👑🌹Où les histoires vivent. Découvrez maintenant