Chapitre 12: Tu n'es plus là où tu était, mais tu es partout là où je suis

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Bonjour ! J'espère que vous allez bien, aujourd'hui nouveau chapitre, avec nouveau point de vue. Pour le retard mon excuse est: j'ai réécris ce chapitre et ajoutai un passage, sauf que quand je le réécrivais lundi ( j'avais pas cours j'en ai profité) j'ai était interrompue pour faire maintes choses ( genre amenez mon frère faire un test parce que je suis la seule à ne pas avoir le Covid ), et j'en était même pas à la moitié du chapitre, que, je n'avais plus de connexion, décourageait j'ai pas continuer, mardi j'étais exténué donc j'ai pas beaucoup avancé et je l'ai finit mercredi soir quand j'avais plus de co', du coup jai pas pu le poster. Fin bref tout ça pour dire désolé de mon retard à dans deux semaines ! ( PS: le titre c'est une citation de Victor Hugo ) ( update, le chapitre est poster beaucoup ( beaucoup) plus en retard que prévu parce que j'ai un problème de co', pour compenser, étant finalement covidés aussi, je vais essayer d'être productive et de vous offrir un deuxième chapitre dans le courant de la semaine qui arrive)

Chapitre 12: Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là ou je suis
PDV: Emilie

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      
J'étais assise, entrain de dessiner, je ne dessinais pas très bien mais les dessins de danseuses était mes préféré et ceux que je réussissais le mieux, quand quelqu'un toqua à la porte. Je passais en revu toutes les personnes qui pouvait venir. Justine était parti avec Clara pour aider la mère de cette dernière à faire des courses, je n'était pas aller avec elles car mes parents avait une de leurs rares heures libres en même temps cette après-midi. Mes parents justement travaillés et n'était pas libres avant 15h. Cela ne pouvait donc être que Agathe ou Luc. Je me leva et alla ouvrir.

- Salut Emilie ! Je peux entrer ?
- Euh.. oui, pour, bien sur, entre. Je m'effaça pour laisser passer cette personne dont j'avais émis le nom mais jamais pensé qu'elle viendrait. Que me vaut ta visite Luc ?
- Je crois qu'il faut qu'on parle.
- Effectivement. Assied toi ! M'exclamai-je en lui montrant la chaise du bureau le plus proche.
- Mais, Em'... certes j'ai des choses a dire, mais toi aussi, je sais que vous vivez toutes différemment la situation, et j'ai l'impression que tu extérioriser pas assez ta version, j'ai l'impression que la toi qui disais n'exprimais que chez toi ne sais plus ou elle doit s'exprimer étant coincé tout les jours ici, alors parle, raconte moi ta version, extériorisent ce que tu ressens. Je sais que chez toi, ça n'as jamais été aussi habité, tu n'as jamais vécu avec ces personnes que tu avait l'habitude de voir seulement en cours ou dans un autre cadre que chez toi, dans ton espace, chez cette facette d'Emilie. Et puis de toute façon tu sais tout.
- Non je sais pas tout, mais ton point de vue m'intéresse.  Mon sourire c'était fané et je sentais que ma voix aller bientôt craquer, je voulais juste qui'l se dépêche de tout déballer afin de ne pas craquer devant lui, de ne pas craquer tout cours.
- Ok... si ça te permet de te soulager la conscience... le jour où... où ça a exploser, on était revenu pour aller chercher le téléphone à ma mère, et là... il y a eu un cri, et on a couru. Mais alors que mes parents partaient, je suis resté. Je ne me demande pas si j'ai bien fait, je sais que c'était la bonne décision., mais eux ? Ils n'ont pas beaucoup insisté si tu vois ce que je veux dire...
Je voyais parfaitement, j'avais peur de jusqu'où cette réflexion pourrait le menait tout comme jusqu'où je pourrait tenir sans craquer. J'avais peur qu'il replonge et de ne pas avoir la force de ne pas couler avec lui. Ses parents était gentils mais assez froid, distant et ambitieux. Je savais que cela venait d'un passé où ils avaient du se battre pour exercer leur métier avec la croissance du nombre d'usine mais je ne pouvait pas m'empêcher de les trouver un peu dur avec leur fils, même si il l'aimait beaucoup....

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