Nahir - Ça t'dérangerai de m'déposer ?
Moi - Où ?
Nahir - Chez oim.
Moi - Bah .. Enfet ..
Nahir - Azy stp.
Moi - Euh .. Ok.
Nahir - Cimer. Attends j'vais m'habiller vite fait, appel le docteur pendant ce temps-là stp.
Moi - Ok.
Il rentre dans la salle de bain, tandis que moi, je sors chercher le docteur. Après l'avoir trouvé, je lui demandes de me suivre, puis nous allons dans la chambre.
En entrant, nous trouvons Nahir assit sur une chaise. Il avait terminé de se préparer, et était vêtu d'un jean beige et d'un gilet en laine rouge bordeaux.
Docteur - Bonsoir monsieur, comment allez-vous ?
Nahir - Bonjour, tranquille hin.
Docteur - D'accord.
Il se mettent à parler, puis lorsqu'ils ont finit, une infirmière amène une chaise roulant, Nahir s'installe dessus et je le tires.
Nahir - J'suis pas trop lourd ? Haha.
Moi - Non .. Ça va.
Biensûr c'est du mytho !
Soit, arrivés au rez-de-chaussée, Nahir signe sa décharge, le docteur lui donne une ordonnance, puis on s'en va. Je le tires jusqu'à sa voiture, et ouvres la porte.
Moi - T'es fou ! Te lèves pas.
Nahir - Tranquille wesh, j'peux marcher encore !
Moi - Ouais mais non.
Il ne m'écoute pas, se lève et entre dans la voiture. Je vais rendre la chaise, puis remontes dans la voiture et nous partons :
Nahir - Avant, passes à la pharmacie stp, j'dois récupérer mes medocs.
Moi - Ok.
Je roules jusqu'à la pharmacie, achètes les medicaments avec des béquilles, puis nous repartons.
Sur le chemain, pendant que je que conduis, mon ventre se met à gargouiller.
Nahir - Ah t'as la dalle toi !
Moi - Non pas du tout. Pourquoi tu dis ça ?
Nahir - Ton ventre i'fait des bruits chelou d'puis t'à l'heure.
Moi - Ça veut pas dire que ..
Nahir - Allez tranquille, passe par le grec. Moi aussi j'ai faim !
Moi - Non mais j'dois vraiment rentrer Nahir, sinon j'vais m'faire défoncer par mes refrés !
Nahir - Vite fait wesh, en plus c'est moi qui paye.
Moi - C'est pas une raison.
Nahir - Eh bah si, allez roule !
Finalement j'ai roulée jusqu'au grec que Nahir m'a indiquée, et qui se trouvait non dans ma cité, mais un peu plus loin, histoire de ne pas être vu ensemble, puis arrivés là-bas, je me suis garé et nous sommes sortie.
Moi - Ça va ? C'est pas trop dur avec les béquilles ?
Nahir - C'est la merde, mais ça va.
Moi - Ok, attends j'ouvres la porte.
Nahir - Cimer.
J'avançes, ouvres la porte, et Nahir entre suivit de moi. Nous nous dirigeons vers la caisse, et Nahir tsheq les gars :
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Arbia : Amoureuse de mon beau-père, j'ai perdue mon repère.
RomanceL'amour a ses raisons, le temps fait de nous des inconnus..