Chapitre 25.

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6 mois plus tard

•• Pdv Maria ••

Six mois viennent de passer, six mois que je vie un réel enfer, mon seule échappatoire reste mon travail, il n'a pas accès au locaux et dieu merci, même de la je ne peu pas m'enfuir car Aïden reste toute la journée dans sa voiture à m'attendre, et l'issue de secours, l'accès est bloquer, ce bon a rien à en plus pris tout mes papiers et les a mis dans un coffre.

Aïden à modéré ses coups, mais il l'a joue plus intelligemment il les met la ou personne ne peu les voir, il continue d'abuser de moi aussi, à la fin cela me paraît tellement banale je reste juste figée et sans émotion ni expression, il me laisse voir ma famille, mais il est toujours avec moi, il ne me laisse pas souffler cinq minutes, au près de tout le monde il a officialisé nos retrouvaille, Juliette n'y crois pas un seul instant, que je me sois remis avec ce taré, je voudrais tellement lui dire, j'ai essayé quand on était chez nos parents, mais ai moment j'allais avouer Aïden est arrivé... Pour elle c'est finalement Jacob qui sait installer à Londres avec ma sœur, elle vit le bonheur parfait avec cette homme qui est adorable, je suis contente pour elle, j'espère qu'un jour je pourrais vivre une histoire comme ça moi aussi.

Mon réveil sonne, il est 7 heures, je vais à la douche me préparer, avec la periode du froid qui arrive Aïden ce permet de me laisser quelques bleu sur les bras, puisse qu'il seront cachée sous mes pulls, dans le cuisine je bois mon thé. Il est déjà à boire son café, il n'ai pas encore près alors qu'on part dans cinq minutes, mais sans me surprendre il m'accuse moi.

Aïden: Grouille toi ! Avant que tu soit en retard au travail.

Moi: Je serais peut être à l'heure si j'avais pas un boulet à ma cheville.

Je sais que je vais regretter ces quelques mots, en effet il lui a fallut quelques secondes pour qu'il percute et que sa main s'étale sur ma joue, maintenant je retiens mes larmes, je ne pleure plus devant lui, il m'attrape violemment mon poignet, son regard noir ne m'impressionne même plus à vrai dire.

Aïden: Ta oser dire quoi sale petite conne ?

Moi: Rien, ont peut y aller maintenant ?

Il me lache enfin, va enfiler un pull et un jogging et partons pour mon travail, dans la voiture je masse mon poignet, la pression qu'il a mis ma fait extrêmement mal. Quand ont arrive, il se gare en face de la façade du bâtiment et va m'attendre toute la journée.

Je sors de la voiture et claque la porte, enfin dans mon univers je souffle un coup avant de retrouver Lydia, Pastille qui vie maintenant dans nos locaux de travail viens se frotter dans mes jambes, je le porte et lui fait un énorme Câlin et l'embrasse, le seul qui me donne le sourire de bon matin, quand je franchis la porte ma secrétaire me donne mes rendez-vous aujourd'hui une réunion avec un magasin de France et une deuxième à 14 heures dans l'hôtel le plus luxueux de Londres. Je m'installe à mon bureau quand on frappe à ma porte, j'autorise l'entrée c'est Lydia.

Moi Amoureuse, Non... •Joseph Quinn•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant