OS Foot (pas très original comme titre)

Antoine x Neymar

Ce chapitre n'est pas corrigé !!!!!

--------------------------

PDV Antoine

(J-1 Lyon-Brest)

Je suis chez Corentin pour me reposer un peu de mon quotidien de folie et pouvoir aller voir les Lyonnais jouer contre Brest. Ney a pas voulut que je vienne le voir jouer contre Montpellier.

On est actuellement affalé sur son canapé à se mater un petit Raiponce en mangeant pizzas.

Oui on est des enfants !

Le film vient de se terminer et j'ai était jeter les cartons de pizzas et les canette de coca et autres sodas ayant été bu dans l'après-midi.

C- Au faite c'est pas trop grave ?
A- Pas trop grave de quoi ?
C- La blessure de Ney.

Euh attendez... QUOIIIIIIIIII !!!!!?????

C- Tu es pas au courant? Ça fait pourtant le tour des médias depuis que ça a été annoncé.
A- Nan j'ai pas vu.
C- Et Neymar ne te l'a pas dit?
A- Non plus.

Je me reassks sur le canapé toujours sous le choc de ce que je viens d'apprendre et du fait que mon copain ne m'ai même pas dit qu'il était blessé.

A- Et il a quoi ?
C- D'après les médias une fatigue musculaire mais..... Antoine je veux pas t'inquiéter.
A- Dit s'il te plaît.
C- Des personnes l'auraient vu sortir d'un hôpital de Neuilly plus tôt dans la journée.

Ok là je comprends vraiment plus rien.

Je me mets à trembler sans pouvoir le contrôler.

C- Grizou ?
A- Coco je vais faire une crise...

Je me mis à trembler de plus en plus fort, à pleurer, à crier. Et le pire de tout je me mis à vouloir me blesser mais je sentis deux bras me caler contre un torse et tenir mes mains pour que je ne puisse pas me faire de mal.

C'est horrible à voir mais a vivre c'est 15 fois pire.

Je finis pas m'épuiser au bout de je ne sais combien de temps. Et sous le coup de la fatigue je m'endormir comme une masse.

PDV Corentin

Je vous Antoine totalement perdu quand je lui dit que Neymar est blesser. Putain je crois pas qu'il lui ai pas dit.

Je le voit trembler à côté de moi.

C- Grizou ?
A- Coco je vais faire une crise...

Et sur ces derniers mots, comme si son cerveau abandonné même l'idée de ne serait-ce que combattre la panique, il se mit à trembler encore plus violemment. Puis vinrent les pleurs et les cries.

Ça fait mal surtout que je sais pas trop quoi faire.

Cependant quand il commença à vouloir se faire du mal dans sa panique, mes instincts prendre les dessus. Je l'encercla dans mes bras, tenant les siens, et le plaqua contre mon torse en lui murmurant des mots que j'espère être apaisant.