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Bonne Lecture !💞
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Je le vois serrer les poings et contracter sa mâchoire.
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Yûnus : C'est pas possible ça ! C'est pas possible ! Il veut vraiment mourir celui-là !
Moi : C'est bon Yûnus t'inquiète pas Alyssa a bien fait son travail il a rien pu me faire.
Yûnus : Elle l'a frappé ?
Moi : Elle lui a juste mis un poing il était déjà à terre.
Yûnus : Il voulait quoi ?
Moi : Il m'a juste demandé de le suivre.
Yûnus : C'est pas possible Intissar on peut pas vivre comme ça un homme en a après toi. Il vient te voir à chaque fois que tu mets un pied dehors je vais pas tenir longtemps comme ça ma patience a des limites.
Moi : Qu'est-ce que tu vas faire alors ?
Yûnus : Je vais aller le voir et on va discuter.
Moi : Yûnus tu le frappes pas hein !
Yûnus : T'as peur pour lui ?
Moi : Arrête de dire des bêtises j'ai peur pour toi moi !
Yûnus : Pour moi ?
Moi : Oui imagine que tu le frappes et qu'il porte plainte.
Yûnus : T'inquiète pas je vais pas le frapper on va juste discuter pour l'instant... En plus il est fautif lui aussi il a qu'à pas te harceler.
Moi : Je te fais confiance Yûnus.
On a continué à manger dans le silence, quand je me rappelle du secrétaire, je voulais lui en parler mais avant, j'avais une question.
Moi : Yûnus est-ce que si je sors pas Alyssa doit quand même venir ?
Yûnus : Hm non pourquoi ?
Moi : Parce que demain je compte pas sortir et ça sert à rien de l'appeler pour qu'elle reste à la maison.
Yûnus : D'accord tu lui enverras un message alors.
Moi : Mais Yûnus tu diminues pas son salaire hein.
Yûnus : Mdrrr t'as cru que j'allais faire ça ?
Moi : On sait jamais.
Yûnus : T'inquiète jesuis pas comme ça.
On finit de manger, j'envoie un message à Alyssa lui disant qu'elle a pas besoin de venir, elle me dit que c'est d'accord.
Je fais ce que j'ai à faire et je monte au lit, je voulais parler à Yûnus du secrétaire mais il était fatigué. Je lui dirai demain.
Je me réveille à 8h comme d'habitude, je fais mon rituel, je prépare le petit-déjeuner et j'appelle Yûnus.
Moi : YÛNUS ? VIENS MANGER.
Yûnus : J'ARRIVE.
Il descend et on commence à manger, on mangeait dans le silence quand je me rappelle encore une fois du secrétaire. Cette fois c'était la bonne occasion.
Moi : Yûnus j'ai quelque chose à te dire.
Il me regarde en levant un sourcil.
Yûnus : Je t'écoute.
Moi : La dernière fois, quand j'étais venue à ton bureau pour apporter ton téléphone, le secrétaire a été très irrespectueux.
Il fronce les sourcils.
Yûnus : Irrespectueux ?
Moi : Oui genre il faisait que me regarder de haut en bas. Il a dit "Le patron ne voit pas des gens comme vous" quand j'ai dit comment ça comme moi il a répondu "Vous voyez ce que je veux dire."
Yûnus était énervé, ça se voyait.
Yûnus : C'est pour ça qu'il nous regardait choqués ?
Moi : Oui...
Yûnus : Pourquoi tu me l'as pas dit plutôt ?
Moi : Oh Yûnus on s'en fiche que je te le dise plus tôt ou plus tard, je te l'ai dit c'est ça qui compte non ?
Yûnus : Intissar je te jure m'énerve pas moi je m'en fiche pas tu vois, il a été irrespectueux envers ma femme et ça je vais pas laisser passer.
Je ne sais pas pourquoi mais quand il m'appelait comme ça, ça me faisait tellement d'effet. Je sais que c'est vrai mais je n'ai pas l'habitude.
Moi : Tu vas le frapper...
Yûnus : Pourquoi tu crois que je vais frapper tout le monde ?
Moi : Je me souviens de ce que t'as fait à Lucas la dernière fois.
Yûnus : Oui mais lui il t'a touché aussi c'est pas la même.
Moi : Ça t'as tant énervé que ça ?
Yûnus : Si tu savais.
Il était l'heure pour lui d'aller au travail, je lui fais un bisou sur la joue et il s'en va le sourire aux lèvres. Je sais pas ce qui m'a pris je sais juste que je le voulais.
Cela faisait presque 1h30 qu'il était parti, j'avais fait tout ce que j'avais à faire et j'avais également appelé ma famille.
Sauf mon père, je lui ai toujours pas parlé, je sais que c'est pas bien donc je vais bientôt aller le voir. Je préfère me réconcilier avec lui en vrai pas au téléphone.
Bref, j'étais sur mon téléphone attendant que la viande décongèle, quand j'entends toquer à la porte.
C'était bizarre, je n'attendais personne, j'ouvre la porte et je vois...
