Tim 38

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 Je n'ai pas beaucoup dormi, j'ai pas mal parler par message avec Elias. Ce matin, je lui ai préparé son petit déje, les placards son bien vide, j'ai du mal a comprendre, elle gagne bien elle devait avoir placard et frigo plus remplis que ça. Je suis aller me préparer le temps qu'elle fasse de même.

Son rendez-vous, c'est bien passer elle est à son 3 mois, ais le gynéco, lui a demandé de se reposer elle a une tension très haute, et c'est pas bon pour elle, mais surtout pour le bébé. Coleen a pas tourné la tête quand on a fait l'échographie, elle a pleuré quand on a entendu le cœur, mais je suis franchement perdu, je n'arrive pas à savoir ça logique. 

Je l'ai déposé chez elle, Késsy a prit le relais.

Je vais au MC Elias y est sûrement, je le vois avec nos pères.

- Alors mon fils... Oh il a un problème ?

- Ouais, 

- On va dans mon bureau,

On s'installe tous, et je leur explique, la situation les placards vide, la panique qui a chez Coleen, sa tension enlever dû au stress. Elias pianote sur son PC, sans me dire un mot.

- A ouais, je comprends mieux. C'est elle qui payer L'Enterrement de sa mère.

- Quoi, elle avait 15 ans, on ne peut pas lui demander ça alors qu'elle était mineur.

- Je vais appeler, pour savoir, toi tu t'occupes de la miss,

- Tu devrais voir avec t'a mère, elle pourrait la rassurait.

- je vais l'appelait, 

- Et tu envisages quoi ?me demande mon oncle.

- Je ne veux pas lui sauter dessus, elle me plait en même temps, elle est très belle, j'aime le fait qu'elle me cherche, mais je ne sais pas hier soir, elle était comme une enfant apeurait, je ne sais pas ci j'ai réussi a la rassure... Je suis un perdu, je ne veux pas de moi d'un coter elle de l'autre, mais bon elle a 22 ans. J'ai 11 ans de plus, franchement c'est la merde.

- Ouais, que veut tu ? On n'est pas foutu dans cette famille de faire notre premier enfant normalement, on fout la fille enceinte, pour être sûr qu'elle ne repartira pas.

- Ouais, les chiens pisse pour marquer leur territoire,  on les fout en cloque, rigole mon père.

- Euh moi, Louise, je n'aurais pas fini ma vie avec ! 

- Super, je vais appeler maman, elle aura peut-être une idée de ce que je peux faire. Vu vos idées a la con, je te les laisse bon courage.

Je sors du bureau, il me gonfle ces deux là quand il on la connerie.

J'appelle Coleen, avant d'appeler ma mère

- Salut

- Salut

- Tu t'es reposer ?

- Pas le choix, Késsy voulais m'attacher au lit.

- Une très bonne idée.

- Ouais on verra plus tard la je ne suis pas vraiment d'humeur

Je soupire, 

- Dis-moi ce que tu veux, 

- Travailler

- Et, ça te ferait arrête de stress

- Arrêt non, mais moins, oui.

- Ok, prépare-toi j'arrive, mais je te, prévins on va le faire a ma façon, tu restes au calme, dans ton bureau, quand tu fatigues tu te repose et si ,ça va pas tu le dis.

-.....ok, 

- Bon j'arrive.

Je passe au garage, je vois Sean, lui explique que je vais chercher Coleen, qu'il prévienne Elias et les gars. Sur le chemin j'appelle ma mère, je lui raconte, pour Coleen, et me dis de venir manger ce soir.

Je me gares à peine que Coleen saute dans la voiture.

- Tu es la seule personne que je connaisse qui veut aller bosser. 

- Mais j'aime mon travail

- Hmm, tu n'as pas eu de nausée ?

- Un peu mais pas de vomissement, 

Quand on arrive les gars vienne la saluer, et reparte bosser, je monte à son bureau avec qu'elle, et je vois que les gras lui on montre, le petit canapé de la salle de repos.

- Mais..

- Je t'ordonne de te reposer, tu stresses, je comprends que tu as besoin de t'occuper la tête, mais tu n'es plus toute seule, lui dis Elias qui est entre dans le bureau. Tu passes me voir quand ta fini. Me dit il

Je prends l'enveloppe et prend la main de Coleen, je nous fais aller sur le canapé, je m'assoie et entraine, Coleen sur mes genoux.

- Écoute, je ne sais pas ce que tu as dans ta tête, je ne sais pas comment réagir aussi, je sais que tu es jeune, que tu aurais peut-être voulu te faire avorter, je pose ma main sur son ventre, Mais il ou elle est là alors ouais on n'est peut-être pas en couple, et je ne dis pas non a ce dénouement, tu me plais, on va faire ça a notre sauce, mais ne refuse pas ce bébé, je ferais tout ce qui est possible pour que tout ce passe bien, dis-moi juste ce que tu veux.... Dans l'enveloppe ces notre bébé, Je te la laisse tu l'ouvres quand tu le sentiras.

Coleen pose sa tête dans mon cou

- J'ai toujours étais seul, j'ai beaucoup de question dans ma tête, et je n'arrive pas à mettre de l'ordre, je ne résonne pas correctement, mais merci d'être là ne change pas ça me rassure. Je ne refuse pas le bébé j'ai peur, si je ne peux pas penser, ma logique fait que je bloque... Tu me fais voir notre bébé ?

Je lui sors l'échographie, et elle, la touche des bouts des doigts.

- C'est bizarre, 

- C'est tous mon portrait je trouve, je lui dis ce qui la fait rigoler.

- Merci, je peux la garder ?

- Oui c'est pour toi, ma mère, nous a invité a mangé, il va surement avoir toute la famille, ça te va elle voudrait parlais avec toi, te rassurais elle m'a eu très jeune, elle pourrait te donnais des conseilles.

- Ça me va, mais tu sais c'est pas que le fait que je sois jeune, il a d'autre facteur, pour commencer financier, j'ai une grosse dette a payé, après que tu refuses le bébé, que je me retrouve seul me fait peur, tu sais les enfants surdoués son souvent mal compris, moi on m'a rejeté, ce qui fait que naturellement je ne suis retrouvé toute seule, et ici, personne ne m'a jugé, je me suis sentie protéger, il avait que ma mère qui m'a protégé.

- C'est quoi cette dette ?

- L'enterrement de ma mère, j'ai un deal avec le directeur. Je bossais pour lui quand j'étais en vacances, et on séparerais mon salaire en deux, mais il ne la pas fais il a vu que mon père ne m'aider plus alors il ma dit quand tu aurais un boulot, on verra. Je garde ce que j'ai besoin et lui donne le reste.

- Attend, je ne comprends pas à 15 ans tu n'avais pas à faire ça

- Et ma mère se retrouvais à la fonce commune

- Je vois, et ci 

- Non, je t'arrête je me débrouille toute seule.

- OK, je... On en reparlera, je vais aller bosser, tu as tout ce qui te faut.

- Oui, 

Je lui passe la main sur sa nuque, et pose mes lèvres sur les siennes, depuis le temps que j'en avais envie.

On ne résiste pas à un bikerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant