Chapitre 2 : Le grand chamboulement

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* s'étrangle en voyant qu'elle a faillis oublier*
Bonjour !!! J'espère que vous allez tous bien, aujourd'hui on se retrouve dans un chapitre d'un point de vu autre que celui de Justine ( le suspens dure pas longtemps je l'ai écrit parce que je devais préciser qu'on remontait dans le temps mdr).
J'ai faillis vous oublier tout simplement parce que ( comme je l'ai dit sur Mini-Story ( non non ceci n'est pas un placement de produits mal déguisé ( il me semble ))) ( au secours 3 parenthèses) j'ai casser mon téléphone ( le talent ) et mes rappels de postes était dessus donc les textes et les idées, je peux les récupérer mais les notifs sont impossible à lire ( le bonheur d'avoir casser l'écran) doonncc... et bien il faut que j'en remettes sur mon iPad mais je n'avais pas eu celui d'aujourd'hui.
Fin bref.
Je parle beaucoup mais je dis pas grand choses.
Maintenant, chapitre !

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Chapitre 2: le grand chamboulement
𝙿𝚘𝚒𝚗𝚝 𝚍𝚎 𝚟𝚞𝚎 : 𝙻𝚞𝚌 ( 𝚑𝚎𝚞𝚛𝚎-𝚑 )

Arrivés à l'autoroute, ma mère s'aperçus qu'elle avait oublié son téléphone à la maison, mon père fis donc demi-tour. Les vacances à la mer commençaient bien.

Arrivés devant chez nous, ma mère se dépêcha d'aller chercher son téléphone portable et je sortis de la voiture pour me dégourdir les jambes.

Soudain, nous entendîmes un hurlement, nous cherchions du regard autour de nous, mais rien. Lorsque je pris la décision de lever la tête vers le ciel ce que je vis me laissa bouche-bée. Un énorme bombardier noir, frappée de la couronne blanche du royaume lançant une bombe sur ce qui semblait être mon quartier. La bombe se rapprochait de plus en plus vite, oubliant ma terreur, je me mis à courir à en perdre haleine, suivis de près par mes deux parents affolés. Je voulais courir loin et ne jamais m'arrêter, ne pas avoir à découvrir le désastre. Mais lorsque mon esprit m'ordonna de m'arrêter et de regarder où la bombe aller s'écraser, je ne pus lutter. Et lorsque je la vis s'abattre dans le lac derrière ma maison et celle de Justine je ne pue retenir un hurlement rendu inaudible par le bruit de l'explosion.

Voilà, le royaume était arrivés, et j'avais tout perdu.

Ma mère me tira le bras pour partir, mais je ne voulais pas. Elle ne pouvait pas m'arracher à ma souffrance pour me plonger dans un bonheur factice. Je restais les deux pieds encrés dans sol à regarder ma maison brûler sous le soleil d'été.

Lorsque le soleil se coucha, je m'aperçus alors du temps que j'avais passé là, hypnotisé par les flammes. La chaleur du jour se dissipait rapidement, et j'avais des fourmis dans les jambes, ce qui m'exhorta à bouger. Je décidai donc d'allais voir les ruines. Des flammes me barrait le passage, mais ce n'était pas ce qui allait m'arrêter, je doutais que quelqu'un est pu prévenir les secours et décida donc de le faire moi même. Je contournais donc et réussis à atteindre mon jardin, enfin ce qu'il en rester, la clôture brulait et les plantes était noircis ou désintégrer. J'expliquai la situation au téléphone tout en entrant dans ma maison. Il ne restait plus rien, soit désintégrer soit lécher par les flammes. Horrifié et attristé par ce paysage dévasté je fis quelques acrobaties pour aller voir la maison de mes voisins, les Karl's. Raccrochant mon appel, j'allumai le flash de mon téléphone et avança à nouveau en contournant les bouts de portails éparpillé sur la chaussée. Je vis une voiture retournée que je n'avais pas aperçus étant arrivé par le cote opposés. Je reconnu la voiture de la mère de Clara. Je couru jusqu'à elle et vis que mme Lynd avait pu sortir et qu'elle était allongé à bout de souffle à coté du véhicule. Je couru aussi vite que possible pour quémander son état. Je repris mon inspection. 50m plus loin se trouvait Clara Lynd elle même, du sang brillant sous son bras d'une plaie ouverte au niveau de la main. Au loin, j'entendis les sirènes résonnait dans le silence. Je vérifiai si elle respirai toujours et repartit cette fois ci dans la maison. Lorsque j'arrivai enfin dans l'entrée je vis un désastre qui me coupa le souffle au point où je dus m'appuyer sur l'encadrement (vide) de la porte. Justine était coincé sous une commode, évanoui par terre, des bouts de verres enfoncer dans la peau. Alors que je m'avançais vers Emilie, inconsciente le bras gauche plantait d'un bout de bois et saignant abondamment, quand j'entendis l'eau des lances à incendie dehors. En m'avançant jusque dans le salon je vis Mme Karl's, les yeux grands ouverts, un bout de métal plantait dans le dos. Dans le coin je vis Jean, recroquevillé sur lui même, je m'approchai doucement, évitant les quelques flammes qui persistait. Doucement je lui pris le bras et lui chuchota de me suivre il se leva docilement, les yeux bloqués sur le cadavre de sa mère, la vision de cet adolescent fragile me brisa le coeur mais je me ressaisi et l'entraîna dehors. Les pompiers nous interceptèrent et je me fis passer un sacré savon. Le feu était éteint quand un médecin vins chercher le frère de ma meilleure amie, celui ci me dis qu'il y avait Ally, Ashley et Anaë encore en haut et je lui répondis d'un hochement de tête avant de me détourné pour suivre les pompiers et médecins à l'intérieur. Ils me laissèrent montés mais en haut des escaliers se trouvait Ally, allongé par terre la peau d'un rouge vif et du sang coulant de sa tempe. Morte. Ma gorge était obstrué et je ne pus articulé ne serait ce que son nom. Arrivé dans la chambre de Justine le passage était obstrué par une poutre et sous cette poutre ce trouvait...

- Anaë ! M'exclamai je en la reconnaissant. Anaë... lorsque je m'approchais ( enjambant la poutre ) je la vis mieux, inanimés, dans une marre de sang, les yeux ouverts reflétant le plafond, et le cou tordus en un angle étrange. Ma gorge se serra et mon estomac se noua, je n'allais pas tenir longtemps sans vomir si ça continuait.

À ma droite Ashley respirait lentement, assise contre le mur, se tenant le poignet. Je m'approchai doucement d'elle, faisant signe aux secours de ne pas trop avancer, vu son caractère et son niveau en arts mariaux, elle serait bien capable de les mettre au tapis par peur.
Arriver à coté d'elle je me laissa glisser doucement le long du mur et m'assis à côté d'elle. Elle leva les yeux vers moi et j'eu l'impression de me prendre une gifle. Ses yeux criaient sa tristesse bien mieux que les larmes qui dévalaient ses joues. Impuissant nous nous regardions comme si les réponses se trouver dans les yeux de l'autre. Elle s'approcha alors doucement, d'une manière presque inquiétante et me chuchota à l'oreille.

- Je t'en supplie dis moi que ce n'est qu'un cauchemar, que demain matin je me réveillerais et j'irai en ville avec Justine, que l'on se disputera tout les deux quand tu la rejoindras, dis moi que ce n'est qu'un mauvais rêve et que demain cette douleur aura disparu.... Je t'en supplie Luc, promets le moi.

Je restais muet face à cet aveux. Je me sentis alors sale, d'une saleté incompréhensible. Je ne pouvais pas lui promettre bien au contraire et je venais la tiré de son répit pour la propulser dans la route infernale du deuil.

- Désolé. Dis je en me levant, je fis alors signe au secours qu'ils pouvaient venir ( ils ne risquait plus de finir par terre dans l'état où elle était).

Je redescendais alors comme en transe . Les souvenirs de ces découvertes me revenait par flash désagréable. Je m'assis alors, à même la route le regards perdus sur le goudron, avec une envie irrépressible de vomir, traversait par moment par un sentiment de colère. Elles avaient 16, 18 et 50 ans, elles étaient , grandes ou petites sœurs et mère de famille, elles m'avait aidées et accueillis, chacune à leur manières, elles ne méritaient pas de mourir. Personne ne méritaient de mourir. Encore moins pour cette stupide cause.

Un pompier, grand, moustachu aux yeux entourés de cernes s'avança vers moi et pris la parole :

- Monsieur, je suis désolé de vous l'annoncer, mais comme vous le savez sans doutes, la femme dans le salon et les deux jeunes filles inanimées en haut son décédé. Vous avez toutes mes condoléances.

Mais qu'est ce que j'en avais à faire de leur condoléances ? Ça ne ramènera pas leurs mère à Justine et Jean et leurs filles aux mères d' Ally et Anaë.

Qu'est ce que je vais faire, qu'est ce que je vais faire bordel ? Ma maison est détruite, ma meilleure ami était, il y a pas si longtemps, coincé sous un meubles et au moins trois personnes sont morte. Seigneur qu'est ce que je vais faire ?

Tout était flous. Une heure plus tard, les ambulanciers vinrent me chercher. ILs m'expliquèrent que Jean allait être soigné puis placé en famille d'accueil vu son âge et que normalement ils allaient s'en sortir et qu'on nous conduisait à l'hôpital de la ville. Un ambulancier assez jeune me demanda les noms de tout le monde pour pouvoir contacter les personnes en cas d'urgences puis m'emmena dans la même ambulance que Jean et Ashley. La pauvre... elle venait de voir Ally mourir à peine un mois après la disparition de son petit frère.

Mais une chose était certaine. La vie ne serai plus jamais la même.....
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Alors ? Qu'avait vous penser de ce nouveau PDV ? Est ce que l'esprit de Luc est intéressant ? Est ce que ça ne fais pas bizarres de changer de « têtes »?
À dans deux semaines !

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