After 4

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Le lendemain-matin, c'est après avoir passé la plus merveilleuse des nuits, que je me réveille dans les bras de mon homme.
J'ouvre les yeux tout doucement, émerge petit à petit de mon sommeil puis vois que Nahir m'observe, le sourire aux lèvres.

Moi - Hé..

Nahir - Salam Alaykûm Omri.

Moi - Alaykûm Salam Hobi.

Nahir - Ça va ? Bien dormi ?

Moi - Oui, un peu fatigué quand même mais Al Hamdûlilah et toi ?

Nahir - Franchement, j'pète la forme !

Moi - Eh, bah tant mieux pour toi alors.

Nahir - Haha, ouais.

Après ça, un petit blanc s'installe, Nahir continue à me regarder fixement.

Moi - Pourquoi tu m'regardes comme ça là ?

Nahir - Hum.. j'sais ap.

Moi - Mdr mais..

Nahir - C'est dingue hein, j'viens de remarquer à quel point t'étais Masha'Allah quand tu dormais ?

Moi - Ah oui ?

Nahir - Sah ? NON ! Haha, allez lève-toi bagra.

Moi - ANH LE CO**ARD !

J'attrape mon oreiller et le lui balance, tandis que lui s'en va en courant en direction de la sortie.
Après ça, je décide d'aller faire ma toilette. Je vais donc dans la salle de bain, je prends une douche puis me mets en maillot avant d'aller rejoindre Nahir.

Moi - NAHIR ?

Nahir - OUAIS ?

Moi - T'ES OÙ ?

Nahir - LÀ.

Moi - OÙ LÀ ?

Nahir - À L'AVANT.

Je le rejoins à l'avant.

Moi - T'es con toi.

Il se tourne et au moment même où il allait dire quelque chose, il se stoppe net, me regarde de haut en bas et se mord la lèvre.

Moi - Euh.. à quoi tu joues là ?

Nahir - C'est plutôt à toi que je devrais demander ça !

Moi - Pourquoi ?

Nahir - Hm.. t'as un corps..

Moi - Ah ouais ? Et c'est maintenant que tu le remarques ?

Telle une actrice dans un film, je passe mes mains dans mes cheveux et les balance dans l'air. Vous voyez un peu la pause ? Haha.
Nahir m'attrape ensuite le bras et me tire de façon à ce que je me retrouve sur lui.

Nahir - Commence même pas à te la péter t'as vu !

Moi - Mdr, ah moi j'ai rien fais.

Nahir - Ouais c'est ça.

Il m'embrasse ensuite puis nous allons petit-déjeuner.

[...]

Les heures passent et nous arrivons presque à destination mais avant, celui qui conduisait le yacht, s'arrête dans un endroit.. SPLENDIDE, près d'énormes rochers avec une eau bleue, magnifique. J'enlève alors mon petit gilet et avec Nahir, nous sautons.

Pendant plus d'une demie-heure, nous avons partagés un super bon moment, agréable, au calme. Nous nagions bras dans les bras, nous nous faisions des petites papouilles et témoignions chacun l'amour que l'un portait à l'autre..

Bref, après ça nous avons décidé de remonter sur le yacht afin de reprendre la route.

[...]

Après avoir passés la plus belle lune de miel de notre vie, cinq jours plus tard, Nahir et moi sommes rentrés à Paris.

Nous avons récupérés la petite Enaïdia et avons dût raconter notre séjour au moins, une dizaine de fois à qui voulait l'entendre, et tous étaient super content, voir, nous enviaient. Bien sûr, quand j'ai racontée le moment du retour de Sawsen à ma sœur, Raïssa et Naya, elle n'ont pas eu la même réaction hein. Elles étaient à la fois étonné et énervé du retour soudain de Sawsen contre qui elles étaient très remontées. Elles m'ont même reprochés le fait de ne lui avoir rien fait de plus mais bon, c'est comme ça..

Mis-à-part ça, tout se passait très bien dans ma petite vie de famille. Nahir, Enaïdia et moi vivions tous très bien, ensemble. Il n'y avait aucune tension, rien. Enaïdia en était même venue à m'appeler « maman » et malgré que ce ne soit pas vraiment le cas, cela me faisait énormément plaisir, ça me touchait.

Bref, c'était un jour comme les autres, Nahir était au travail, car oui, il avait laissé ses petits trafics pour vraiment se poser. Il s'est donc mis à la recherche d'un emploi, il a passé quelques entretiens, pour finalement en trouver un, qui est celui d'animateur dans un centre de loisirs avec les enfants.
Soit, je disais donc, il n'y avait personne à la maison, mis-à-part Enaïdia, qui jouait avec le petit Hicham, Naya, Raïssa, Meïna et moi. Nous discutions de tout et de rien, de l'accouchement prochain de Naya surtout, quand d'un coup, je me lève et là.. C'est le DRAME !

[...]

Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant