Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.

Chapitre 6

Attends, attends .. Nahir ? Venir vivre à la maison ? Hors de question !

Nous - QUOI ?!

Yemma - Oui, oui. Vous avez très bien entendu, Nahir va venir vivre à la maison.

Nahir sourit.

Amir - T'es folles ou quoi ?! J'suis pas d'accord.

Amine - Moi non plus !

Yemma - Vous n'êtes pas d'accord ? Et bien écoutez, la sortie c'est par là.

Amine - T'es en train d'nous dire quoi ? Que tu nous fous dehors ?

Yemma - Prenez le comme vous le voulez.

Amine - Azy j'ai compris. Amir on bouge !

Meïna - Wesh t'es serieuse ? Tu les laisses partir là ?

Yemma - J'ai rien dit moi.

Moi - Et bah écoute, si ils partent, on part aussi.

Yemma - Quoi ?! J'vous interdis de faire ça.

Moi - T'as rien a m'dire toi. J'suis majeure et vaccinée Al Hamdûlilah, j'fais c'que j'veux hein.

Yemma - Tu t'es cru chez les babtous ou quoi ? Tu vas nul part !

Moi - Tu veux parier ? Meïna on y va.

Yemma - Ok. Tu veux t'en aller ? Pars mais sans Meïna.

Meïna - T'es ouf ou quoi ? J'restes pas ici moi.

Yemma - T'es encore sous ma responsabilité.

Meïna - J'm'en balançes ! Et surtout, bonne continuation avec ton pd là.

Nahir - TU PARLES À QUI LÀ ?!

Meïna - Tu t'sens visé ?

Nahir - N ..

Meïna - BATS LES COUILLES !

Direct, ma mère la gifle et juste après, fait son regard de choqué tah les films. Vous voyez ?

Meïna crache à ses pieds et on s'en va.

Une fois dans la chambre, chacune prend une valise et la remplie. Nous la fermons ensuite et allons dans la chambre de mes frères, qui eux, n'ont toujours pas terminés de faire leur valise.

Moi - Vous avez toujours pas fini ?

Amir - Qu'est-ce-qu'y'a ? Tu m'vi .. Vous faîtes quoi avec des valises ?

Moi - Bah .. On va avec vous !

Amine - Quoi ?! Vous bougez pas d'ici !

Moi - Biensûr que si.

Amir - J'ai dis non, cherche pas.

Moi - Mais alleeeez wesh !

On a du négocier pendant un long moment, avant qu'ils n'acceptent.

Seule question : Où allons-nous passer la nuit ? ..

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Après avoir quitté la maison sous les sourires narquois de Nahir et les " larmes " si-je puis dire, de ma mère, nous avons déposés nos valises dans la cave ( il y a des privées, qui sont verrouillées et des publics, qui sont ouvertes à tous .. ) et sommes directement allé au Grec.

Arrivés là-bas, nous avons commandés et sommes allés mangés sur les tables. En même temps on parlait de tout et de rien, mais surtout du comportement de ma mère, quand Sihem débarque, accompagnée d'une fille. Elles vont commander, puis dès qu'elles reviennent, je les appelles et elles s'asseyent.