Chapitre 6 : Ce plaisir divin

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Je n'arrive pas à penser à autre chose qu'à lui. Et même maintenant, alors qu'il enfonce sa clé dans la serrure. Je ne peux que l'observer, les traits calmes de son visage, la largeur de son dos et ses muscles se mouvoir dans cette chemise moulante. 

Il ouvre finalement la porte. 

Je l'observe encore, et encore. 

Il s'approche de la cuisinière, puis du réfrigérateur qu'il ouvre nonchalamment. 

- Tu veux manger quelques choses, il demande. 

Je m'approche alors de lui et enroule mes bras autour de sa taille avant de déposer un baiser dans son cou. 

- Oui, je veux manger quelques choses, je lui réponds sur un ton salace. 

Il rigole doucement avant de poser sa main sur la mienne entourant sa taille. 

- Mais je crois que j'ai peur, je lui avoue, je ne sais pas...

Il se dégage de mon étreinte, et se tourne vers moi avant de poser sa main sur ma joue. Ses doigts glissent sur mon visage et son pouce arrivent sur ma lèvre inférieure, la caressant avec douceur. 

- C'est normal d'avoir peur, mais je te promets que j'irai tendrement, tu n'as pas à t'en faire. 

Je hoche nerveusement la tête. 

- Tu me fais confiance, il demande. 

- Oui, je te fais confiance. 

Il prend ma main entre la sienne et me conduit jusqu'à la chambre dans laquelle j'ai déjà dormi la veille. C'est vrai que je lui fais confiance, peut-être même plus que je n'ai jamais fait confiance à une autre personne. 

Il me pousse doucement sur le lit et retire alors sa chemise, bouton par bouton dévoilant son corps parfait. Liam se tient là, immobile, le regard fixé sur moi, de manière intimidante. Son torse saillant et ses abdos sculptés témoignant d'un travail écharné à la salle de sport et je ne pouvais pas attendre de poser un baiser sur chacun des muscles de son corps. Un sourire charmeur se dessine sur ses lèvres. Ses bras puissants s'enroulent autour de moi pour saisir ma robe et l'ouvrir à l'arrière, ne me laissant qu'avec un soutien-gorge et ma culotte. 

Il retire sa ceinture de cuir puis son jean, ne laissant que son boxer noir Calvin Klein moulant parfaitement son sexe. Mon excitation a atteint un niveau qui me fait tourner la tête. 

Je recule un peu pour ma tête soit supporter par l'un des oreillers noirs. Il s'approche et enroule ses bras autour de mes épaules, son souffle caresse ma peau ou il s'empresse de déposer une multitude de baisers. Il me recouvre complétement, nos sexes enfermés dans leurs tissus se caressent frénétiquement alors qu'il entame des mouvements de hanches qui provoque un torrent dans ma culotte. Il enfonce sa langue dans ma gorge, étouffant mes gémissements et ses grognements. 

Il se relève et passe ma main sur mes lèvres puis sur les siennes. 

Il retire son caleçon et dévoile son sexe, enfile rapidement le préservatif avant de glisser un peu de lubrifiant sur ce dernier, puis sur ses doigts qu'il glisse en moi, profondément, en y ajoutant un crachat vulgaire qui me fit frissonner. 

Je sens alors sa verge se poser contre les lèvres de mon vagin. Son gland me caresse avec lenteur de haut en bas, passant sur mon clitoris, et sur l'entrée de mon sexe trempé avec une insupportable lenteur qui fait trembler mes jambes.

Je suis en pleine agonie, je n'ai jamais ressenti ça, cette faim...

Il joue avec moi, fais hurler mon désir intérieur, il va me rendre complètement folle.

Mon Loup (Terminée) EN  CORRECTIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant