« 𝐁𝐥𝐞𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐭𝐨𝐢 𝐞𝐭 𝐣𝐞 𝐬𝐚𝐢𝐠𝐧𝐞 »

✨42✨

Bruxelles Vie🖖🏽

Braco II

On arrive enfin en bas, les deux meufs descendaient aussi avec nous.

María - Vous faites quoi là?

Elle tire sur l'une d'entre elles.

Je secoue ma tête, elle est vraiment conne.

Sans réfléchir je brise la vitre, l'alarme retentit quelques secondes avant de se taire aussitôt. C'était encore une fois de plus un coup de Prince.

Des "vigiles" viennent, armés également, on cours le plus vite possible car la grenade n'allait pas tarder à péter. L'une des filles qui étaient présentes avec nous nous suivait également, celle que María avait tiré dessus était restée sur le toit.

Nous nous retrouvons au milieu de la banque ça tire, ça se bat, ils étaient full mais nous étions lourdement armés.

Prince - Les gars, courez vers la gauche il y a une porte secrète, j'ai réussi à l'ouvrir allez y !

Issam - Reçu 5/5 ma poule !

Nous nous sommes donc dirigé vers cette porte, elle était lourde avec un design assez spécial, c'est sûr que tout l'argent est stocké ici.

Nous sommes rentrés et nous l'avons vite refermé au cas où. On était tous euphoriques en voyant cela, il y avait beaucoup de poor, là c'est bon on était milliardaire. Issam été très ému, sûrement pour sa maman il m'avait qu'elle était très endettée. Quant à Santos il souriait, María dansait et Giovanni chantait en italien. Moi, j'étais penard, normal quoi j'allais enfin pouvoir partir de ce pays fini la galère, le froid et tout ça.

[...]

Santos - Bon allez c'est bon maintenant, fini la joie il faut qu'on bouge.

Dès que nous sommes sorti, il y avait des gars qui nous tirait dessus, fallait s'y attendre.. Moi et Issam nous nous sommes chargé de les dégager de là. Arrivés dans le camion on s'est tous jeté sur Prince, notre héros. Sans lui ça allait vraiment être la merde.

Prince - Bougez de là !

On rigolait tous, nous étions vraiment heureux à ce moment-là, puis chaque chose a une fin, nous sommes partis dans notre deuxième QG on a parlé avec Alberto il a dit qu'il nous « libérait », on s'est partagé l'argent et chacun a fait sa route, il était 3 heures je crois, quand j'ai pris la route pour rentrer à la maison. Je me suis changé vite fait dans la voiture sinon Nadia  allait me voir en bizarre.

[...]

Elle me saute dessus .

Nadia - C'est pas possible.. T'étais où ?! J'ai eu si peur.

Je lui tapotais le dos, histoire de la rassurer parce qu'elle avait vraiment eu chaud

Moi - Avec des potes. Peur pourquoi ?

Nadia - Mais t'as pas regardé les infos ? Il y a eu un braquage pas loin d'ici.

Moi - Ah ouais, j'en ai vite fait entendu parler. Mais t'inquiètes c'est rien.