Je le regardes de haut en bat, et lui dis :
Moi - Tu t'fous d'ma gueule là rassure moi ?
Nahir - Pourquoi ? J'devrai ?
Moi - Non mais j'sais pas enfet. J'me demandes est-ce-que t'as pas serrer. J'veux pas danser avec toi moi.
Nahir - Tranquille, au calme. J' t'ai juste poser une question, tu m'fais un speech frère.
Moi - Ouais, ouais. Et même, tu devrai pas être avec ma mère au lieu d'être là, à m'demander d'danser avec toi ?
Nahir - Azy, ta daronne elle est grande hein. Elle peut très bien se débrouiller toute seule !
Moi - T'es sérieux toi ? Tu m'dis d'abord qu'elle est dépressive, que là elle vient d'accoucher et toi tu la laisses seule en m'disant qu'elle peut s'débrouiller ? T'es vraiment pas net toi.
Nahir - J' m'en fous moi. T'as qu'à y aller toi au lieu d'rester là à blablater pour rien.
Moi - Ouais c'est ça.
Nahir - Enfin bref, c'est pas que j' t'aimes pas mais j'ai d'autres choses plus intéréssante à faire tahu.
Moi - Ouais. Des choses comme aller baiser tes chiennes pendant que ma mère à le dos tourné non ?
Nahir - Hm .. T'as pas complètement tord là haha ! Allez ciao ma fille.
Moi - Nique ta race !
Il me fait un clein d'œil, puis s'en va. Je me remets ensuite face aux filles, qui me regardent l'air surprise.
Mildrede ( sœur de Shirley ) - Tu l'connais ?
Moi - Oui.
Sophia ( une amie de Shirley ) - Quelqu'un de ta famille à prioris .. hein ?
Moi - Euh .. oui.
Mildrede - Bah .. explique nous !
Moi - J'ai pas envie d'en parler t'as vu ? Alors changeons de sujet s'il-vous-plaît.
Mildrede - Hm .. Si tu veux hein.
Puis on se met à parler d'autres choses.
Soit, vers 23 heures, étant trop fatiguée, je décides de m'en aller.
Je vais d'abord voir Shirley, lui fait la bise et lui donnes son cadeau en lui souhaitant un joyeux anniversaire. Elle me remercit et me donne une assiette de nouritures et une assiette de gâteaux ( pas celui sur lequelle elle allait souffler ses bougies ), je m'en vais ensuite.
Une fois à l'entrée, je me mets à avancer en direction de l'arrêt de bus, lorsqu'en passant par le parking, j'entends des cris. Je ne fais pas très attention, et continues à marcher lorsque cette fois-ci, j'entends un coup de feu, suivit d'un crissement de pneus. Je me mets aussitôt à chercher d'où celà pouvait provenir, lorsqu'un peu plus loin, je trouves Nahir, assit par terre, se tenant la cuisse. Cette derniere était pleine de sang ! Je me précipites vers lui et lui dit :
Moi - Ouah ! Qu'est-ce-qu'il s'est passé là ?! Ça va ?
Nahir - Ah par contre là t'veux m'parler hein. AÏE .. !
Moi - C'est bon ta gueule hein. J'suis juste venu t'aider, sinon j'bouges.
Nahir - Bah bouge, AÏE PUTAIN ! casse-toi j'ai pas b'soin d'toi là !
Moi - C'est ta fierté qui parle donc j'dirai rien.
Nahir - Ouais ouais. Bref tu fais quelque chose là où tu m'racontes ta iv ?!
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Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.
RomanceL'amour a ses raisons, le temps fait de nous des inconnus..