Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Bonne Lecture !💞
-------------------------
Je sors vite de ma chambre pour aller voir, et je vois mon père devant. Il ouvre la porte et se retrouve nez à nez avec... Erkan ?!
-------------------------
Mon père : Toi !? Qu'est-ce que tu fais ici !?
Erkan : Je viens voir Gül !
Mon père : Non tu ne vas pas la voir ! Pars d'ici !
Erkan : Je ne partirai pas tant que je ne l'aurai pas vue !
Mon père : Tu ne la verras pas ! Ma fille va bientôt se marier avec l'homme qu'elle aime et tu ne pourras rien faire pour empêcher ça !
Au moment où mon père prononce ces mots, les yeux d'Erkan s'écarquillent et sa mâchoire est à deux doigts de toucher le sol.
Erkan : Comment ça ??
Mon père : Tu as très bien entendu, Gül va se marier donc maintenant tourne la page et va te créer un avenir !
Erkan avait les sourcils froncés et les poings serrés. J'étais un peu plus loin derrière un mur, en train d'écouter quand j'entends mon père m'appeler.
Moi : Qu'est-ce qu'il y a ?
Mon père : Comme tu le v-
Avant que mon père ne puisse finir sa phrase, Erkan entre dans la maison et vient vers moi.
Il attrape mes deux mains avant de me regarder dans les yeux. Ça se voyait dans ses yeux qu'il était triste et fatigué, il me faisait tellement de peine, j'avais tellement envie de lui sauter dans les bras.
Erkan : S'il te plaît dis moi que c'est faux, dis moi que tu ne vas pas te marier s'il te plaît Gül tu ne peux pas me faire ça.
Mon père : Yeter ! Je t'ai dit que ma fille va se marier c'est qu'elle va se marier ! Elle n'a aucun compte à te rendre lâche la et sors d'ici !
Erkan : Gül s'il te plaît parle moi dis moi que tu ne vas pas te marier !
J'étais au bord des larmes et mon père me fusillait du regard pour que j'acquiesce.
Moi : Oui c'est vrai...
En une fraction de seconde, le visage d'Erkan se décompose plus qu'il ne l'était déjà.
J'avais mal au cœur de le voir comme ça mais la seule chose que je pouvais faire, c'était de le regarder et de faire ce que mon père me forçait à faire.
Mon père : Voilà, tu l'as entendu sors maintenant !
