@Éphémère Production
Faith.
Bakari - Tu sais que je te déteste ?
- Pourquoi tu dis ça ?
Bakari - Déjà vas t'habiller parce que tu reçois pas ton mec.
- Mais je suis bien comme ça.
J'avais porté une légère nuisette rose, c'était ma couleur préférée.
Bakari - Vas t'habiller arrête de faire chier gros, ton frère il te laisse ce balader chez lui comme ça ?
- Il n'est pas là, il est en week-end avec sa femme.
Il souffle légèrement.
Bakari - Du coup, j'ai pris la voiture que tu voulais on attend quelque temps pour qu'il te l'a confectionne mais d'ici là c'est bon.
- Je t'aime, le sais-tu ?
Bakari - Que quand je suis riche, si je redevient pauvre tu vas me snober.
- Pour rien au monde, mon bébé d'amour.
J'entends des pas se rapprocher, je me tourne légèrement.
Martha - Madame, vous avez un jeune homme comme invité.
- Un invité j'attends personne moi.
Bakari - C'est qui sa encore ?
D'un coup je vois une silhouette sortir de l'ombre, mon sourire s'affiche automatiquement de mon visage. Mon coeur lui se met à battre légèrement, mais comme d'habitude je renvoyer l'image de la fille sur d'elle.
Je me lève directement de canapé, et je vois sur son visage s'affichait un sourire au coins de la bouche à la vue de ma tenue, je crois que sa lui plaisait.
Bakari - Je te parle gros !
Sa voix me fait sortir de mes pensées d'un coup.
- Je te rappelle.
Bakari - Fait-h...
Je raccroche dans la seconde qui suit, puis m'approche légèrement de lui à petit pas.
Il était sur le coin de la porte, il me regardait arriver à lui comme une proie qui se donner à son bourreau.
- Martha, tu peux disposer.
Je m'approche de lui, et de ma petite taille je lui claque la bise des deux côtés pour que je puisse lui laisser un goût a léchant de mon odeur corporelle.
Il était là à ne plus bouger, je l'imaginais entrain de me prendre dans tout les sens du terme où il veut et quand il voulait.
Son côté.. inaccessible lui m'attirer plus que tout.
C'est sa voix qui me fit sortir de mes pensées mais elle résonnait comme une vibration dans mon corps.
Il allait me rendre folle, les filles.
Jamal - Ça va ?
- Oui et toi ?
Son regard croise le mien et par lui je voyais tout le désir qu'il avait pour moi.
Jamal - Au calme, Abdoul m'a demandé de venir te donner un dossier pour sa boîte.
Il me tend une enveloppe, j'étais un peu déçu c'était Abdoul qui l'avait finalement envoyé.
- Ah.. merci.
Je récupère le dossier, je vais le poser sur la table basse de la table. Je me retourne je le vois entrain de m'observer de dos, un léger sourire s'affiche sur mon visage.
Jamal - C'est quoi ton prénom déjà ?
- Je m'appelle.. je m'appelle Faith.
Jamal - Au calme, bien le palace. Dit-il en regardant autour de lui. Tu vie ici seule ?
- Je ne vis pas.. en France ici c'est chez mon frère mais merci.
Jamal - Ah ouais ? T'es d'où alors Faith ?
Il appuyait sur les prononciations de mon prénom, ce qui rendait un côté sexy.
- Je viens de la Suisse.
Jamal - Ah ouais je vois au calme.
- C'était tout, monsieur Diallo ?
Jamal - Je m'appelle Jamal.
Je lâche un petit rire, et m'arrange pour le regarder dans les yeux.
- C'était tout, Jamal ?
Jamal - Je m'appelle Jamal.
Je lâche un petit rire, et m'arrange pour le regarder dans les yeux.
- C'était tout, Jamal ?
Jamal - Ouais je pense.
- Tu pense ?
Jamal - Ouais je pense que c'est tout.
- D'accord, je te raccompagne pas vers la porte.
Il voulait partir mais il s'arrête net.
Jamal - Non c'est pas tout Faith.
Il était de dos à moi, je souriais.
- Que veut-tu Jamal d'autre ?
Il se retourne et me pointe du doigt.
Jamal - Toi.
Je le regarde et je m'approchai de lui j'étais pas ce genre de fille timide pas du tout bien au contraire.
Je m'accroche à son cou à l'aide de mes bras et rapproche ma tête de la sienne. Nous étions face à face lui et moi... bouche contre bouche, nez contre nez.
- C'est ça que tu veux Jamal.
Jamal - C'est exactement ce que veux.
Je l'embrasse en première, il me répond à mon baisers et comme dans les films il me porte et me colle contre le mur.
Une chaleur intense envahie mon corps, il se mit à m'embrasser le cou et il me faisait des suçons dans le cou.
J'ai envie de crier tellement ce mec c'était quelque chose.
- On vas dans ma chambre.
Il me fait descendre, et je l'attrape par la main comme un enfant il me suit jusqu'à la chambre.
Je le fais entrer et ferme la porte derrière moi, on risquait de faire du bruit.
Il était debout dès que la porte fut fermer, il me saisit par le cou directement tellement fermement.
Il me jette sur le lit, je m'installe correctement dessus.
Il commence à se déshabiller, je le regardais se déshabiller doucement et on ne se lâchait pas des yeux.
Il finit par se mettre en caleçon, et puis il vient m'embrasser directement.
Il mit à délacer ma nuisette, et puis il se mit à jouer.. avec ..
Je lâchais des soupires, lui ne parlait pas mais par son sourire il prenait satisfaction de ce qui faisait.
Il finit par s'immiscer entre mes jambes, et je crois que ça été le meilleur coup de ma vie.
Je ne l'avais pas mal jugé il en valait le coup.