The beauty of your heart

𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 56

PDV Velia

quelques jours ce sont écoulés depuis la naissance de mon fils... J'ai énormément de mal à m'en remettre. Maman, Kylia, Oralie nous aident beaucoup et je leur en suis très reconnaissance. Bronte est obligé de partir pendant des heures à cause du conseil.

- Tu devrais resté couché Lia. dit Bronte en enfilant sa cape.

- Je vais mieux Bronte, ne t'inquiètes pas. Ce n'est pas bon pour moi de rester aussi longtemps alité.

Il m'embrasse.

-Hèles moi si tu as un problème.

- passe une bonne journée chéri... Et dis bonjour de ma part au conseil.

- Je le ferais. A tout à l'heure. Il saute.

Maman ne devrait pas tarder, la connaissant. Dès qu'elle a su pour la naissance de notre fils, Elle n'a pas voulu que je reste toute seule un seul instant. Je me dirige vers la chambre de notre nourrisson et entre sur la pointe des pieds. Je me penche sur le berceau. Et l'observe dormir paisiblement. c'est une petite marmotte. Il est si petit, si adorable. J'ai si peur de le perdre ... Je me le dis tout le temps depuis sa naissance, que ça aurait été m'a faute si il n'avait pas survécu.
Cette simple idée me fait frissonner. Il se met à remuer. Il ouvre les yeux et tend de suite ses bras vers moi. Je le pris avec douceur.

- Bonjour Calion. Murmurais je en caressant sa joue. Il babille des choses que je ne comprends pas. Il enfouit sa tête contre moi. Il est mignon. Je caresse ses cheveux en souriant. Je t'aime Calion. Mon petit ange.

- Velia ! Je suis la ! Cri ma mère.

Je sortis de la chambre et descendis les escaliers.

- je suis là maman. Calion tendit ses petites mains vers elle.

- Bonjour petit poussin. Dit elle en tapotant le nez de Calion. Comment vas tu aujourd'hui Velia?

- Un peu mieux... mais je dors peu la nuit je dois l'avouer.

- Tu te fais trop de soucis chérie. Ce n'est pas bon pour toi.

- Je le sais maman, mais je ne peux m'empêcher de penser à tout ce qui aurais pu se produire.

- Rien ne s'est produit. alors s'il te plaît fais moi le plaisir de te détendre.

- allons dans le salon discuter si tu veux bien.

Nous nous sommes assis sur le sofa. Calion s'amuse à emmêler mes mèches de cheveux.

- Papa, le sait ?

- Je ne lui ai rien dit, mais nous pouvons lui annoncer... si tu le souhaites.

- Je ne sais pas... fin, tu le connais. Tu sais qu'il fait toujours des scènes exagérer pour un rien. Puis nous nous sommes disputés. Il ne veut plus me voir.

- Tu connais ton père, c'est une tête de mule née ! il changera d'avis !

- Je ne sais pas...

- ça ne coute rien d'essayer.

- c'est vrai... essayons.

- tu préfères que je le fasse venir ici ? où qu'on aille chez nous ?

- Il y a déjà beaucoup de monde qui savent que je suis ici... J'aimerai éviter dans ajouter une. On n'a toujours pas retrouvé Kay.

- Alors allons y.

- Est ce une bonne idée ?

- à toi de voir Lia.

Je regarde Calion, de toutes façons, il le sera un jour ou un autre, autant que ce soit aujourd'hui.

-allons y. dis je en me levant. Elle sortit un cristal de saut et pris une de mes mains. J'enveloppe de ma conscience mon petit Calion et maman fit de même pour comme cela nous étions sur d'être protégés.
Nous sommes donc arrivées.

- il doit être encore là. nous sommes entrées, Len ! Tu es là ?

- Ici. Répond mon père, sa voix provient du grand salon.

Maman entre, je la suis d'un pas hésitant.

- Tu es déjà rentré Cora ? Je croyais que tu étais avec Velia. Dit il sans même relever la tête de son livre.

- Et c'est toujours le cas. Il se lève alors et s'apprête à quitter la pièce à ma vue.

- Len. Je sais que vous vous faites la tête et que tu ne veux pas la voir. Mais c'est important. Alors cesse d'être égoïste un moment et laisse ta rancœur de côté.

- Qu'est qu'il a ? demande t-il.

- Je ne viens pas faire la paix avec toi sache le... Mais je voulais au moins que tu saches que tu as un petit fils. Dis je.

- Quoi ? Il semble soudain se détendre, il se tourne vers nous.

Calion gazouille joyeusement dans mes bras.

- Depuis quand ? demande t'il s'en bouger de place.

- Une semaine...

- Tu le savais ? demande t'il à ma mère.

- Bien sûr ! contrairement à toi, je me préoccupe de ma fille, surtout quand je sais à quel point elle a souffert, et qu'elle a faillit perdre le bébé. déclare ma mère les bras croisés.

- comment cela perdre le bébé ?

- Il est né prématuré de deux mois... j'ai fa eu le perdre à cause des séquelles de mes blessures.

- c'est pour cela qu'il est si petit...

J'acquiesce doucement de la tête .

- Comment s'appelle t'il ?

- Calion.

Il y eu un silence. C'est gênant ... Je suis si mal à l'aise.

- Je suis désolé Velia. Je m'en veux... un peu qu'on se soit disputer.

- Maman... Je vais rentrer...

- Je t'accompagne.

- Au revoir. dis je à mon père avant de sauter à Gloria.