Moi Amoureuse, Non... •Joseph Quinn•

Chapitre 35.

•• Pdv Maria ••

Lorsque mes parents arrivent, ils ne font pas une seule seconde attention à Joseph, et me prennent dans leurs bras, je réconforte ma mère qui pleure sûrement de soulagement, Joseph quant à lui recule pour leur laisser la place, je regarde du coin de l'œil qui parle à Juliette, qu'est-ce qu'il mijote les deux là ?

Puis Joseph s'approche de moi et pose un baiser sur la joue, alors qu'il allait partir je le retiens par la main, je n'ai vraiment pas avis qu'il me laisse, je me sens en sécurité avec lui, il me promet de vite revenir, je finis par lui lâcher la main, et le regarde partir, ma mère me regarde avec un air complètement perdue.

Ma mère: Maria c'est qui ce jeune homme ?

Moi: Un ami maman.

Juliette: C'est un acteur ! Et les deux sont trop timide pour s'avouer leurs "sentiments". Alors qu'ils sont fou amoureux l'un de l'autre.

Moi: Juliette ferme là !

Mes parents se tournent vers Juliette et font les gros yeux, puis repose leurs regard sur moi.

Mon père: Un acteur vraiment ?

Ma mère: Pourquoi tu nous a rien dit ?

Moi: C'est juste un ami. Dis-je en lançant un regard à ma sœur pour qu'elle la boucle.

Mon père: Maria ?

Quand je le regarde dans les yeux, je vois qu'ils sont humides, son expression est triste mais a la fois serieuse, il passe ma mèche de cheveux derrière mon oreille comme quand j'étais petite, et me carasse la joue.

Mon père: Faut que tu ailles porter plainte, Juliette nous a expliqué ce qu'il sait passer, tu ne peux pas laisser passer ça.

Moi: Papa. Je sens que les larmes glissent sur mes joues. Ne t'inquiète pas j'ai fais le nécessaire aujourd'hui, je vais demander a sortir demain pour allé au commissariat.

Juliette: Alors je viendrais avec toi !

Moi: Non, c'est Joseph qui va m'accompagner, fin faut d'abord que je lui demande, je ne veux pas tout le monde. C'est déjà dur pour moi.

Ma mère: Mais Maria nous sommes ta famille, on veut être là pour toi ma chérie

Moi: Je sais maman, je vous aime de tout mon cœur, mais je veux que ce soit Joseph, s'il te plaît.

Mon père: Alors tu viens à la maison jusqu'à que tu risques plus rien dehors.

Moi: Écouter, je sais que ce que je viens de vivre est autant dur pour vous que pour moi, mais non je n'irai pas chez vous, vous êtes trop loin pour mon travail et j'ai encore mon appartement.

Juliette: Alors laisse moi venir quelques jours chez toi, le temps que l'on change toutes les serrures et mets des sécurités aux fenêtres!

Moi: Eh après je pourrais être tranquille ?

Ils répondent tous oui, je sais qu'ils s'inquiètent pour moi, mais à faire comme ils font là, va me rendre encore plus nerveuse et parano car ils vont stresser pour un rien.