Chapitre 15: Le calme avant la tempête

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Bonjour ! Comment allez vous ? Aujourd'hui on se retrouve avec un nouveau chapitre qui avance un peu dans le temps et nous raconte brièvement ce qui ce passe pendant presque tout le reste des vacances. J'espère que el chapitre vous plaira à dans deux semaines !
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Chapitre 15: Le calme avant la tempête

Nous étions fin août, Luc avait fêtait ses dix-huit ans dans une ambiance assez étrange mais en somme ça s'était bien passer. J'étais dans la bibliothèque je lisait un texte qu'Agathe m'avait écris sur la dragonite et les mutations notant parfois quelques mots. Avant je n'était pas certaines du métier que je voulais exercer, désormais, avec tout ce qui ce passé, la médecine me semblait une bonne orientation, même si je ne pouvais pas envisager de commencer des études de médecines pour pouvoir agir maintenant, je pouvais me former à un métier de terrain, capable de maintenir les gens en vie dans une situation risquée et urgente. Ma formation d'ambulancière venait de commencer et Agathe m'avait proposé de participer à certaines de ses gardes aux urgences.

Au début, quand j'en avais parlé au docteure Adoni une lueur étrange c'était allumé dans son regard, mais elle c'était montré heureuse de partager son savoir. Le Royaume avait fait explosé plusieurs maisons vides et créer un court circuit dans un hôpital privant ainsi le lieu d'électricité et créant un incendie tuant plusieurs personnes.
La capitale n'avait plus d'électricité depuis plusieurs jours, mais le soir on pouvait voir les lumières du ministères allumé.

Ils préparaient tous leur rentrée à l'université, dans l'incertitude de la durée sur laquelle ils pourront étudier et des professions qu'ils pourront exercer.

J'avais aussi décidé de me remettre au sport, même peu, pour récupérer mes capacités sportives. En effet depuis que j'avais du arrêter la danse classique, j'avais perdu ma souplesse et ma force, mon équilibre et mon assurance. J'avais continuer à danser à la maison, mais depuis l'explosion j'avais un peu laisser tomber, tout d'abord bloquer par mon genoux défectueux et puis aussi vaincu par la fatigue et l'abattement.

*

- Clémence ne vient pas ?

Nous étions installé dans le grand parc sur un banc à l'ombre d'un hêtre. Le ciel était entièrement bleu et quelques personnes déambulaient sur le chemin à la recherche d'un peu d'ombre et de calme.

- Non elle est malade.
- Ah mince. J'espère qu'elle ira vite mieux... Du coup tu vas aller voir Luc ? M'interrogeai-je.
- Ouais je pense. Comment il va ?
- J'en sais rien. Sur le coup quand ses parents sont arrivés j'a vraiment eu peur, mais il n'as pas craquer.
- Tu veux que je lui parle ?
- Non, je pense qu'il va esquiver. Mais après tu peux toujours essayer.
- Je verrais selon comment il est. Et Ashley ? T'as des nouvelles ?
- Non justement, et ça m'énerve ! Dis je en m'accoudant au dossier du banc. Mon téléphone c'est cassé et on a pas réussi à récupérer les données, Emilie a essayé de l'appeler avec le sien mais « ce numéro n'est plus attribué » je pense que son téléphone aussi c'est cassé et quelle n'a pas réussi à avoir une nouvelle SIM du même numéro... mais attends, toi t'avais pas son adresse mail ?
- Je l'ai plus ! Le royaume a reset tous les forums, dont les mails. Grogna t'il
- Et merde ! C'est quoi la prochaine étape ? Fouille des téléphones portables ? M'énervai-je.
- J'en sais rien, mais les copines de ma sœur m'ont dit que la dernière fois elles avaient voulu prendre le bus et elles se sont fait contrôler leurs sacs. Leurs sacs sérieux. Qu'est ce que tu veux que des ados de 15 ans trimballent dans leurs sacs e cours ?
- Des mangas, des livres, des cahiers, ou non je sais ! De la nourriture !
- De la nourriture ? T'es pire que Clémence toi. Ri t'il.
- Non, mais elle à raison, la nourriture c'est sacré.
- Vous êtes aussi folle l'une que l'autre.
- Et fière de l'être mon cher ! Aller je te montre la chambre de Luc, mais par contre il est pas là, je crois qu'il avait promis au Docteure Adoni d'allait lui acheter des pommes. Oui des pommes, me demande pas pourquoi. Ajoutai je en voyant son air dubitatif.

*
- Ma grand mère doit venir me couper les cheveux, et elle m'as dit de vous proposer ! Lança Clara par dessus son journal.
- Elle est trop gentille ! Moi je veux bien. Riais je. Je supporte plus la longueur de mes cheveux.
- Oui, elle est vraiment hyper gentille ! Mais bon, personnellement vous savez à quel point je tiens à mes cheveux...
- Em, je levais les yeux aux ciels, ils font dix kilomètres là. Me moquais-je.
- Je sais, mais laisse les en paix. Me répondit elle.
- Dans une heure dans mon ancienne chambre. Décida la blonde en souriant. Nous acquiescèrent et retournèrent vaquer à nos occupations.

*

L'après midi c'était bien passer et j'étais partis en m'excusant pour aller rejoindre Luc, non sans être moquée par mes amies qui adoraient me charrier à ce sujet.
Arrivai sur le banc je m'assise à côté de lui dans le silence le saluant rapidement.

- Tu t'es coupé les cheveux ? Me demanda t'il après quelques secondes de réflexion.
- Oui, répondis en souriant.
- Ça te va bien. T'es belle. Me dit il en enlevant une mèche de devant mes yeux.
- Merci. Dis je sincèrement touché, d'abord qu'il est remarquer ouvertement que j'avais raccourcis mes cheveux m'arrivant en dessous des omoplates jusqu'au dessus de mes épaules en un carré long, et ensuite qu'il m'ai complimenter. Je ne me trouvais pas particulièrement belle, une fille simple, la peau bronzée, les yeux marrons-verts, les cheveux bruns au reflets roux que je tenais de ma mère et qu'époque tâche de rousseur parsemant mon nez, j'avais de grandes mains avec de longs doigts que je tenais de mon père et n'était pas très grande, donc les compliments me faisait toujours plaisir.
- Toi aussi tu es beau. Fis je bêtement remarquer.
- Merci. Rit il. Mais c'était vrai. Son sourire malicieux qui en avait charmé plus d'une, ses mèches folles et ses grands yeux chocolats dans lesquels on pouvait se perdre des heures durant, je trouvait ça beau, je le trouvé beau.

Nous étions resté longtemps sur ce banc, assis, à parler de tout et de rien, à lire et commentai des passages à voix hautes.

Vers 19h Luc se leva.

- Je dois y aller, j'ai promis à Yohann de l'aider à faire le point avant la rentrer. Il déposa un bref baiser sur ma joue et s'en alla.

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