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«Se il mondo crollasse, i tuoi occhi sarebbero l'unico posto dove mi sentirei al sicuro💕»

Zaïr: Deva attends.

Je me suis tournée et en effet c'était bel et bien Zaïr. Il peut pas me faire ça; venir me voir le dernier jour pour me dire j'en sais quoi. Je lui interdit! Malgré le fait que ma raison me dise de pas me tourner et de monter dans ce putain d'avion, mon coeur, lui, en a décidé autrement.
Je ne savais pas quoi faire. J'étais perdue entre l'idée d'aller le voir et le prendre dans mes bras car il allait bien ou aller le gifler.

Moi: Zaïr...

C'est le seul mot qui a pu sortir de ma bouche.
Une fois que j'ai repris mes esprits, je prît ma valise et alla dans sa direction.

Moi: qu'est-ce que tu fais ici?

Zaïr: je viens te redonner ta veste.

C'est une blague?

Moi: Zaïr? Tu te fous de ma gueule j'espère. T'es sérieux là?

Zaïr: nan j'suis sah. Tiens elle est là. *il me tends la veste*

Moi: genre, t'es venu ici que pour une veste? T'as pas autre chose à me dire?

Zaïr: non. C'est tout ce que je voulais te dire.

Il allait partir mais je le prît par sa veste et je le rapprocha à moi. Premièrement je le prît dans mes bras car j'étais heureuse qu'il aille bien et deuxièmement je l'éloigne de moi mais toujours en tenant le bout de sa veste.

Moi: *larmes aux yeux* tu ne vas pas me dire que le peu qu'il y a eu entre toi et moi, ne vaut rien à tes yeux?

Zaïr: depuis le début je m'en bats les couilles de toi t'as pas compris? Tu crois vraiment que deux personne peuvent s'aimer en si peu de temps?

Moi: Zaïr je t'avais interdis de me faire ça. Tu sais très bien que ce genre de chose me fait mal. En plus, toi même tu m'as dit qu'on pouvait essayer! Et tu sais quoi? Pendant ton absence j'ai fais que de penser à toi! Tu trouves ça normal? Pourquoi tu m'as fait espérer pour rien? Je t'ai fais quoi pour mériter ça?

Zaïr: *rire nerveux* je m'en bats les couilles. T'as pas compris ou quoi? Maintenant me casse pas la tête et lâches moi. Retournes en Italie et oublies moi.

Je le lâche.

Moi: *je sèches mes larmes et je le lâche* Bien. Si c'est comme ça, je vais m'en aller et te laisser tranquille.

J'ai tiré ma valise et je me suis retournée pour m'en aller quand il me rappela. Ah il y a peut-être un dernier espoir!

Zaïr: Deva?

Moi: *je me retournes* quoi?

Zaïr: t'as pas pris ta veste.

Je vais me tuer.

Moi: *je lui ai arraché la veste des mains* vas te faire foutre Zaïr.

Cendrillon à Paname👑🌹Où les histoires vivent. Découvrez maintenant