Chapitre 86: France

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Je suis dans la voiture et pour une fois je conduit. Paul c'est endormi, il est trop mignon quand il dort. Il est trop mignon tout le temps. Nous sommes sur la route pour retourner dans mon ancienne maison familiale, ma maison en France. Les accords avec les volturies ont étaient signés et mis en place, maintenant nous sommes en France. Nous allons retrouver Dido dans deux / trois heures. Je fixe la route tranquillement, dans le calme. Et la on remercie les calmant de faire effet sur les loups. J'en pouvais vraiment plus de Paul et  de ses pulsions sexuel, ça va le calmer le loup. J'arrive devant ma vieille maison. J'enfile ma veste  et sors de la voiture que mon cousin m'as laissé sur le parking de l'aéroport.

Je prend une grande bouffer d'air et m'arrête devant la porte

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Je prend une grande bouffer d'air et m'arrête devant la porte. Les souvenirs remontes, j'ai vécu toutes mon enfance ici. Mais également sa fin. Mon viol et le massacre de mes parents. Je me souviens qu'il y a un peu près trois ans, nous étions là, au même endroits, avec mes freres: Jay et Slash. Ils me manquent beaucoup. Une larme coule le long de ma joue. Je la laisse s'écraser sur le sol boueux. Ca a beau être les grandes vacances, ça a beau etre l'été, ici qu'il fait froid ou chaud, il pleut souvent. Au moins une à deux fois par semaine. C'est sûr que c'est moins qu'a Forks mais je préfère Forks, la réserve et la pluie. Bon aller Tanilia, on y va. Je souffle et rentre dans la maison.

J'entre dans ma maison à moitié brûlé

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J'entre dans ma maison à moitié brûlé. Il y a encore des traces de sang et des bout de peau sur les murs. Oh merde j'ai envie de vomir. Je sors en courant du salon, je sors de la maison et biensur, grace a mes deux pieds gauche, je me prend les pieds dans une branche et tombe à genoux. J'ai besoin d'air. Je ferme les yeux et passe mes mains sur mon visage. Je laisse tomber ma tête en arrière, j'inspire un grand coup et ouvre les yeux.
-"Ah ! " je lache un crie de surprise lorsque je vois Paul sourire en face de moi.
-"tu t'attendais pas a me voir réveillé, pas vrai Tanilia"
-"Paul, je... Eum... Pfff" je passe mes mains sur mon visage et me relève. " désolé mais tu m'as pas laissé le choix"
-"ah ouais ?"sourit il
-" oui, dit moi si j'ai faux. J'ai pris le volant " il hoche la tête" et toi tu était encore une fois dans une forme olympique " il rit puis hoche la tête" tu voulais continuer se qu'on a fait à voltura et dans les toilettes de cette aéroport. Ce qui n'est pas très hygiéniques " il rit encore une fois en attrapant ma main" et tu comptais donc pas me laisser sans ' passer' ta main entre mes cuisses" dis je en faisant des guillemets, reprenant ses paroles. il sourit en se rapprochant de moi. Il glisse sa main sur mon bras et la passe sur ma taille." sauf que je dois récupérer des truc dans ma maison avant de rejoindre Dido et les meutes" Paul lève les yeux vers la maison, il me regarde et dépose un baiser sur mon front avant de me tirer vers la maison. "Nan" dis je en m'arretant. Paul se retourne " on devrait passer directement par derrière. Le... Le salon n'est pas nettoyé et les flammes n'ont pas tout avalé."
-"c'est comme tu veut bébé" dit il doucement en me tirant dans ses bras. Je m'accroche à son tee shirt et il embrasse le haut de mon crâne. Je le lâche et lui fait signe de me suivre. Je m'arrête devant la grande porte en métal, je la pousse et entre dans l'entrepôt de mon père." oh putain la baraque"
-"merci, tout le côté droit de la maison était pour les chasseur. L'étage était réservé pour les armes en tout genre. Ici, c'est l'entrepot, la pièce de torture. Le côté gauche était réservé à notre famille. Après le meurtre, nous avons brûlé la maison après avoir fait des malles biensur. Trois malles avec nos affaires, une pour chacun de nous. Jay et Slash ont déjà récupéré la leurs. Aujourd'hui je viens chercher la miennes" 
-"t'es sur ?" j'hoche la tête et me met à genoux sur le sol poussière, je retire un morceau du plancher et ouvre la grosse malle cachée en dessous. J'en sors plusieurs photos, ainsi que des vêtements, des boîtes remplis jouers que j'avais enfant , des livres appartenant à ma mère et des armes.  Paul s'accroupit et attrape les photos alors que je regarde les livres. " c'est qui sur celle là ? Elle est mignonne" rit il

-" c'est moi" souriais je " a cette apoque j'étais dingue de skate

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-" c'est moi" souriais je " a cette apoque j'étais dingue de skate. Ma mère m'a interdit d'en faire à partir de mon troisième séjour à l'hôpital" il éclate de rire et je le frappe au bras " rit pas, ça fait mal de tomber" souriais je.
-"en tout cas je vois que t'étais folle de veste" dit il en montrant les vêtements
-"je le suis toujours et ma sage mère disait toujours, 'on a jamais assez de veste'. Puis si tu regarde bien, elles sont toutes différentes par la couleur ou les motifs et sa change complètement une tenu"
-"c'est ça fait l'experte"
-"chéri, j'ai des armes sous la main tu devrais éviter de me chercher"
-"ah ouais" sourit il. Je sourit, attrape une arme avant de lui coller sur le front
-" Glock 19 Gen4 de calibre 9 mm Luger, une excellente puissance de feu, tout en permettant de tirer rapidement et avec précision ainsi qu'une capacité importante dans le chargeur. C'est mon arme préféré" je sourie et Paul passe sa langue sur sa lèvre. D'un coup, je me retrouve allongé sur le dos, Paul tenant ma main et l'arme au dessus de ma tête et maintient ma seconde main au niveau de mon bassin. Je me débat mais rien ne change.
-" je suis bien plus fort que toi alors me menace pas, tu pourrais le regretter"
-"attend tu me menace ?" il sourit. D'un coup, je ressens la force du loup apparaître. Je dégage mes mains et repouse Paul, il tombe sur le dos et je me met à califourchon sur lui avant de remettre l'arme sur sa tempe. " je suis plus forte que toi"
-"oui mon cœur mais pas sous cette forme" sourit il avant de nous faire tourner. Se plaçant entre mes jambes, il fait glisser l'arme jusqu'au mur puis place sa main sur ma joue avant de m'embrasser et je répond avec passion. Il me retire ma veste et je retire la sienne avant de me rallonger dans la poussière.

Les adoptées de ForksOù les histoires vivent. Découvrez maintenant