Chapitre 25

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Hello there ! Comment allez vous ? Et comment ce sont passé vos vacances ?
Perso nickel même si c'était pas assez long ( ouais je suis paniqué pour une activité que j'ai mercredi help )
Bref, la suite des événements direct de cette mission séparé en 3 chapitres ( oui il en reste un )
Bref à dans deux semaines !
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Chapitre 25:

Nous nous dévisageâmes en silence quelques secondes puis les cris de Koch me tirèrent de ma contemplation. Pendant que je réalisais que ma meilleure amie avait survécu à l'emprisonnement celui ci était partis dans une crise de nerf monstrueuse. Il hurlé et Keyra tenté vainement de le calmer.

- Laisse je prend le relai. Il faut monter celle qui est inconsciente lui murmurai-je après avoir vérifié que celle-ci était toujours en vie. Je forçai géronimo à se taire et à m'écouter en réussissant à crier plus fort que lui. Écoutez monsieur Koch, on ne sais pas si elle est en vie. Mais si c'est le cas allons la retrouver. Mais je ne promet rien alors il va falloir vous ressaisir.

Mon ton était ferme, presque froid et sans réplique. Je ne vouvoyais jamais  Géronimo mais à ce moment là j'étais presque certaine qu'il ne me reconnaissais pas, trop enfoui dans sa terreur. De ce que je compris, Karoline Koch, était sa femme et la cheffe du département chez les résistants et elle manquait toujours à l'appel, de même qu'un jeune résistant prénommé Julien. Nous remontâmes tant bien que mal. Keyra et moi portions la civière que j'avais déplié sur lequel ce trouvait une jeune femme prénommée Lynda, Géronimo aidait Mickaël en le laissant s'appuyer sur lui et Ashley ouvrait la marche, tremblante et silencieuse.

Enfin nous arrivâmes au rez-de-chaussée. Il semblait vide si l'on ne prêtait pas attention aux corps par terre et aux prisonniers ligotés. Nous appelâmes Gwenaëlle et Aurore à grand renfort de cri et elles finirent par nous répondre. Guidé par leurs voix Keyra et Géronimo montèrent tandis que je restait avec Ashley, Lynda et Mickaël. Le silence en devenait pesant mais je m'occupais en examinant mieux Lynda. Et c'était mauvais. Je doutais quelle tienne jusqu'à l'hôpital au vu de tout le sang qu'elle avait perdu durant ses jours d'emprisonnement et je me demandais depuis combien de temps elle n'avait pas mangé. Je sortis un biscuit de ma poche et le tendis à Ashley. Je ne pouvais pas faire grand chose pour sa compagne de captivité dans l'immédiat étant donné qu'elle était évanouie alors je m'efforçais de lui donner de quoi se nourrir un peu, même si c'était évident que ça ne suffirait pas.

- Karo ! Le cri de Géronimo fendit l'air, glaçant. Le soulagement et l'inquiétude pointait dans son ton et celui pressé qu'employa Mme Schmidt en descendant en compagnie des autres qui portaient la civière ne me rassura pas.

C'est là que je l'a vis. Karoline Koch. Une plaie béante ouverte dans le haut son dos et son chemisier blanc imbibé de sang, les cheveux collants, le visage tuméfier... je fus stoppée dans ma contemplation par des coups sur la porte.

- Merde. Murmurai-je.
- Il y a une porte derrière. Indiqua Ashley sans m'accorder un regard.
- Ok. Mickaël, Keyra, Aurore, Justine, vous passez par là avec Mlle Rivière, Karoline et Lynda. Nous acquieçâmes et entreprirent un départ précipité.  

Ce fut compliqué. Ashley déjà très faible du porter une civière avec Keyra mais Mickaël l'aida tant bien que mal tandis que l'infirmière et moi déplacions Mme Koch. Enfin nous trouvâmes la porte. Un coup de pied de l'ancienne gendarme suffit à l'ouvrir et nous sortîmes.   La lumière éblouit Ashley qui eu un mouvement de recul. Mais nous n'avions pas le temps. Ils n'étaient plus que deux faces aux possibles renforts du Royaume et ne pouvaient que nous couvrir jusqu'au véhicule.

Jamais de ma vie je ne fus aussi heureuse de me retrouver face à face avec un vieux Kombi aux couleurs passées par le manque d'entretien extérieur. Keyra pris le volants Ashley à ses côtés. Karoline qui était consciente était assise à coté de Lynda, toujours inconsciente, était allongée sur deux places, les jambes repliées contre la parois. Le van sept place avait était réaménagé par Géronimo et la banquette trois places faisait face à la dernière ce qui était bien plus pratique pour soigner les blessés. Sur cette dernière banquette était assis Mickaël et Aurore, cette dernière prenant en charge son bras tandis que je m'occupais de la blessure de notre cheffe de département.

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