Le bijou

474 16 0
                                    

Après le dîner, Harry est venu me retrouver avant que je ne parte pour me dire que je suis coller avec lui dans dix minutes.

Déjà que je ne suis pas heureuse de la faire avec un ami que je doit ignorer et le pire, c'est que je vais devoir revoir le bonbon rose qui pense que mon frère est mort par accident. Quelle menteuse.

Nous sommes entrer dans son bureau et nous nous sommes installés à une table, Harry à ma gauche. Elle nous donne les plumes et Harry lui demande ce qu'il doit copier.

— « Je ne doit pas mentir. » Dit-elle.

— A ce moment là, vous devriez copier avec nous car la menteuse c'est vous. Affirmai-je en fixant la professeur droit dans les yeux.

— Et pour vous, Mademoiselle Diggory, se sera: « Je ne doit part manquer de respect. »

— Combien de fois on doit copier? Lui demande Harry.

— Autant qu'ils en faudra pour que vous compreniez.

Sans me poser de question, je commence à écrire suivis de Harry qui m'imite. Après une dizaine de minutes, je vois Harry cogiter dans tout les sens, je le regarde et comprend que la phrase qu'il doit copier se trouve sur sa main, qu'elle peste!

Je regarde ma main et la phrase est déjà imprégnée dans ma peau, mais je n'ai rien senti. C'est sûrement à cause de la colère que j'ai pris à Draco que je n'ai pas encore extériorisé.

— Harry, je vais prendre ta douleur. Ne panique pas et surtout fait comme si tu avais mal. Lui dit-je par la penser.

Il me fait un signe de tête sans me regarder et je ferme les yeux pour prendre sa douleur qui est beaucoup plus grande que je ne le pensais pour une si petite « blessure ». Comme je lui ai demander, il fait semblant d'avoir mal et je fait pareil voyant que le regard de Ombrage se dirige vers nous. Elle se rapproche et se tourne vers nous avec un air triomphant.

— Avez-vous un problème?

— Non. Aucun. Lui dit-je avec autant de rage que dans mes yeux.

— Vous pouvez partir, en espérant que vous ayez compris le message. Affirme-t-elle.

Je prends mon sac et part en vitesse, sans même attendre Harry. Il faut que j'arrive à extérioriser ma colère ou la faire disparaître, sinon je ne pourrais pas supporter d'avoir de la colère de Draco en plus de la douleur de Harry.

Je cours dans le château jusqu'à la forêt, je pose mon sac à l'entrée et me transforme en louve. Je cours sur mes quatre pattes et me précipite en plus fin fond de la forêt, évidemment ici je ne trouverai rien pour me défouler mais courir m'aide beaucoup à la faire partir sans dommage.

****

Le lendemain, alors que j'allais prendre le petit-déjeuner pour la première fois depuis que je suis ici! Harry vient s'asseoir en face de moi avec Hermione.

— Un problème? Leur demandai-je en me servant du porridge.

— Comment tu as fait Emma. Me demande Harry.

— Fait quoi au juste?

— Comment tu as fait pour me prendre ma douleur hier pendant notre heure de colle? Me demande le brun avec un air sérieux.

— Emma, tu peut nous le dire. Tu as déjà mis Harry et moi au courant pour ton don de télépathe alors s'il te plaît, parle nous. Me dit Hermione en posant sa main sur la mienne.

Je retire ma main rapidement avant de prendre ma cuillère et de leur dire:

— Il n'y a rien a expliquer. Je pouvais connaître et ressentir les émotions des autres l'an dernier alors je me suis entraîné sur mon père durant les vacances.

— Tu lui a pris sa tristesse d'avoir perdu son fils, Arthur nous a dit qu'il était souriant pour quelqu'un qui venait de perdre quelqu'un d'important... Me dit Hermione.

— Tu as compris, alors maintenant j'aimerais déjeuner si cela ne vous dérange pas.

Je commence à manger sans me préoccuper d'eux qui reste là devant moi sans rien dire. Et ils finissent par partir à leurs table pour rejoindre Ginny et Ron, je souffle un grand coup soudainement soulager. Je continue de manger lorsque quelqu'un me bande les yeux avec ses mains.

— Devine qui c'est.

— Draco Lucius Malfoy, est-ce que tu pourrais me laisser tranquille comme je te l'ai demander? Lui dit-je agacer totalement sûre et certaine que c'est lui.

Il enlève ses mains et s'asseoir à côté de moi avec une mine boudeuse sur le visage.

— Tu suis vexé que tu ne veuille pas de moi Emma...

— Et bien fait avec, parce que je ne compte pas changer d'avis Draco.

— Tu dit ça maintenant, mais c'est parce que je n'ai pas encore jouer de mes charmes pour t'amadouer une seconde fois! Affirme-t-il.

— Une seconde fois? Répétai-je.

Il me sourit avant d'affirmer:

— Avant tu me détestais et pourtant, tu es tomber amoureuse de moi et tu as utilisé ton charme naturel pour me faire tomber amoureux de toi, se qui a marché d'ailleurs!

— Bon qu'est-ce que tu veux? Lui demandai-je en soupirant.

C'est dingue comment il est persévérant et têtu. Mais tout fièrement, il sort de sa poche une large boîte qui est plutôt plate, mais beaucoup trop grande pour qu'elle contienne une bague. Je souffle de soulagement en pensant à ça, il ne vas pas me demander en mariage, tant mieux! Au moins je n'aurais pas besoin de lui briser le coeur en refusant et briser le mien en même temps.

— Cela est ton cadeau d'anniversaire en retard que je n'ai pas pus te donner le jour même attend donner que tu n'étais pas chez toi quand je suis venu te voir, et que de toute manière tu ne m'aurais pas ouvert...

Je rigole en repensant à toute les fois où je l'ai laisser à la porte mais que je le regardai de ma fenêtre pour voir si il allait partir vite.

Il ouvre la boîte et je vit un collier en argent avec un pendentif en forme de coeur, je suis totalement émerveillée devant le bijou incroyablement beau.

— Je ne peut pas accepter Draco, nous ne sommes même plus ensemble!

— Ne me rappelle pas ça s'il te plaît, me demande-t-il. Je veut seulement te faire plaisir et c'est malpoli de refuser un cadeau!

Je souffle et il me l'attache autour de mon cou.

— Oh! Et j'ai oublier de te dire qu'il y a graver E.D et D.M au dos du coeur...

Je tourne le collier pour voir nos initiales graver sur le bijou, il a dut le faire graver lorsque nous étions encore ensemble, ce qui me brise le coeur encore un peu plus.

— Merci Draco...

— Je t'en pris mon ange...

MAUVAIS MÉLANGEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant