T/P Stark x Natasha Romanoff

Chapitre 19: Juste toi et moi.

Ce chapitre contient du lemon, je préviens avant et après. Bonne lecture.
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J'arrive devant chez moi, je me gare et une voiture se gare derrière la mienne, je reconnais la corvette de Natasha et cette vision fait naître un sourire sur mes joues, je me sens mieux maintenant que je sais qu'elle est là.

Je descend de ma voiture et elle aussi.
Nos regards se croisent instantanément, ses yeux vert émeraude lisent en moi comme dans un livre, elle sait que quelque chose ne va pas et ses sourcils se froncent.

Elle s'approche de moi de sa démarche féline et m'attrape par la taille avant de plonger de nouveau son regard dans le mien.

Nous sommes là et le monde s'est de nouveau éteint autour de nous, il n'y a qu'elle et moi, le bruit des voitures, le son d'une ville qui est en mouvement constant, le chant des oiseaux, rien ne parvient jusqu'à nous.

C'est une sorte de léthargie, seul le sang qui coule dans mes veines et le bruit sourd qui tambourine contre ma poitrine me rappelle que je suis vivante et que je dois respirer.

C'est d'une respiration forte et saccadée que je reprend mon souffle, il se mêle à celle de Natasha qui peine aussi à reprendre sa respiration.

Nos regard se jauge et essaye de se comprendre, ils se disent tout ce qui ne sort pas de nos bouches, c'est un silence réconfortant.

Je finis par l'embrasser, sa bouche douce et pulpeuse m'avait manquée, elle porte un rouge à lèvres rouge qui déteint sur mes lèvres.

Nous refusons de nous lâcher, comme ci le monde allait s'écrouler dès notre séparation, ma langue viens se poster à l'entrée de sa bouche, elle tarde à me laisser y entrer mais finis par le faire, c'est maintenant nos salives qui se mêlent et nos langues qui s'enlacent, mes mains se joignent autour de son cou rendant le moment plus intime, plus fort, plus profond.

Je sens mes joues chauffer et le bas de mon ventre me titiller, je meurs d'envie d'elle, je voudrai lui faire des tas de choses, là, au milieu de la rue.

L'espace qui nous sépare se ressert peu
à peu, nos deux poitrines sont collées et je peux sentir ses tétons durcir sous sa chemise, je sais qu'elle a les mêmes idées que moi.

Nous finissons par nous séparer, il faut que l'on respire, ses yeux sont toujours posté dans les miens et son regard a changé, il est plus félin, plus envieux, elle me dévore des yeux.

J'ai dis que je voulais prendre mon temps avec elle, ne pas laisser notre relation se baser uniquement sur du sexe mais ça m'est impossible de m'y résoudre, mon corps réclame chaque partie de sa peau, il veut aimer, câliner et chérir chaque recoin de son être, le sentir contre lui, être bercer dans ses bras chaud, par le doux tambourinement de son coeur contre sa poitrine.

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Je soulève Natasha en la maintenant par dessous les fesses, ses jambes entourent ma taille, son visage se loge dans mon cou, je me dirige vers ma maison, j'ai besoin de me retrouver seule avec elle.

Je monte les escaliers, ouvre la porte de ma chambre, la claque avec mon pied et je plaque Natasha contre le mur ce dernier tremble sous le poids de nos deux corps, quelques bibelots tombent des étagères.

Je dévore ma rouquine du regard puis l'embrasse avec violence en lui mordant la lèvre, cela nous coupe le souffle à toutes les deux, ma bouche se dirige ensuite vers son cou que je dévore lui aussi.

Mes mains deviennent baladeuses et elles se glissent sous sa chemise, je caresse son ventre, sa peau est si douce son corps si bien taillé.

Je la décolle du mur et la dépose dans mon lit, je me met au dessus d'elle et défait les boutons de sa chemise un à un, je prend mon temps et vois dans son regard qu'elle trépigne d'impatience.