Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.

Chapitre 39

Elle n'a à peine le temps de terminer sa phrase, qu'Amine a déjà posé son genou au sol et a sortit une bague.

Amine - T'as tout compris..

Les gens - AAANH !

Amine - Naya, veux-tu m'épouser ?

Naya - Amine.. Je.. Je peux pas..

Amine - QUOI ?

Les gens - COMMENT ÇA TU PEUX PAS ? AZI DIS OUI !

Naya - Mdr.. mais vous énervez pas. Justement, j'peux pas ne pas dire OUI.

Et là, tout le monde s'est mit à applaudir et à siffler. À ce moment-là, je pense qu'Amine était l'homme le plus heureux du monde. Il a prit Naya et l'a embrassé tout en la portant. Les gens sont ensuite aller les voir pour les féliciter, j'ai voulu faire de même et c'est au même moment que mon téléphone a sonné.

« Appel entrant Soufiane »

Je réponds :

Moi - Allô ?

Soufiane - Ouais Arbia ?

Moi - Ouais ?

Soufiane - T'es où là ? Y'a grave du bruit !

Moi - J'suis a un barbecue là. Amine il vient de demander Naya en mariage.

Soufiane - Ah d'accord, mais bouge un peu s'teuplaît.

Moi - Ok, attends.

Je me déplaces un peu, puis reprends ma discution.

Moi - C'est bon ?

Soufiane - Ouais. Bref, j'ai des nouvelles là.

Moi - Par rapport à ?

Soufiane - Ton histoire avec tes parents et tout.

Moi - Ah, et alors ? Qu'est-ce-que t'as trouvé ?

Soufiane - Eh bah.. [...]

Il n'a même pas le temps de me répondre, que Nahir arrive et me dit :

Nahir - Tu parles avec qui là ?

Moi - Attends Soufiane [...] À Soufiane pour.. [...]

Il ne cherche pas à comprendre, il m'arrache le téléphone des mains et dit :

Nahir - Toi t'as pas compris la dernière fois ah ouais ?

Soufiane - [...].

Nahir - C'est Nahir, tu m'reconnais ?

Soufiane - [...].

Nahir - Déjà évite de m'parler comme ça parce que j'suis pas ton pd moi, ensuite, j'te l'redis une dernière fois, Arbia tu l'approches pas, t'arrêtes de l'appeler, tu lui parles plus. Compris ?

Soufiane - [...].

Nahir - Ferme ta gueule, je m'en bats les couilles. J'veux rien savoir.

Soufiane - [...].

Nahir - C'est ce qu'on verra, sal pd va.

Il raccroche, me jète mon téléphone et se tourne pour partir, les sourcils froncés. Je le retiens.

Moi - T'es sérieux toi ?

Nahir - Quoi ?

Moi - T'es sérieux quand tu prends mon téléphone et que tu m'le te-je là ? Tu t'permets en plus de raccrocher.

Nahir - Commence même pas à m'casser la tête. Et toi, t'es sérieuses quand tu continues à parler avec ce fils de pute, ein ?

Moi - Évites de dire que c'est un fils de pute déjà, t'as vu parce qu'à ce que je saches, tu le connais pas donc calme-toi. Et puis.. il est où le problème si j'parles avec lui ? Il est où TON problème. C'est juste un pote et même, j'ai aucun compte à te rendre, toi et moi, on est pas ensemble. J'ai.. [...]