Le lendemain de Noël, Alek se trouvait à l'hôpital. Tandis que ses amis étaient rentrés se reposer. Il se trouvait dans la chambre d'Aurole et la fixait, tout en lui parlant.
- Tu sais ma belle, aujourd'hui je me suis levée avec la même tristesse. Aurole tu me manques. Ta voix, ton sourire, réveille-toi par pitié ! Je ne vais pas supporter te perdre une seconde fois.
Il parlait encore quand une idée lui vint à la tête. Puis se levant, il embrassa la jeune fille sur le front avant de sortir de sa chambre.Point de vue d'Alek
Là j'en ai mare, il faut que je parle sérieusement avec Dieu. Parce que s' il me l'arrache cette fois-ci. Je ne saurai pas quoi faire.
Je montais donc dans ma voiture et partie en direction de l'Eglise la plus proche. Au stade où j'en suis c'est la seule option qui me reste.
Après quelques moments dans la voiture, je me garai en face d'une Église. Sans trop réfléchir j'y entrais. Ça doit faire la deuxième fois que j'entre dans une Église et pour la même personne.
J'avançai lentement et me retrouver en face de l' autel, je m'agenouillai fixa le crucifix et commença ma prière.
- Dit-moi qu'est-ce tu attends de moi au juste ? Je n'ai pas assez souffert à tes yeux. D'abord c'était ma mère et mon frère. Alors que je n'étais qu'un gamin.. ensuite tu m'a fait rencontrer cette fille remarquable, j'en suis devenu fou amoureux. Mais tu m'a séparer d' elle. Et j'ai fait la prison là je ne t'en veux pas. Car j'ai fait assez de mal et disons que j'ai payer pour ça. Mais a peine je découvre la joie en retrouvant ma famille, tu me laisses mener une guerre sans merci avec mon frère pour celle que j'aime. Et maintenant tu veux me l'arracher.
Il inspira un grand coup avant de continuer.
- Tu ne peux pas me faire subir toutes ces souffrance. Je ne t'ait rien fait de mal moi ? Je n'ai pas ordonné à ce qu'on te cloue sur ce bois mangin.... Alors pour cet amour dont tout le monde parle. Cet amour que tu as pour tous. Pitié ! Je ne te demande pas de m'accepter moi un délinquant. Mais sauve celle que j'aime et je te promets sur ma vie. Que je reviendrai chaque jours pour te dire merci. Et s'il le faut je te suivrai. S'il te plaît ! S'il te plaît ! Ne me l'enlève pas.
Honnêtement je n'avais plus d'espoir en voyant Aurole allongé sur ce lit. Alors si lui il ne m'aide pas. Alors je ne saurai vers qui me tourner. Je parlais encore quand une vieille dame portant une tenue un peu délabré vint s'agenouiller à mes côtes et me dit :
- Tu crois qu'il peut t'aider ?
Dit donc je ne l'ai pas entendu entrer celle-ci.
- De quoi je me mêle ?
- Oh désolée ! Ne soit pas si agressif. Je t'ai posé une simple question.
- Eh bien il à intérêt ! A ces mots, elle sourit. Mais pourquoi elle sourit ? Elle pense que je plaisante.
- Tu le menace où tu lui demandes quelques choses.
- Bah ....qu'il le prenne comme il veut. Moi je veux juste qu'Aurole se réveille.
- Tu sais mon garçon. La réponse à ta préoccupation se trouve sous tes yeux.
- Comment ça ?
- Quand tu te décidera à tourner la page. Aurole reviendra à elle. Ne t'inquiètes pas, elle n'est pas morte et ne pourra pas tant que sa mission ne sera pas terminée. Jusque là, elle n'a fait qu'une partie. La seconde partie est maintenant entre tes mains. Si tu veux la voir ouvrir les yeux à nouveau. Fait la part des choses mon garçon. Dit-elle dans une autre sourire
Tourner la page ? Attends...Cela voudrais dire qu'elle me demande d'oublier Aurole. Non mais , elle est complètement folle cette dame.
- Je crois que je n'ai plus rien à faire içi. Dis-je en me levant. Cette dame resta là à me fixer dans un large sourire. Décidément l'Eglise regorge de gens pas saines d'esprit. Je lui lançai un dernier regard avant de sortir de cet endroit.Je venais d'arriver à l'hôpital, devinez qui je vois ma mère, et une autre personne qui était de dos. J'espère vraiment que ce n'est pas Dylan. Parce que je n'ai pas envie de le voir.
- Maman ! Dis-je en l'embrassant.
- Mon chéri ! Où étais-tu ?
- Parti regler deux, trois trucs. Mais je suis là
- Super ! Regarde qui voilà ?
À l'instant la silouhette se tourna vers moi et je vois ; Non ! Ça me peut pas être lui.
- Ric....
- Mon frère !
- Putain j'y crois pas. Dis-je tout heureux de le revoir. Et sans même attendre, on se fit une accolade. Il m'avait tellement manqué.
- Quand es tu arrivé ?
- Mon avion vient d'attérir comme ça. Alors ta mère s'est proposé de venir me chercher
- Attends maman tu savais qu'il venait ?
- Disons que ta mère à bien voulut que je sois avec toi en ce moment
- Vraiment ? Merci beaucoup maman. Tu n'a pas idée à quel point. Ça me fait plaisir de le voir.
- J'en suis heureuse mon garçon. Bon je vous laisse. Bonne discute.
Puis elle s'éloigna pour nous laisser parler. Nous nous asseyons donc sur le banc qui était posé là et nous commencions à discuter.
- Te voir est la meilleure des choses qui puisse m'arriver en ce moment.
- Ah mon frère ! Tu sais que je suis toujours là pour toi.
- Oh ça oui je le sais.
- Comment Va-t-elle ?
- Toujours dans le coma. Mec ! Je désespère.
- T'inquiètes pas, ça ira. Garde la foi.
- Ça va bientôt faire un mois !!!
- Aurole est très forte..Elle va s'en sortir. Et puis elle en a traversé des hôpitaux à cause de toi..mais c'est toujours en sortit. Donc ce coup ci je lui fait confiance. Souria Richard.
- Ah ça !! Souria Alek à son tour.
- Et ton frère et ta soeur ?
A cette question, il eut un petit moment de silence.
- Lucie vient souvent la voir. Mais je ne lui adresse pas trop la parole.
- Pourquoi mon frère ?
- Ric tu te rends compte que maintenant où elle se trouve entre la vie et la mort. Elle et son frère croient maintenant qu'il ne s'est rien passer entre nous. Et elle veut se jouer au bonnes sammiritaines . Après tout ce qu'ils nous ont fait endurés
- Ah Alek ! Tu as été toujours très rancunier donc ça ne m'étonne pas de ta part. Mais essaye de leurs pardonner. Ils ont fait une erreur.
- Ne les défends pas Ok.
- Ah... soupira Richard. Tu sais c'est pas facile pour ta mère de voir ses enfants comme ça.
- Je le sais. Mais ce n'est pas de ma faute.
- Tu peux y remédier
- Oh ! Pitié lâche moi.
Ils parlaient encore quand Monique, Lyse et toute la bande arrivaient vers eux.
- Bonjour les garçons. Dit Lyse dans un sourire.
- Qu'est-ce que vous foutez içi !?? Balança Alek à l'endroit de Lucie et Emerick.
Mais ils n'osèrent pas répondre.
Puis se levant violemment il s'approcha d'eux et réprit :
- Je vous ait posé une question ?
- Alek ils veulent voir Aurole. Répondit Monique.
- Pour qu'ils l'achèvent. Hors de question.
- Tu ne crois pas que tu exagère un peu ? Dit Landz.
- J'exagère !! Non mais je rêve.
- Eeeh Alek ! Dit Richard en se levant à son tour. On va parler toi et moi.
- Non Ric je refuse ! Je veux qu'ils disparaissent d'içi avant que je ne fasse une bêtise.
À l'instant, une infirmière vint leur dire :
- S'il vous plaît messieurs, faîte moi de bruit. Les patients ont besoin de repos.
- Désolé mademoiselle. Toi tu viens avec moi point. Dit Richard en sortant avec Alek.Richard discuta pendant un bon moment avec son ami en essayant de le ramener à la raison. Mais aussi difficile et entêté qu'il était, Alek restait ferme sur sa décision de ne pas voir Emerick et Lucie près d'Aurole.
- Tu penses qu'Aurole serait fière de ton attitude en ce moment ? Demanda Monique qui vint les trouvés.
- Comment tu as pu les faire venir ici ?
- Alek ! Je sais qu'ils vous ont fait du mal, mais n'oublie pas que ce que Aurole désirait le plus, c'est que cette histoire se résolve au plus vite. Tu ne peux pas continuer ainsi avec ta famille. Tu cries sur tout les toits que tu aimes Aurole, alors pourquoi tu ne ferai pas ça pour elle.
Les paroles de la jeune fille se planqua direct dans le coeur du jeune homme qui après une bonne inspiration, finit par dire :
- Aurole sait déjà que je l'aime mais je vais le faire pour elle. Pourtant cela ne veut pas dire que je leurs ait pardonnés. Je ne vais pas les laissés seul avec elle au cas où ils voudront la voir.
Puis il parti....
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Frères De Sang Ou Ennemis ?
RomancePS: Pour les Personnes sensibles très fort en émotions. Combien de personnes avions nous abandonner dans notre vie. ? Devant combien de situation de la vie nous sommes nous résigné ? On ne peut répondre à toutes ces interrogations car elles font pa...