Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.

Chapitre 3

- C'est celle qui m'a donné la vie, elle fait partie de moi ..

Avant de commencer la partie, bah encore merci à vous les filles pour les j'aimes, votre présence et tout, et je rappelles aussi que cet chronique est FICTIVE ! Voilà, petite présentation maintenant :

Moi c'est Arbia - Enaïdia, j'ai 19 ans et je suis d'origines algérienne - marocaine du côté maternelle et indienne du côté paternelle.

Côté famille : J'ai 2 grands frères, les jumeaux Amir et Amine, 23 ans et 1 petite-sœur, Meïna, 17 ans.

Physiquement : Je suis assez grande, mâte de peau, mince. J'ai aussi de longs cheveux châtains foncés, frisés et des yeux marrons clair.

Des amies ? Non, je n'en ai pas, du moins je n'en ai plus. J'avais deux amies qui représentaient même bien plus pour moi, elles étaient comme des sœurs pour moi, Céliah et Ones. Nous étions amies jusqu'à ce que la street vienne nous séparer avec les rumeurs qui couraient sur ma mère. Maintenant elles font parties des personnes qui me crachent dessus à longeur de temps.

( Pour que vous vous fassiez une petite perspective du physique, j'vous mettrai une photo plus tard avec les autres personnages )

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[ ... ]

Il me regarde ou plutôt me fixe, et me dit :

Nahir - Tu viens d'faire quoi là ?

Moi - Tu ..

À peine ai-je terminé de parler, qu'il me gifle et me balaye.

Moi - EH MAIS T'ES SERIEUX ?! TU T'PRENDS POUR QUI LÀ !?

Nahir - Ferme ta gueule sale p'tite pute, t'a cru j' t'ai ton pd pour me gifler !

Moi - J'VAIS L'DIRE À MA DARONNE TU VAS VOIR !

Nahir - OUAH COURS ! S'TU VEUX J' T'ACCOMPAGNES MÊME. Toi même tu sais qu'elle te croira pas tellement elle m'aime.

Moi - On verra ça.

Nahir - Azy dégage !

Il me piétine et s'en va. Je me lèves avec un mal de poignet affreux et montes chez moi, plus qu'énérvée. Arrivée chez moi, je claques la porte et vais dans ma chambre.

N'ayant pas fait ma toilette en revenant du travail, je vais dans la salle de bain et prends ma douche.

En sortant, je vois Meïna assise sur mon lit.

Meïna - T'as pris du temps.

Moi - Ouais, ouais.

Je récupères mon téléphone sur ma table de chevet et au même moment, Meïna attrape mon poignet.

Moi - Aïe !

Meïna - Smeh, mais c'est quoi ça ?

Moi - Quoi ?

Meïna - Ton poignet.

Je le regardes et en effet, il était tout violet.

Moi - Putain.

Meïna - Comment tu t'es fais ça ?

Moi - C'est ce fils de pute de Nahir là.

Meïna - Hein ?

Je lui expliques et elle me dit :

Meïna - Putain ! Mais faut aller à l'hosto là.

Moi - Non c'est rien, t'inquietes.

Meïna - Non, non c'est pas rien. J'ai hlef on va y aller maintenant.

Moi - Pffiou .. Bah sors j' m'habilles.