Chapitre 37.

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•• Pdv Joseph ••

J'étais à deux doigts de lui dire je l'aime quand on est encore dérangé, ça deviens une habitude, comme si l'univers ne veut pas qu'on s'avoue nos sentiments.
Le chirurgien lui donne son avale pour sortir demain matin même s'il est contre, il quitte la pièce, Maria me regarde et me demande ce que je voulais lui dire, en y réfléchissant je me dis que ce n'est peut être pas le bon moment, que sa peut attendre encore un peu.

On sort fumer une cigarette, puis ayant vu le repas de l'hôpital j'ai décidé de nous faire livré à manger, elle n'a presque rien toucher malgré que je lui demandais manger un peu plus, on parle encore un peu, puis elle finit par s'endormir, n'osant pas la déranger je reste là assis sur la chaise à la contempler entrain de dormir.

Je sursaute quand une main vient toucher mon épaule, je me suis endormi sur la chaise, quand je releve ma tête c'est Maria.

Maria: Joseph ne reste pas comme ça, viens dans le lit.

Moi: Il est quelle heure ?

Maria: Je ne sais pas, ne pose pas de question viens t'installer avant que tu te bloque un muscle.

Elle se lève du lit, alors que je viens de m'allonger.

Moi: Tu vas où ?

Maria: Je reviens je dois aller au petit coin, profite pour te reposer.

Je voulais attendre Maria, pour qu'elle se mettent correctement dans le lit afin d'éviter qu'on se fasse mal, mais le sommeil a pris le dessus.

Lorsque j'entre ouvrent les yeux, la pièce est encore tapis dans l'ombre, j'entends juste de légère voix, puis la porte se fermer, sûrement le petit déjeuner, je suis dos à Maria, elle pose le plateau et s'assoit sur le bord du lit. Elle pousse un long soupir, puis je sens son regard se poser sur moi.

Maria: Je suis désolée.

À cet instant je me retourne en une fraction de seconde, me redresse pour l'avoir dans mon champ de vision, elle eut un petit sursaut pensant que je dormais encore.

Moi: Pourquoi tu t'excuses Maria ?

Maria: Car tu mérites mieux que d'être ici avec moi.

Moi: Maria, si je suis là c'est que je le veux bien, tu es devenu importante pour moi.

Maria: Tu es aussi important pour moi, Joseph tu comptes énormément pour moi et s'il t'arrivait quelque chose.

J'enlève la couverture et m'approche d'elle, elle a la tête baisser sûrement pour que je remarque pas qu'elle pleure, je lui relève à la tête, puis je la regarde, elle a encore énormément de cerne comme si elle n'avait pas fini sa nuit, ne la quittant pas du regard je me rapproche de plus en plus, jusqu'à que je pose mes lèvres sur les siennes, me rendant compte de ma connerie, je recule aussitôt.

À mon étonnement Maria passe sa main derrière ma nuque me ramenant vers elle m'embrasse à son tour, le baiser devient plus intense, j'ai tellement attendu ce moment nous nous retrouvions comme ça et cette fois-ci sans être dérangé, je repose alors une main sur son visage et l'autre au niveau de sa hanche, Maria se laisse glisse en arrière pour finir allonger, je finis sur elle en quinconce afin d'éviter de mettre tout mon poids sur elle continuant de nous embrasser et dans le feu de l'action je passe ma main sur son corps malheureusement à cause de ses contusions je lui provoque un petit gémissement de douleur, je me relève instantanément.

Moi Amoureuse, Non... •Joseph Quinn•Où les histoires vivent. Découvrez maintenant