Chapitre 14 : Le mal est déjà fait

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Chapitre 14 : Le mal est déjà fait
( retour au présent: PDV Justine)

La lumière du soleil matinal apparut, m'éblouissant légèrement et me forçant à ouvrir les yeux. Je me retournai en grognant et me retrouva en face à face avec Emilie.

- Qu'Est-ce qu'il y a ? Demandai-je étonnai de la voir levée si tôt.
- Je me suis réveillé et comme j'arrivai pas à me rendormir j'ai allumé mon téléphone. Et j'aie reçu pleins de messages de Clara qui me disait qu'elle t'avait appelé au moins dix fois et qu'il fallait qu'on se lève. Elle avait l'air assez paniqué. M'expliqua-t-elle en attrapant son short et son t-shirt.
- Euh, ok, bah j'arrive. Dis-je en poussant mon draps. Je prenais l'on short et ma chemise et me levai pour m'habiller. Il était cinq heure et demi du matin et une amie venait de nous appeler en panique, mais sinon tout aller bien.

*

Je laçais mes baskets quand Clara arriva paniqué, ouvrant grand la porte, faisant sursauter Emilie qui était entrain d'attacher ses cheveux.

- On allait arriver, assieds toi et explique nous. Dis-je après avoir jetait un regard en sa direction. Ses cheveux étaient emmêlé, ses habits étaient froissés -comme enfilé à la va vite- et elle paraissait au bord de la crise de larmes. Je lui fit une place sur mon lit et elle s'assit, les mains agitait de tremblements, elle prit une profonde inspiration et bégaya :
- Ma... me mère est aux urgences et... et on sais pas ce qu'elle a, elle s'est réveillé avec de la fièvre et est tombé Dans les escaliers, ça nous a réveillé et on a vu qu'elle avait des sortes de plaques semblables à des, à des... à des écailles de serpent. La fin n'était qu'un murmure mais quand l'information fut monté jusqu'à mon cerveau ralentis par le manque de sommeil je sentis les traits de mon visage peindre ma stupeur.
- Des écailles de serpent ? Répéta Émilie interloqué.
- Oui, je sais, c'est bizarre. C'est justement pour ça qu'on est venu, on a croisé le docteure Adoni il faut que je remonte, vous pouvez venir avec moi s'il vous plaît ?
- Oui, oui bien sur, juste je finis de faire mes lacets. Acquiesçait je en finissant rapidement le double noeuds. Emilie et moi nous levâmes et suivirent Clara dans le dédale de couloir jusqu'à l'ascenseur.

*

Arrivai en haut elle nous mena jusqu'aux urgences, dans un box où l'attendait Agathe penchait sur sa tablette. Quand elle nous aperçus elle se leva directement et nous accueillis Emilie et moi avant de demander à Clara d'aller chercher son père en les attendant Agathe nous mis au courant de l'état de Mme Lynd.

- Elle est stable, mais j'ai peur que ça se dégrade trop lentement pour qu'on s'en aperçoivent. Par contre je vous préviens, vous connaissez les effets de la fièvre, elle n'est pas au meilleur de sa forme, et... et sa vision commence à se dégrader.

Emilie et moi nous entre regardâme sous le choc. Mr Lynd et sa fille arrivèrent aussi tendu l'un que l'autre, jetant des regards inquiets au rideau se trouvant à ma droite. La docteure Adoni nous demanda de la suivre et ouvrit le dit rideau.

- Mallaury ? C'est moi Agathe. Je suis avec ta fille, ton mari et les deux petites, on peut venir ?
- Oui, oui, entrez. Répondit une voix étouffer.

Nous entrâmes silencieusement les uns près les autres et attendîmes le verdict du médecin.
- Je suis désolé de l'annoncer mais... Mallaury tu as attrapé la dragonite.
- La dragonite ? Répéta monsieur Lynd, interloqué.
- Oui tous les symptômes sont là. Écailles de serpent, fatigue, forte fièvre et même - si j'en crois ce que tu m'as dit - perte progressive de la vue.
- Mais c'est quoi ça au juste ? S'inquiéta Clara.
- Une maladie dû au radiation de l'œil de dragon ou par une blessure du à une bombe à « cendres ». En voyant nos regards brouillés d'incompréhension Adoni expliqua :
- En fait c'est la même chose. De ce que l'on sait, les bombes à cèdres sont créer par des petits copeaux d'œil du dragon à l'apparence brûlée, et l'œil du dragon à été fabriqué il y a quelques années par les chimistes du Royaume sans Kumasi avoir été commercialiser ou même médiatisé, elle est nommée ainsi à cause de son apparence d'œil et de la maladie qu'elle engendre.

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