- Valentina : Mathieu... Embrasse-moi.
C'est tout ce que j'attendais.
Ma bouche fond sur la sienne avec une telle rapidité qu'elle me surprend moi-même. Mes mains quittent ses hanches pour venir attraper ses joues, ce qui me permet d'approfondir no...
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01 septembre 2019 - Clamart, France - 21H17
⚠️ Scène légèrement mature ! Si vous n'est pas à l'aise, ne lisez pas jusqu'à l'autre triangle jaune plus bas mes petits Joro' ⚠️
Sa bouche prend mon membre entièrement et mes mains, instinctivement, attrapent ses cheveux qu'elle a attachés préalablement en chignon.
Putain, de bordel, j'ai déjà envie de gicler.
Elle me pompe encore un peu avant que je ne la prenne par les épaules pour la remonter et reprendre le dessus sur elle.
- Putain Nana, ta bouche, c'est le diable.
- Valentina : Heureusement qu'elle te plaît, t'es bloqué avec elle toute ta vie.
- Quel dommage, personne d'autre pourra en profiter, j'en suis accablé...
Elle sourit avant de placer ses mains dans mes cheveux.
Je cherche des yeux un préservatif, et elle m'indique sa table de nuit. J'ouvre le tiroir et un truc violet à côté de sa boite de protection attire mon attention.
Qu'est-ce qu'un gode fout ici ?
- Bébé ? Wesh, pourquoi y a ça dans ton tiroir ?
Elle regarde ce que je viens de sortir et rougis directement.
- Valentina : Bah quoi, une femme célibataire à des besoins parfois aussi hein.
L'imaginer se donner du bien toute seule, m'excite, bizarrement. Je mets l'engin en route avant de remettre mon regard dans le sien.
- Intéressant...
- Valentina : Non non ! On ne va pas jouer maintenant, j'ai trop attendu.
- Quelle impatience mademoiselle Saadé.
Je fonds sur ses lèvres en enfilant la capote. Je prends ses mains dans les miennes et les bloque au-dessus de sa tête.
C'est moi qui contrôle, il n'y a pas d'autre possibilité. Jamais je n'ai laissé une femme me dominer, que ce soit physiquement ou psychologiquement, celle qui ont essayées sont sorties directement de ma vie, j'avais l'impression d'être une merde et d'être utilisé.
- T'es prête ?
- Valentina : Je n'attend que ça depuis des semaines.
- Quelle perverse...
___
02 septembre 2019 - Clamart, France - 09H56
Je me réveille, nu comme un ver. Nana trace mes abdos avec ses doigts et son genou est replié, posé sur mes cuisses.
- Tu sais que le bout de ta rotule est actuellement en train de saluer mes couilles ?
Elle fait une moue sacrément bandante avant de glisser sa main sous la couette pour venir toucher le bout de son genou et donc une partie de mon intimité.
- Valentina : Ah oui. Il me semblait bien que c'était moelleux à cet endroit-là.
Elle attrape mon érection matinale et commence à me branler.
- Bébé putain, t'es insatiable.
- Valentina : Dixit celui qui bande.
Je souris avant de remettre une de ses mèches derrière son oreille.
- Tu n'as pas tort.
- Valentina : Jamais.
Je la renverse et monte sur elle. Elle est trop belle, même au réveil. Mais qu'elle s'attende pas à ce que ce soit calme, c'est les premiers jours donc voilà, mais un jour, je vais rentrer et la prendre en Leuleu sans prévenir, elle va bégayer.
- Je vais te prendre, ensuite, on ira sous la douche et on sortira prendre un petit-déjeuner dans un café sur la place, d'a coté.
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, je la pénètre sans attendre. Elle balance sa tête en arrière, ce qui me laisse l'accès à sa nuque.
Je ne la ménage pas, j'accélère et attrape ses joues avec une de mes mains, mes doigts s'enfonçant dans ses 2 joues. Je veux voir ce qui m'a rendu fou hier soir. Et mon impatience est comblée, elle révulse très rapidement ses yeux au moment de son orgasme et ses parois se resserrent autour de moi, ce qui me fait cracher.
- Putain, je n'ai pas mis de capotes.
- Valentina : On achètera une pilule du lendemain.
⚠️ FIN scène mature ⚠️
Je dépose un baiser sur ses lèvres et on file vite à la douche.
30 minutes plus tard, on se retrouve enfin en terrasse pour un petit-déjeuner. Elle me parle de ce connard de Léo que je ne sens pas et de ce Bastien de mes couilles-là.
Vas-y, j'ai la haine, à cause d'eux, elle doute de leurs agissements et elle va devoir passer plus de temps à l'entreprise. De base, c'était deux jours, maintenant ça monte à 5 jours la semaine. Je la vois quand ma meuf moi ?
Qu'elle les vire et basta.
Ah bah non sinon elle ira tout le temps... Oui, bah, j'en sais rien moi.
- Valentina : Bé...C'est pas parce que j'y vais 5 jours sur 7 que ça va être comme hier des 9 heures 20 heures hein. Je quitterais largement plus tôt certaines fois.
- Hn.
Un SMS arrive sur son téléphone, elle jette un coup d'œil avant de répondre en souriant.
- C'est qui ?
Elle m'ignore complètement, continuant de taper sur son téléphone une réponse. Ça commence à me foutre le démon.
- Nana ! C'est à qui que tu souris comme ça ?
- Valentina : C'est Charlotte, elle va passer cette après-midi.
Elle repose son téléphone avant de me montrer ses dents. Son sourire m'envoie au tapis tellement il me fait palpiter.
- Ah oui, je vois Flav, on va voir, je vais cliper quel son en premier.
- Valentina : Ne m'en dis pas plus, je veux avoir la surprise !
Je hausse les épaules, en me disant que je lui laisserais écouter la mixtape la veille de sa sortie, je veux qu'elle l'écoute avant tout le monde tout de même.
- On y va ? Je te ramène, je vais voir ma grand-mère et je reviens ce soir après mon que-tru avec Flav ?
Elle acquiesce, en m'informant qu'elle va elle aussi aller voir Nourhane avant que Cha' ne vienne à 14 heures.
Je la dépose devant chez sa mamie et rentre chez la mienne qui me tape avec un torchon, car je ne l'ai pas prévenue que je découchais.
Quand elle a fini de me traiter comme un gosse de 10 piges, je sors mon chien vite fait, car je compte le prendre avec moi au stud'. Il fait peur à tout les tipeu c'est grave rigolo comment je leurs mets des coups de pression juste en relâchant la laisse d'un centimètre.
En rentrant, je m'allonge sur le canapé et repense à la brune. Elle m'ensorcelle.
•••
BONJOUUUUR !
Comme d'habitude j'espère que ce chapitre vous fera plaisir !
