Prologue ( réecris )

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2022,
Bien sombre année....
Cette année là, on n'entendit pas de crie de joie, pas d'applaudissements, juste un cri d'horreur fendant la nuit noire. Ce cri avait été poussé en plein cœur de Paris, à l'entrée du Jardin des tuileries, près de la Seine, on avait trouvé un corps, poignardé au milieu du dos et allongé face contre terre sur le sol terreux. L'élection venait d'être remporté par un partie radicaliste, auto-proclamés Royaume en raison de leur « hauts » status et « nobles » nom, et un corps venait d'être retrouvé dans un jardin royal au moment même de leur affirmation aux pouvoirs. Coïncidence ? La population n'était pas dupe, elle était même très perspicace et ne croyait pas à cette théorie et fut conforter dans son idée lors de la trouvailles d'une plume de paon sous la victime. Une plume de paon gigantesque, d'un vert criard et maculé de sang. Du sang rouge bordeaux, presque noir, visqueux et collant. Et ce vert, presque aussi brillant que celui de l'emblème du royaume.
Bien évidemment l'affaire fut classé sans suite par un partisans. On avait trouvé des empreintes sur cette même plume et avant que quiconque n'est pus les analysées d'avantages elles avaient disparus elles et la plume de paon.
La vie repris alors tranquillement son cours, les enfants allaient à l'école, les adultes faisaient grève ou allaient travailler, tout était tranquille si l'on omettait les habituels émeutes du samedi. De plus en plus de gens y laissaient la vie et le gouvernement ne faisait rien bien trop occupé a assouvir sa soif de pouvoirs.
Au bout d'un certains temps, ils commencèrent a recruter des gens « de bonne familles » pour sois disant « rafraîchir » les postes ( bien payés ne le cachons pas ). Et puis le matin, en se levant, les enfants découvrez leur père mort dans la cuisine, assassiné alors qu'il petit déjeuner, les chefs d'entreprise ne voyaient pas revenir certains employés puis croisaient leur cadavres au coin d'une rue. Les meurtres se multipliaient, les assassins aussi...
Des gens disparaissaient pendant des mois puis revenaient comme si de rien était, le regard hanté par la mort ou le teint blafard et le sursaut omniprésent de celui qui avait vécu dans la peur pendant un certain temps.
Mais après tout, si aucune enquête était menaient, c'étaient normal.

- Dis maman, c'est normal hein ? Maman ? Le petit garçon s'avança lentement vers les escaliers à la recherche de sa mère, ses mains tremblant soudainement. MAMAN ! T'ES OÙ ? Il dévala les escaliers a toutes vitesses, ses cheveux se baladant sur son front humide de sueur.

- dans le salon... suis... salon... pas venir. C'était un murmure à peine audible mais l'enfant lui l'entendît et marcha courageusement vers la salle de séjour, les jambes tremblantes après avoir entendu la voix de sa mère, d'ordinaire si puissante et résonnante, réduite à l'état de murmure, haché et éraillé. Il ouvrit lentement la porte qui grinça horriblement dans le silence et continua d'avancer. Lorsqu'il l'aperçu, allongé par terre, à moitié sous le canapé, son chemisier anormalement brun et ses cheveux châtains collé à son visage il ne put s'empêcher de pousser un cri d'horreur avant d'aller se jetait dans ses bras et de se recroqueviller contre elle, il avait lu quelques part qu'il ne fallait pas bouger les personnes blessé et s'abstins donc de tirer sa mère sur le parquet pour découvrir l'origine de cette tâche rougeâtre.

- Il... il..., elle reprit difficilement sa respiration en caressant les mèches blondes de son fils avant de lui souffler, fort.. soit fort... cache... toi...
-Maman ! C'était un sanglot, un sanglot à moitié étouffé par le canapé et le haut de sa mère mais un sanglot qui déchirait le cœur de Roselyne Grand. Ils lui avaient pris son mari, un ancien fonctionnaire de police, tombait dans l'alcoolisme et la dépression qui l'avait conduit au suicide, remplacé par un certain « Théodore Le Hugues » et licencié pour qu'il obtienne cette place qu'il avait eu tant de difficultés à acquérir, et désormais il la prenaient elle, avocate et mère d'un enfant de sept ans. Sept ans, seigneur, il ne pourra pas se débrouiller à sept ans. Sentant ça vision s'obscurcir elle déposa un baiser tendre sur le sommet du crâne de Stephan, son unique enfant, son petit garçon, à peine sept ans ensemble et elle l'abandonnaient déjà à la merci de leurs horrible monde. Sa vision s'obscurcit d'avantages jusqu'à quelle ne puisse plus voir et se fut le trou noir, plus rien n'existait pour elle, aucune sensation, juste un souvenirs, les deux hommes de sa vie réunit pour une photo six mois plutôt, leur dernière photo....

Le lendemain on retrouva la célèbre avocate, morte, éventré dans son salon, son fils endormis dans les bras.
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Ouiii j'ai finalement eu une inspiration soudaine hier soir ( date à laquelle je voulais poster de base sois dit en passant) et j'ai écrit ça. Je l'aime bien, il introduis la situation de leur pays etc.... Il est pas très long mais il fait au moins le triple du premier mdr.
Sur ce a dans deux semaines ( moi être bloqué sur un chapitre depuis deux mois ? Mais totalementttt )

La RésistanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant