Chapitre 18: Bouleversement

7 2 2
                                    

Bonjour à tou.te.s ! J'espère que vous allez bien et passer de bonne vacances. Voici un nouveau chapitre très court et donc le bonus qui va avec !
À dans deux semaines !
###

Chapitre 18: Bouleversement

- Bonjour à tous !
- Bonjour docteure Adoni ! Répondîmes en coeur.
- Est ce que vous êtes intéressés par la Résistance ? Déclara t'elle de but en blanc. C'était violent et alarmé et nous restèrent quelques secondes dans le silence, abasourdi sous ce regard brulant d'un feu ardent qui semblais d'à peine démarrer.
- Euh... oui ? Avançai je incertaine.
- Je suis désolé d'être si pressé, mais vous risquez de pas tarder à devoir faire. Vous n'êtes plus censé vivre ici. Avant que je vous donnes plus d'information sur ce refuge qu'il vous sera possible de rejoindre il faut que vous preniez une pleine conscience des risques qui vous attendent juste par le fait de connaître cette information qui aurait eu, en un autre temps, pour bonne nomination « secret d'état ».
- Agathe, on connais les risques. Dis Emilie après qu'on ai toutes échangés quelques regards.
- Je vous aurais prévenu... elle était presque effrayante, le front brillant de sueur, les yeux remplis de haine, la respiration haletante et par dessus tout je pouvais voir ses mains tremblaient dans les poches de sa blouse au blanc passé.

Elle se lança alors dans un long récits que je ne pourrai entièrement retranscrire car des pensées parasites en profitèrent pour m'assaillir.

- Comme ce n'est plus un secret pour personne, effectivement, il existe une organisation luttant contre la dictature du Royaume se prénommant « La Résistance ». En revanche ce que peu de gens savent c'est que son créateur n'est personne d'autre que notre ancien premier ministre. Cette organisation est divisé, par région, département et enfin agglomération, comme dans une démocratie. La cheffe de notre département à malheureusement disparue, récemment kidnappé avec des civils il y a quelques temps.

Ashley

Le chef d'agglomération vis actuellement dans un QG à 15km d'ici. Il travaille avec les autres chefs d'agglomération du département pour la retrouver. On peut rejoindre la Résistance dès18 ans même si je trouve ça un peu jeune.

18 ans ? Je venais de les avoirs.

Mais même si nous devions évacuer vous devrait toujours exercé vos activités. Je vous conseilles par conséquence de vous loger ailleurs que le QG rapidement une fois que vous l'avez atteint. Je pense que chercher un appartement serait d'ailleurs une bonne idée. J'ai déjà proposée ma résidence secondaire à Luc pour dépanner si vous en avez besoin.

« Alors c'était réelle... une résistance avait été établie, un groupe de personne anonyme se battait pour le retour de nos libertés et l'abolition de cette fade imitation de l'ancienne royauté. La bulle dans laquelle nous vivions depuis la triste année 2022 devenait si réel. On avait confirmation que notre pays partait en fumée, que c'était bien le régime qui nous oppressaient et assassinaient au coin de la rue, à l'abris des regards. Les ours suivants les informations redevinrent banal malgré ce drôle de sentiment qui me retourné le cerveau chaque nuit, masquant l'horreur de plusieurs homicide, les télés étrangères, elles, ne se ménageaient pas d'information dont on manqué et crachaient sur notre nouveau gouvernement et sur le fait qu'en un an notre patrie ai autant pu sombrer. Comment j'obtins cette dernière information à caractère international ? Je n'en sais toujours rien, les jours suivant cette annonce j'avais vécu dans un monde à part, perdus dans le brouillard et pesant les pours et les contres.

Est ce que j'avais peur de mourir ? Aucunement. La mort est quelque chose de très relatif, quand tu es mort tu es mort donc tu ne peux pas t'en plaindre, il y a juste... les autres. Pour eux, c'est dur.

Est ce que j'avais peur de souffrir ? Je n'en savaient trop rien. Après tout peut-être que je souffrais déjà ?

Est ce que j'avais peur de voir mes ami.e.s mourir, trahir ou être emprisonné ? J'en était malade, cela me terrifiait incontrôlablement. Pas eux. Je ne voulais pas qu'ils disparaissent, qu'ils me laissent toute seule.

Je me posais beaucoup de questions mais, au fond de moi, je savais que ma décision était prise, depuis trop longtemps... »

La RésistanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant