Chapitre 21: Un Russe ?

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Je décide de donner rendez-vous à Wanda ce soir pour lui raconter tout ce qu'il vient de se passer et lui annoncer que je vais venir vivre avec elle au QG, je sais qu'elle va être contente de m'avoir près d'elle.

Elle me répond qu'elle me donne rendez vous d'ici trente minutes à un bar du centre ville.

Je monte me changer et pars directement vers ma voiture.

La rue de chez moi est étonnamment calme, aucun journalistes voulant interroger mon père, aucun voisins, aucun passants, je ne fais pas plus attention à tout ça et m'apprête à monter dans mon véhicule quand j'entends les roues d'un utilitaire noir qui crissent sur le sol, il se gare à côté de moi en vitesse et sa porte coulissante s'ouvre d'un coup sans que j'ai le temps de réagir, elle laisse place à deux homme trapus ils m'empoignent tous les deux et je n'ai même pas le temps d'arracher un cri qu'une main se pose sur ma bouche.

Je n'ai aucun souvenir du voyage, c'est le trou noir, je me réveille, peut être quelques heures, jours, qui sait, plus tard.

Je ne reconnais pas les lieux, je suis sur ce qui semble être une table réfrigérante, celles qui servent pour les morts, cette pensée me fait froid dans le dos et un frisson me parcours le corps.

Mes mains et mes pieds sont liés de sorte à ce que je ne puisse même pas de me débattre.

J'observe la pièce impuissante, une faible lumière éclaire cette dernière, je peine à voir le fond de l'endroit où je me trouve.

Les murs sont craquelés, la peinture doit être plus vieille que moi, une odeur de désinfectant prône sur l'atmosphère de l'endroit où je suis mais elle ne cache pas l'odeur électrique du sang.

J'aperçois une table plus loin, branlante qui tient par miracle sur ses quatre pieds, toute sorte d'outils y sont posés, des objets dont je ne connais même pas le nom.

Je ressens une vive douleur dans le cou, j'ai l'impression d'avoir reçu un coup mais je ne m'en souviens pas, je me sens perdue et perturbée, je ne comprends rien à ce qu'il est en train de m'arriver.

La peur prend place quand des voix se font entendre dans le lointain, elles semblent éloignées, étouffée par les murs épais qui m'entourent je peine à percevoir ce qu'ils se disent, seuls des bribes de leurs conversation me parviennent.

J'entends mon nom de famille plusieurs fois et me dis qu'ils savent qui je suis et qu'ils veulent sûrement demander une rançon, mais le nom de Natasha prononcé à son tour me fait comprendre que mon idée n'est pas la bonne.

Je ne sais pas ce que l'on me veut, mais ce qui m'inquiète le plus c'est ce qu'ils veulent à Natasha, le fait d'avoir entendu son nom me fait tressaillir, je me sens impuissante, je ne pourrai rien faire pour l'aider si ils venaient à lui faire du mal, je doute qu'elle ai besoin de moi pour s'en sortir mais l'envie d'être présente et de la soutenir dans tout ses combats et plus forte que moi; j'ai peur pour elle.

Les voix se rapprochent peu à peu mais elles semblent encore bien loin, comme ci un long couloir les séparaient de la pièce où je me trouve.

J'entends des clés cliqueter et une serrure tourner puis une lumière vive me surprend, le néon du couloir amène un peu de clarté dans la pièce qui m'entoure, elle a l'air délabrée, tout ce qui m'entoure semble ancien, seuls les outils posé avec délicatesse sur la table détonne avec le reste de l'environnement.

Un homme de petite taille, à la peau grasse me fait face, ses lunettes lui donne un aspect de petit homme de bureau mais son visage est marqué par la méchanceté.

- « Mademoiselle Stark, vous devriez songer à revoir vos fréquentations. »

Je ne lui répond pas et le laisse entamer son monologue avec son fort accent Russe qui me fait immédiatement penser à la seule Russe que je connais.

- « Voyez vous les leaders mondiaux, ces hommes exceptionnels, on tous été, un jour soumis à moi et à mes veuves, tout le monde me pensait mort pour la deuxième fois, mais il faut croire que je suis immortel, votre chère Romanoff m'a mener la vie difficile, elle a essayer de me tuer plusieurs fois mais elle en est incapable et même si je mourrai la relève serai entrepris instantanément, elle m'a volé ma fille et mes veuves mais elle ne volera pas mon combat, tout se reconstruit et vous serez le commencement. Je ne laisserai personne empiéter sur mon projet et sûrement pas votre chère Natasha et tout ses amis.
Je ferai de vous le renouveau, vous serez la première à être sous mon emprise et ça l'a brisera j'en suis persuadé. »
- « Vous avez réviser votre discours de méchant de film mais ça ne marche pas avec moi, je sais qu'on viendra me chercher. » je lui répond en essayant d'être convaincante.

Il me gifle et je me rend à l'évidence; j'ai a faire à un homme de la pire espèce, il ne me laissera pas m'en aller, je ne sais pas de quoi il parle, qu'est ce que sont ces veuves et ce que Natasha a avoir avec lui mais il ne fera rien pour facilité ma libération.

- « Insolente, j'ai entendu dire que votre père était comme ça, je ne savais pas que ce trait de caractère était héréditaire, vous verrez bientôt je vous ferez taire. »

Il sourit, sans que je sache pourquoi, il a l'air content de lui, je ne rentrerai pas dans son jeu, si il essaye de me faire peur c'est raté, j'ai confiance en mon père et en ses alliés, on m'aidera à m'en sortir.

- « Je ne sais même pas qui vous êtes et vous me sortez que vous allez limite refaire le monde, mais vous n'êtes personne, je connais du monde et personne ne m'a jamais parlé de vous. »
- « Je suis le général Dreykov et bientôt vous regretterez de me connaître. »

À ces mots il se retourne et sors de la pièce, une sorte d'armoire à glace sur pattes rentre dans la salle et me fais face.

Il attrape mes deux poignets et desserre mon emprise, je tente de lui donner un coup mais c'est en vain, il me colle contre la table derrière moi et enfonce une aiguille dans mon cou.

Je sens le monde autour de moi vaciller mais je refuse de me laisser aller, je dois résister, rester consciente pour essayer de survivre.

Tout autour de moi semble s'assombrir, je ne ressens plus le poids de mon corps et mes paupières deviennent lourde, je sombre petit à petit dans un sommeil profond.

J'entends autour de moi des gens s'agiter mais ne perçoit ni leurs voix ni leurs visages, tout semble loin.

Ma vu se trouble et plus rien ne peut m'atteindre.

Une boule au ventre me prend, la sensation que je ne serai plus là même à mon réveil est bien trop présente pour que je ne tente pas de résister encore et encore mais c'est un combat bien trop difficile à mener.

Je finis par sombrer.

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Désolée pour le retard et pour ce petit chapitre j'ai été très occupée ces derniers temps, j'espère que ça va quand même vous convenir.

Bonne lecture.

T/P Stark x Natasha RomanoffOù les histoires vivent. Découvrez maintenant