Chapitre 1: Le commencement ( ou presque )
𝟼h 𝚊𝚟𝚊𝚗t 𝚊𝚟𝚊𝚗𝚝 𝚕𝚎 𝚍𝚛𝚊𝚖𝚎 :- Maman je sors ! Criai-Je du bas de l'escalier.
- Tu vas où ? Avec qui ? Me répondit elle en passant sa tête dans l'encadrement de la porte.
- Manger un truc en ville avec les filles. Répondis-Je, depuis que la guerre civile avait éclaté, après la prise de pouvoir du « Royaume », les sorties étaient limités. Pourtant aujourd'hui, le temps était clément, le ciel bleu, sans nuage, le thermomètre frôlant les 28°c et une brise légère faisant onduler doucement l'eau du lac derrière ma maison. J'avais même ressortis ma robe d'été en ce 10 Juillet 2023
- Tu ne veux pas qu'elles viennent à la maison plus tôt ? Dit ma mère en descendant les escaliers.
- D'accord, mais il y a toute la bande. Chuchotais-Je en souriant malicieusement.
- Aller, ok ! Appelle-les, on va pas tarder à manger ! Rie-t-elle.Je la remerciais en montant les escaliers. J'atteignis enfin ma chambre et m'affala sur mon lit attrapant mon téléphone au passage. J'envoyais un message sur le groupe et m'allongea quelques secondes, observant mon plafond. Très blanc se plafond d'ailleurs. Je retire ce que j'ai dis il y a une trace de moustique écraser dans le coin près de la porte.
-JUSTINE !
-J'arrive... soupirai je en me levant. Quelques étoiles dansèrent devant mes yeux, puis mon monde se stabilisa. Je m'engagea dans les escalier pour rejoindre mon frère dans le jardin et l'aidé à mettre la table. Du haut de ces 14 ans il me dépasser de quelques centimètres, moi et mon mètre soixante-huit. Il avait des yeux noisette, plus foncé que les miens et des cheveux brun clairs.
- Alors mon Jean, des nouvelles de Cendrillon ? Ou devrais je dire... la viking ?
- Tais toi.
- Ohhh tu sais que je rigole. Je l'aime bien cette petite moi. Aller réponds ! Insistai je en mettant la bouteille d'eau sous le parasol au centre de la table. La sonnette retentit derrière moi et mon frère me servis un grand sourire. Pffff t'es pas drôle quand je reviens on parle d'Ingrid.
- Oui bah en attendant t'as quelqu'un qui poireaute devant la porte.Je levai les yeux au ciel et partis ouvrir. Je tomba nez à nez avec mon meilleur ami et voisin, j'ai nommé Luc De la Vignes. Je lui fit une brève accolade et il me tendit un panier remplit de confiserie, chocolat et tout autres gourmandises. Nous éclatâmes alors de rire appuyer sur l'encadrement de la porte.
- Choses promises choses dû, parvint il à articuler entre deux hoquets.
- Merci ! M'écrirai je en me remémorant, son paris stupide le jour des résultats du bac.
- Je dois aller finir ma valise, bonnes vacances !
- Bonnes vacances Luc ! Sourie-Je en songeant que c'était bien la première fois qu'il partait en vacances avec ses parents depuis que je le connaissait.Je refermais la porte en bois massif derrière lui et m'apprêtais à finir de cuisiner Jean quand quelqu'un sonna à la porte. Je posais le panier en position précaire sur le meuble à chaussure et repartis ouvrir. Je fus alors submerger par un câlin de mes six amies. Il y avait ma meilleure amie, la personne que je connaissais depuis mon entré en primaire, l'inimitable Emilie, une jeune femme de 18 ans à peine mais au caractère bien trempés et dont la maturité n'était plus à prouver, grande en taille, ses longs cheveux châtains, tant éclaircit par le soleil que par endroit ils en étaient blond, lui tombaient dans le dos sur son haut jaune pastel. Ashley, elle faisait quasiment ma taille, les cheveux blonds foncés presque châtains, mi-longs et les yeux hypnotisants, bleu, vert et jaune. Ally, bien plus grande que moi, la benjamine du groupe par ses 16 ans et ses yeux noirs charbons. Courtney, toujours plus grande que moi ( pourquoi suis- je si petite malgré ma taille modeste ?), blondes aux yeux bleus, les cheveux coupés en un élégant carré effleurant ses épaules et son crop-top bleu pastel. Et enfin la brune, à la beauté orientale époustouflante, j'ai nommé Anaë et sa meilleure amie, Clara, blonde et les yeux d'un marrons chaleureux, pétillant de malices. Je les connaissais depuis plus ou moins longtemps, on avait été dans les mêmes classes et/ou établissement scolaires plus ou moins de fois, mais je les aimais, chacune à leur manière. La distance ne m'avait pas séparé d'Ally, les opinions divergents d'Ashley, Anaë, Clara et Courtney et la différence d'Emilie.
Je les saluas et m'effaça pour les laisser entrer. On discutait un peu de notre début de grandes vacances, les dernières peut être pour certaines, en allant s'asseoir dans mon jardin. On poursuivis notre discussion durant le repas, incluant ma mère et mon frère, et montâmes dans ma chambres vers 14h.
( 𝚑𝚎𝚞𝚛𝚎 𝙷 )
Après une après-midi à jouer à action ou vérité ponctuait d'action loufoque et de révélations alléchantes, Courtney était rentré chez elle. Pendant une heure nous avions fais des cookies et ça aller être désormais l'heure pour Ashley, Ally et Anaë de prendre leur bus, la guerre n'ayant pas encore réellement atteint notre région, les lignes restaient ouvertes. Emilie restait dormir à la maison ( jour de montage de tente, c'était sacré ) et la mère de Clara venait la chercher à 17h55. Quand sa mère arriva, Clara nous fis la bise, son sac sur le dos et s'en alla d'une démarche bondissante. En montant les escaliers, je m'aperçus qu'elle avait oubliés ses lunettes de vue. Je descendis donc pour les lui rapporter, espérant qu'elle ne soit pas trop loin. J'entendis un hurlement qui me fit m'arrêter au milieu du couloir mais le silence retomba. Je décidai quand même de regarder par la fenêtre ce qui avait pu causer un cri de terreur si pur quand soudain...
Le souffle de l'explosion me projeta en arrière, écraser par un poids invisible ma tête tomba durement sur le sol, j'avais à présent l'impression que l'on serrait mon crâne dans un étau et que la douleurs se répercutait dans ma nuque avec une force telle que j'en avait les larmes aux yeux. Un vase se brisa et des morceaux de verres rebondirent et s'enfoncèrent dans ma chaire. Je me sentais bizarre à présent, flasque comme si je me vidais de moi même. Emilie qui était censé être dans la cuisine se trouvait inerte à quelques mètres de moi. La porte d'entrée était sortit de ses gonds et s'était envolé quelque part dehors et je pouvais entre-apercevoir une roue de voiture dans mon salon. À bout de force, je fermais les yeux quelques instants, essayant de m'éloigner des cris, du bruit, du vent s'engouffrant par le toit partiellement arrachés et de la douleur lancinantes qui me traversé la jambe droite coincé sous le meuble à chaussure tombé sur moi et de mon mal de crâne. Du fait que mes amies et ma famille était peut-être morts et que j'allais sans doutes les rejoindre. De Luc et ses parents qui verront leur maisons dévasté et leur rue détruite quand ils rentreront. Du Royaume qui c'était rapproché, du froid qui arrivait et de la guerre qui ne venait que de commencer...
Oh Luc, désolé de te laisser seul avec tes parents, désolé de te laisser seul tout court, mais je ne veux pas me battre, je sens le battement de ma coeur derrière ma tête, comme si elle allait exploser, et je n'ai pas la force de me battre pour rien, je te le répète une dernière fois, même si c'est par pensée, la vie est inutile si on la vie que pour soi, vie la pour quelqu'un d'autre qui lui la vie pour toi, tu sauveras des personnes, sache que j'ai vécu pour toi et je sais que jusque là tu était resté pour moi, vis pour Yohann, et pour toi par extension donc.
Juste ne m'oublie pas, et sache que je t'ai aimais comme un frère et de tout l'amour qu'on peut donner, et je t'aime toujours, bas toi pour ta liberté, s'il te plaît....
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Bonjour bonjour ! Premier chapitre de « La Résistance », alors, qu'en pensez vous ? Et spécialement pour pp-edresontempsgachaw , non Justine n'as pas bouffé son frère Xd. Aller à dans deux semaines.
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La Résistance
Science Fiction"Survivre. Le seul objectif de la plupart des habitants de ce pays. Avoir des nouvelles de mon frère et empêcher les gens de mourir... c'est le mien." Dans un pays secoués par la guerre civile La Resistance ce met en place. Des adolescents profondém...