Taiju x OC

38. Dévergondé 🍋

POV Taiju :

Je me réveille seul, dans la chambre de mon mec.

Moi : Karasu ?

Je frotte mes yeux et me relève, cherchant du regard l'homme de mes rêves.

Flashback rêve de Taiju :

Je suis assis sur une chaise ou plutôt attaché à celle-ci dans une chambre au mur vert clair et sombre. Une simple porte est ouverte sur une immensité noir laissant apercevoir deux yeux verts aux nuances contrastées briller.

Karasu : Alors ?

Ce simple mot, dit calmement, me fait frissonner. Pas de peur, loin de là, plutôt de plaisir. Sa voix est si plaisante à mes oreilles.

Moi : A-Alors quoi ?

Karasu sort de l'obscurité de la porte et ferme cette dernière. Il se plante devant moi et me regarde fixement.

Karasu : Que vas-tu faire maintenant ?

Il s'assied sur mes genoux et je sursaute, sentant mes joues se réchauffer. Il me sourit comme un enfant.

Karasu : Tu vas me laisser pantelant comme ça ? Tu sais ce que ça fait d'attendre onze ans pour pouvoir te toucher de la sorte ?

Il remue ses hanches contre les miennes, m'arrachant un gémissement incontrôlé. N'ayant pas le libre contrôle de mes mains, je peux pas empêcher les sons de sortir de ma bouche et je reste à gigoter sur ma chaise en tentant de libérer mes mains sans succès.

Karasu : Tu aimes ça, mon chou ? Moi aussi, j'aime ça. Je t'aime, n'en doute jamais, je t'aime.

Il m'embrasse et détache mes mains. Je le plaque au sol et il gémit sous mes caresses.

Karasu : Ne pense pas avoir ce privilège dans la vrai vie. C'est ton rêve, alors profite bien, Honey.

Il sourit et soupire de plaisir que j'écarte ses jambes avant d'aller plus loin dans notre relation.

Fin flashback rêve Taiju.

Quelle débauche ... Je suis si dévergondé ...

Je me regarde dans le miroir en pied en face du lit de Karasu.

Moi : C'est de ta faute !

Je me lève et cherche Karasu, je passe devant la salle de bain et entends de l'eau qui coule.

Il doit prendre sa douche.

Je vais dans le salon et m'installe sur le canapé. Après quelques minutes, j'entends qu'on toque à la porte. Nerveux, je l'ouvre sans regarder et me prends un uppercut.

Shojiki : CONNARD !

Surpris, j'esquice quelques pas en arrière alors que lui avance.

Moi : Sh-Shojiki ?! Qu'est-ce qu'il te prend, ça va pas ?!

Shojiki : C'est de ta faute !! Bordel !

Il essaye de me frapper et je me rends compte qu'il dort littéralement debout.