Chapitre 18.

336 24 11
                                    

•• Pdv Maria ••

J'entends Aïden qui parle à quelqu'un, je puisse mes dernières forces pour écouter avec qui il parle, je reconnais cette voix, c'est Joseph, j'aimerai tellement crier à l'aide mais j'ai peur qu'il s'en prend à lui comme il me l'a promis. Je reste le dos tourner, des larmes coule, je souffre tellement, je voudrais que Joseph force le passage et rentre dans la chambre...

Le claquement de la porte me fait comprendre que Aïden a mis fin à la conversation avec lui, il s'approche de moi, me touche le visage, le fait que sa main me touche encore me terrorise et me fait mal par la même occasion en touchant mes bleus, il fini par me chope les deux joues avec sa main, me faisant encore plus mal et s'approche son regard est noir.

Aïden: Je ne veux plus jamais que tu revoit cet abruti ! J'espère que tu m'a bien compris !

Moi: Oui... d'accord.... ont peut aller à l'hôpital maintenant ?... J'ai encore très mal au ventre, s'il te plaît...

Aïden: Ta intérêt de leur dire que tu t'es fait agresser dans la rue, sinon tu sait ce qui va t'arriver.

Moi: Je... je te le... promet Aïden.

Aïden: Ont va d'abord te changer, laisse moi faire.

Moi: NON ! Je vais le faire seule, ne me touche pas !

Aïden: Y a pas une partie de ton corps que j'ai pas déjà vu, laisse moi faire Maria !

Moi: Ne... me... touche pas Aïden.

Je le vois qu'il serre les poings, je souffle un bon coup, je sort difficilement du lit, ma tête tourne, la douleur au ventre est insupportable, je peut même pas le toucher tellement c'est douleureux et dur, je me change comme je peu, j'enfile un Tee shirt avec difficulté et le bas j'en parle même pas, j'appelle Aïden pour qu'il me porte car j'en peu plus, au moment il arrive je fais un malaise.

Quand je me réveille, je me retrouve à l'hôpital, branché de partout, la douleur est pratiquement inexistante, merci les anti-douleurs, je me demande combien de temps j'étais absente, je tourne la tête, je vois Aïden parler avec les policiers. La porte s'ouvre une infirmière rentre.

Infirmière: Sayez vous êtes enfin réveiller, comment vous sentez vous ?

Moi: Mieux, je suis ici depuis combien de temps s'il vous plaît ?

Infirmière: 5 heures, vous avez eu une perforation d'un ulcère, votre Mari vous a ramener à temps, ont vous à injecter les antibiotiques et le chirurgien vous a fait une aspiration gastrique, vous êtes hors de danger maintenant.

Policier 1: Peut-on l'interroger ?

Infirmière: Oui bien sûr.

Policier 1: Madame Masselo, votre compagnon nous a dit que vous lui avez dit avant de perdre connaissance que vous vous êtes fait agresser hier soir et qu'il vous a retrouver dans cette état à votre hôtel, avez vous vu votre ou vos agresseurs ?

Moi Amoureuse, Non... •Joseph Quinn•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant