Lueur et pénombre

Chapitre 4: Meurtre(presque) parfait

Lorcan 

Le soir du meurtre au casino

Putain, je devrais vraiment être payé au prix fort. 

C'est ce qu'actuellement je suis en train de me dire, tandis que mon regard balaie la pièce, à la recherche de ma proie. Un homme riche, vieux et connard finit. Le rêve de toute une vie. Je soupire en descendant l'énième verre de cette soirée plus que morose. Je ne pense qu'à rentrer en Italie, mais pour le moment me voilà coincé  à Vegas, en attente. 

Je vais le tuer rapidement, juste pour l'attente qu'il impose ce connard. 

Je soupire, m'installe confortablement,tandis que je repasse la pièce au peigne fin. Je soupire, puis mon souffle se coupe l'espace de quelques secondes lorsque je fis face à deux iris d'une couleur améthystes.... 

Putain, c'est possible ....? 

Je reste quelques instants fixé dessus, puis laisse mon regard glisser sur cette femme. Elle se tient avec une assurance, et une arrogance qui me font frisonner l'échine. Elle semble pas très grande, mais elle a confiance en elle, cela se voit rien qu'à son allure. Elle croise ses jambes, attirant aussitôt mon regard sur celle ci, qui ne sont pas tellement élancées, mais elle sait faire en sorte de les mettre en valeur. Je remonte lentement, enregistrant chaque parcelle d'elle doucement dans mon esprit. Ses cheveux bruns coupés en un carré parfait, mettent en valeur son visage fin, ainsi que ce regard si rare. Elle à une silhouette à faire fantasmer tout les mecs, et elle semble le savoir. Je peux remarquer que ses formes semblent travailler, surement dû au sport.... Elle s'entretient.... La robe noir moulante qu'elle porte, semble faites sur mesure pour elle, tandis qu'elle bois doucement une gorgée de ce qui semble être du whisky. 

Sa mâchoire ne se contracte pas, ce qui montre qu'elle à l'habitude de boire cette alcool fort. 

Bordel.... 

Elle respire si fort la luxure que s'en est étouffant. Putain, une créature du diable à l'état pur... Elle me dévisage l'espace de quelques secondes, assez pour avoir des pensées plus qu'impure à son sujet. Elle semble me dévisager avec la même ardeur, ce qui me fait lentement étouffer. 

Ce sont des lentilles ?? 

Toute son attention est tournée vers moi, pour mon plus grand plaisir. Mais Leif me stop net dans ma contemplation de ce que je me fais d'un fruit défendu. 

- Il va arriver, chuchote mon acolyte. 

- D'accord, prépare les armes dans la voiture, prend que les silencieux, fis-je calmement, tandis qu'une nana vint s'asseoir à mes côtés. 

Lorsque mon regard retombe sur le bar, l'emplacement qu'occupait la brune est vide. 

Merde....

La nana à mes côtés me lance de long regard, ce qui en dit long sur ce qu'elle attend de moi. Putain, toutes les mêmes ma parole. Elles seraient capable de tout, rien que pour que je les baise au moins une fois. Je lui adresse un sourire, tandis qu'elle pose sa main sur ma cuisse. Je me retiens de rire, tandis que je pose à mon tour ma main sur sa cuisse. Dans un mouvement presque imperceptible, elle les ouvres légèrement sans me lâcher du regard. 

Prévisible. 

Je la regarde sans un mot, puis ma main glisse doucement vers le haut, puis s'arrête. Elle me fixe incrédule, puis acquiesce, me donnant son consentement silencieusement. Je remonte alors rapidement, puis entre deux doigts en elle, la faisant gémir légèrement. 

Je commença, quand soudain mon regard retomba sur la brune, revenue prendre un verre, que le barman s'empresse de lui servir sans qu'elle n'est à demander. Bah dis donc, madame à les hommes à ses pieds, rien qu'en respirant.