Chapitre 52.

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•• Pdv Maria ••

6 mois plus tard •

Six mois se son écroulé depuis que Joseph m'a fait sa demande en mariage, nous somme dans les dernières préparatifs, car notre union a lieu dans un mois, un mariage dans une simplicité entouré des personnes qu'on aime.

Joseph au travail, je suis sur mon ordinateur pour faire quelques recherches afin de demander a Jamie et Juliette lors de notre repas de mariage de devenir le parrain et la marraine de notre fils. Alors qu'Élio joue tranquille sur son tapis, on sonne à la porte. Je n'attend pas de colis ou autre, ni Joseph sinon il m'aurait prévenu, mais je me dirige vers celle-ci pour regarder dans l'œillet, c'est peut-être ma famille après tout. Je souffle de soulagement en voyant que c'est simplement un facteur, non pas que je veux pas voir ma famille, mais ils sont devenus collant depuis la naissance du petit. J'ouvre la porte en lui adressant un petit sourire.

Facteur: Bonjour, vous êtes bien Mlle Masselo ? Qui résidé avant à l'immeuble les lions d'or a Londres ?

Moi: Oui c'est exacte pourquoi ?

Facteur: Du courrier à été envoyer là-bas, et le changement d'adresse nous a ramené ici, alors voilà les enveloppes.

Je pris le petit bloc et le remercie avant de refermer la porte, je feuillete, il y a surtout de vieille facture, mais une enveloppe attire mon attention tout particulièrement, elle a l'air ressente, lors que la prend je manque de m'ecrouler au sol, l'écriture qu'il y a dessus je la reconnais entre mille, mon cœur commence à battre a toute allure, tellement vite que j'ai l'impression qu'il va sortir de ma cage thoracique et finir parterre. Comment... comment il a pu m'écrire ?

J'ouvre l'enveloppe avec les mains qui tremblent, encore debout je décide de m'asseoir par précaution, je jette un coup d'oeil à mon fils, voir s'il a pas besoin de moi avant de sortir la feuille de l'enveloppe et la déplie. A la vue de mon prénom je me m'arrête instantanément et commence a me sentir nauséeuse, et pas bien du tout, mais je me reprend et lis la lettre avec difficulté.

« Maria,
Salut ma beauté, si tu savait comme tu me manque horriblement. Il me reste encore sept ans a tirer, une année c'est déjà écrouler, c'est dingue non ? A ma sortie je veux que toi et moi on se retrouve, car crois moi ma belle je ne suis pas prêt à te laisser tomber, comme je te répète depuis des années je tes dans la peau. Faudra bien que tu t'excuse pour ce que tu ma fait, pour toi j'ai pris huit ans et comme je t'ai dit au procès je n'en resterais pas là. Je ne sais pas comment, ni ou mais sois certaine qu'on se reverra pour se remémoré le bon vieux temps.
Chaque plaisir que je vais t'infliger me fait déjà jubilé intérieurement.
N'oublie jamais Maria que tu est ma source d'inspiration. Et la j'ai pas mal de temps pour trouver une belle inspiration pour nos retrouvaille, tu va même me supplier d'arrêter.
Je me demande bien à quoi ressemble ton fils, car oui je suis au courant grâce au journal, qu'il profite à fond de toi, je lui raconterai ce que sa mère était et comment son frère nous a quitter et par quel circonstances !
A très bientot l'amour de ma vie, profite de cette liberté tant que tu peut :)
Signé ton premier amour,
Aïden. »

Lorsque je vois qu'il parle d'Élio mon corps frisonne, l'image de ce gros porc poser les mains sur mon fils me rend malade et me met hors de moi, hors de question qu'il touche a un seul de ses cheveux, jamais je ne pourrais me pardonner s'il arrive malheureux a mon petit garçon, Élio a que sept mois, quand Aïden sortira il sera déjà qu'il ne faut pas qu'il s'approche des inconnus et encore moins les suivre... Car par vengeance il serait capable de m'enlever mon fils, juste pour me faire payer d'avoir eu un enfant avec Joseph et mon dieu rien que de penser au horreur qu'il pourrait bien lui faire, me rend malade et fébrile.

Moi Amoureuse, Non... •Joseph Quinn•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant