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« Ho un carattere del cazzo, ma almeno ne ho uno😉 »

Ça fait une semaine que tout est redevenu « normal ». J'ai retrouvé la mémoire et je me souviens de tout. Chaque petit détail.
Depuis 5 jours je suis enfermée chez moi et je refuses de voir les autres. Même mon père, Karim et Zaïr. Ils m'ont vu dans un sale état et je sais que c'est pas bien de les éloigner mais je veux et j'ai besoin de temps pour moi. Ça n'arrive pas à tout le monde de se faire kidnapper et se faire manipuler psychologiquement de la sorte. Dire que j'étais à deux doigts de le faire avec Toufik... arghh je me dégoûte!

Mirea et Giulio arrivent ce samedi. Ils comptent rester une semaine ici et après on est censés repartir ensemble au Brésil pour nos vacances d'été. En vrai de vrai je n'ai absolument aucune envie d'y aller mais vu qu'on a attendu ce voyage depuis si longtemps je ne peux pas refuser du jour au lendemain.

Samedi

Moi: mes amouuurs!!

Mirea: amoreeeeee!!

On s'est prises dans nos bras.

Giulio: ...

Moi: qu'est-ce que t'as? Tu me parles plus?

Giulio: oui. Toi tu nous a pas parlé pendant des semaines non?

Moi: *baisse la tête* d'ailleurs faudra que je vous parles.

Mirea me relève la tête.

Mirea: eh? C'est quoi cette tête toute triste?? *souris* on sait très bien qu'il t'es arrivé quelque chose hein. On te connaît Deva.

Giulio: we et c'est aussi pour cette raison qu'on doit absolument aller au Brésil pour te changer les idées.

Moi: *larmes aux yeux* je vous aimeees!!

On se prends dans nos bras.

Eux: nous aussii!

On est partis de l'aéroport et on est rentrés chez moi. Malheureusement pour moi, les autres étaient là. J'étais sortie exprès ce matin tôt pour les éviter. Je ne veux vraiment pas les voir.

Safia: Deva!

Moi: hey...

Nisrine: oh enfin on te vois! T'as grave maigris!

Moi: oui...

Mirea: désolée les filles mais on doit aller préparer ses valises.

Giulio: wee on doit bientôt partir pour le Brésil. Désolé!

Rachid: Deva tu vas bien?

Moi: oui bien sûr. Bon salut!

Une fois rentrés.

Moi: merci beaucoup.

Ils me prennent dans leurs bras.

Giulio: t'inquiètes.

J'ai commencé à pleurer dans leurs bras. Je leur ai tout raconté; depuis le début. Ils étaient choqués et c'est tout à fait normal. Giulio avait envie de frapper quelqu'un mais il n'y a aucun coupable malheureusement.

Cendrillon à Paname👑🌹Où les histoires vivent. Découvrez maintenant