Chapitre 40

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*Mont Olympe, appartement du seigneur Arès...

Arès, se trouvait dans ses appartements pensif et préoccupé. La raison de sa préoccupation était inconnue. Dans des vas-et-viens, un verre d'ambroisie à la main, il sirotait son breuvage divin. Soudain, il entendit des coups à la porte. Il s'y hâta donc et à sa grande surprise, c'était Aphrodite.

Arès : Finalement, tu as pu te libérer.

Aphrodite : Oui, mon mari dort. Maintenant, je suis toute à toi...

Arès : C'est pas trop tôt...

Arès, lui servit un verre , après quoi il vint l'enlasser de ses bras puissants. Il commença par lui faire des bisous dans le cou, l'a faisant frémir de plaisir. Il descendit jusqu'au niveau de son dos, où il posa un léger baiser. Il l'a retourna d'un coup, et l'embrasse avec passion. Sa bouche occupant celle de la déesse, il descend sa main sur son sein droit avec lequel il commence par jouer. Chacune de ses caresses, avait le don de faire fondre la déesse. C'est la raison pour laquelle, elle trompait son mari avec Arès, car celui-ci lui procurait plus de plaisir que son mari ne saurai lui en donner un jour. Arès et Aphrodite allèrent directement sur le lit pour terminer leurs ébats. Une heure de temps plus tard, Arès et Aphrodite, couvert par un drap de soie rouge, reprenait leurs forces.

Aphrodite : Merci...mon amour...

Arès : C'est divin...

Aphrodite : Quel mauvais jeu de mot...

Arès : Je n'ai pas envie que tu partes rejoindre ce vieux gâteux...

Aphrodite : Tu sais très bien que je n'ai pas le choix. Sinon père, va piquer une colère et c'est la dernière choses que je veux.

Arès : Tu as raison...mais nous pouvons aussi nous débarrasser de lui. Comme ça, tu sera libre.

Aphrodite : T'est vicieux Arès. Si nous tuons Héphaïstos, Zeus va se poser des questions et s'il l'apprend, c'est direct le tartare.

Arès : De quoi as-tu peur? Si nous allons aux enfers ensemble, je te protégerai...

Aphrodite : Ne me fais pas rire. Les titans y sont enfermés et n'ont pas réussi à s'échapper un toi, tu veux faire quoi? Supplier Zeus !

Arès : Je vois, que tu ne me prends pas au sérieux.

Aphrodite : Calme toi, ce n'est pas ça.

Arès : Et c'est quoi alors?

Aphrodite : Bref, oublie ça... D'ailleurs, je dois partir, il se fait tard.

Arès : Okay...

Aphrodite, se leva du lit et enfila rapidement sa longue qui lui donne un beau décolleté, puis sortir de la chambre, en faisant attention à ne pas croiser quelq'un. Elle sortit et se faufila rapidement dans les couloirs pour entrer dans sa chambre. Elle fut surprise en constatant que son mari ne dormait pas, mais qu'il était assis sur une chaise à bascule, faisant dos à la porte.

Héphaïstos : Tu étais où ?

Aphrodite : Juste dans le couloirs, je prenais l'air.

Héphaïstos : Tu mens...je t'ai vu sortir des appartements de ce bougre d'Arès, toute en sueur...

Aphrodite : Tu racontes n'importe quoi...

Effectivement, Héphaïstos, qui se trouvait dans les couloirs, a surpris sa femme sortant de chez Arès, avec le corps tout mouillé et un air, plus que heureux. Il en tira donc les conclusions nécessaires. Ainsi, il vint s'asseoir dans la chambre avant sa femme, dans le but de la confronter et de voir jusqu'où elle serait prête à aller pour lui cacher la vérité.

CROW, LA FUREUR D'UN DIEU DECHUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant